Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Kore-eda signe un film splendide et bouleversant où le désarroi et la fragilité de l'être humain s'inscrivent physiquement dans la dialectique de l'ombre et de la lumière comme dans la distance respectueuse à laquelle il filme ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Evénement
par Claire Clouzot
Kore-Eda (…) traite délicatement du deuil, de la culpabilité face à la mort-énigme. Sans psychologie, sans gros plans, les protagonistes cherchent à aller du clair-obscur vers la lumière.
L'Express
par Sandrine Chicaud
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Beaucoup d'invention, d'humour et de profondeur dans ce film aux allures de reportage malicieux, qui confirme en Hirokasu Kore-eda un cinéaste surdoué.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) Ozu ou pas, ce film se défend tout seul et envoûte sans béquilles référentielles. Et cet envoûtement ne résulte pas tant du scénario (...), mais bel et bien de la scénographie précise des plans (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yann Tobin
Le réalisateur emploie en virtuose les sources d'éclairage naturel, et une poésie presque surnaturelle émerge de la confrontation entre la lumière, les corps et leur environnement.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Marine Landrot
Avec une ferveur fugace et pénétrante (Hirokazu Kore-eda) éternise les petits riens qui pimentent la vie, ces instants volés à l'inéluctable marche vers l'au-delà.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Maborosi séduit par sa subtilité, sa manière d'observer la surface avec patience pour tenter de percer les sentiments profonds. Mais Kore-Eda ne résiste pas toujours à la tentation de l'image belle, gratuite.
Lenouveaucinema.com
par Pierre Notte
"Une belle lumière, loin sur la mer", le Maborosi est un chant de sirène, un appel au suicide comme acte poétique et incompréhensible (...) une élégie aussi lente qu'une mise en terre.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Chronic'art.com
par Marius Meou
Certains (...) se sont pourtant mis d'accord pour dire que Maborosi, c'était très bien, mais un peu trop lent . A quoi je réponds qu'un film lent, ça n'existe pas : il n'y a que de bons ou de mauvais films.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Première
par Cristophe Narbonne
Succession de plans fixes / cartes postales, qu'animent deux-trois panoramiques, ce portrait d'une jeune mère hantée par le suicide de son mari fait partie de ces films introspectifs qui en montrent plus qu'ils n'en disent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Kore-eda signe un film splendide et bouleversant où le désarroi et la fragilité de l'être humain s'inscrivent physiquement dans la dialectique de l'ombre et de la lumière comme dans la distance respectueuse à laquelle il filme ses personnages.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Evénement
Kore-Eda (…) traite délicatement du deuil, de la culpabilité face à la mort-énigme. Sans psychologie, sans gros plans, les protagonistes cherchent à aller du clair-obscur vers la lumière.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Beaucoup d'invention, d'humour et de profondeur dans ce film aux allures de reportage malicieux, qui confirme en Hirokasu Kore-eda un cinéaste surdoué.
Les Inrockuptibles
(...) Ozu ou pas, ce film se défend tout seul et envoûte sans béquilles référentielles. Et cet envoûtement ne résulte pas tant du scénario (...), mais bel et bien de la scénographie précise des plans (...)
Positif
Le réalisateur emploie en virtuose les sources d'éclairage naturel, et une poésie presque surnaturelle émerge de la confrontation entre la lumière, les corps et leur environnement.
Télérama
Avec une ferveur fugace et pénétrante (Hirokazu Kore-eda) éternise les petits riens qui pimentent la vie, ces instants volés à l'inéluctable marche vers l'au-delà.
Cahiers du Cinéma
Maborosi séduit par sa subtilité, sa manière d'observer la surface avec patience pour tenter de percer les sentiments profonds. Mais Kore-Eda ne résiste pas toujours à la tentation de l'image belle, gratuite.
Lenouveaucinema.com
"Une belle lumière, loin sur la mer", le Maborosi est un chant de sirène, un appel au suicide comme acte poétique et incompréhensible (...) une élégie aussi lente qu'une mise en terre.
Chronic'art.com
Certains (...) se sont pourtant mis d'accord pour dire que Maborosi, c'était très bien, mais un peu trop lent . A quoi je réponds qu'un film lent, ça n'existe pas : il n'y a que de bons ou de mauvais films.
Première
Succession de plans fixes / cartes postales, qu'animent deux-trois panoramiques, ce portrait d'une jeune mère hantée par le suicide de son mari fait partie de ces films introspectifs qui en montrent plus qu'ils n'en disent.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com