Ce film est un petit chef d'oeuvre d'émotion,de nostalgie et de créativité artistique,tout les personnages son truculent et très attachant max fisher le premier(son père bert joué par seymour cassel,herman blume joué par bill murray,la belle miss cross et la toute mignone margaret yang) l'histoire est magnifique et les scènes sont d'une grande sensibilitée.Ce film vante la créativité, l'imagination, l'amitié et surtout la fantaisie comme dans la plupart des films de ce grand cinéaste qu'est wes anderson.
Un très beau film de ce chère Wes Anderson. Pour son deuxième long métrage on retrouve déjà ces thèmes de prédilections ainsi que ces acteurs fétiches.
Dans la même veine que d'habitude mais j'ai été déçu. Je n'ai pas réussi à m'accrocher au personnage de Jason Schwartzmann. Les derniers Wes Anderson sont les meilleurs pour moi.
Grand fan de Wes Anderson et Owen Wilson, ce film incarne leur génie ! Le casting Jason Schwartzman, Bill Murray et Olivia Williams fait des merveilles ! Une histoire folle, des acteurs fantastiques... Un film culte
De bonnes et de moins bonnes choses ici. Si la relation entre l'adolescent et la prof est platonique, tendue, attendue, espérée, redoutée, impossible, limite, possible, envisageable (oui oui on passe par tout ces qualificatifs) et ça, c'est un vrai plus, entre tout ces instants excitants, d'autres moments plus mous et pas toujours indispensables cassent un peu le rythme de l'ensemble. Un film curieux, qui détonne franchement mais reste dans la veine du toujours surprenant Wes Anderson.
Déjà tout l’univers de Wes Anderson avec cette comédie décalée, pleine d’humour et de tendresse, qui dresse le portrait d’un ado surdoué hyper-attachiant, porté par l’excellent duo Jason Schwartzman/Bill Murray. 3,75
Je n'ai pas vu tous les Wes Anderson mais c'est globalement un réalisateur avec lequel j'ai du mal et je n'ai jamais compris pourquoi il suscite une telle admiration auprès de certains. C'est pour essayer de lever cette incompréhension - peut-être que je n'ai pas vu ses meilleures œuvres - que je me suis penché sur "Rushmore", et avec un peu de chance il rejoindrait le groupe de mes bonnes surprises composé de "Moonrise kingdom" et "The grand Budapest hôtel". Et bien non, "Rushmore" a été pour moi d'un ennui mortel. J'ai trouvé ça totalement plat, le personnage principal détestable, ce n'est que passé la moitié du film que j'ai eu espoir qu'il débute réellement, mais après quelques scènes de vengeance croisée un poil prometteuses, tout est retombé à plat.
Deuxième film de Wes Anderson, Rushmore regroupe déjà toutes les thématiques et l'empreinte esthétique du réalisateur. Le portrait de ce jeune homme, anti conformiste, refusant de grandir, et tissant une relation avec un père de substitution, bouleverse par sa justesse et sa puissance. Le jeune Jason Schwarzman est impérial, jouant sur le trouble de son personnage, à la fois très "adulte" et éternel enfant. La réalisation d'Anderson n'est pas encore sclérosé de ses effets, et trouve ainsi une grande force évocatrice.
Ce n'est certes pas le scénario ou la cohérence évolutive des personnages qui intéresse Wes Anderson mais la création d'un univers singulier, immédiatement reconnaissable, entre délires visuels picturaux et ancrage musical décalé. Personnage passablement détestable, le héros campé par un Jason Schwartzmann sautillant de malice ne saurait nous impliquer dans ses péripéties voulues trivialement fascinantes. Une oeuvre originale mais réservée aux fans de cet univers fantasque.
Comédie dramatique coécrite et réalisée par Wes Anderson, Rushmore est un long-métrage agréable. L'histoire nous fait suivre Max Fischer, un élève de quinze ans, d'une école privée. Peu doué pour les matières enseignées, il est en revanche passionné par les activités annexes, faisant de lui un élève central de son établissement. C'est alors qu'au début de l'année scolaire il va faire la rencontre d'une institutrice pour qu'il il se prend d'affection. Ce scénario est plaisant à suivre de bout en bout de sa durée d'une heure et demie qui nous fait vivre une belle histoire. Le ton se veut amusant grâce à un humour subtil donnant le sourire, tout en n'oubliant pas de procurer d'autres sentiments plus tristes. La force du récit se trouve dans les relations entretenues par une galerie de personnages tous sympathiques, interprétés par une distribution qui l'est tout autant. À sa tête, on découvre Jason Schwartzman qui fait ses premiers pas sur grand écran et qui s'avère être une belle révélation en incarnant cet étudiant mature et pédant, parfois irritant, mais grandement attachant, montrant également ses limites d'adolescent dans ce monde d'adulte qu'il côtoie. Il est entouré par d'autres comédiens plus ou moins confirmés comme Bill Murray, Olivia Williams, Seymour Cassel ou encore Brian Cox pour ne citer que les principaux. Mais les seconds rôles sont tout aussi savoureux et tout ce beau monde nous offre des échanges d'une belle authenticité, soutenus par des dialogues très bien écrits et déclamés avec élégance. Sur la forme, la réalisation de Wes Anderson s'avère assez classique mais efficace. Le visuel est plutôt terne mais est accompagné par une b.o. qualitative offrant des ballades anglaises particulièrement estimables restant en mémoires, donnant envie d'êtres réécoutées au-delà du générique de fin. Une conclusion qui s'avère satisfaisante, venant ainsi mettre un terme à Rushmore, qui est un film méritant d'être découvert pour le bon moment qu'il fait passer.
Très bonne surprise, comme la plupart des films de Wes Anderson. Toujours décalé et très bien joué. Un bon humour, un bon casting, beaucoup d’événements inattendus, poétiques et absurdes, j'aime beaucoup !
Une fois de plus, je me suis terriblement ennuyé devant ce film de Wes Anderson, sorti en 1998, dont je ne lui ai trouvé franchement aucun intérêt ! Effectivement, au risque de heurter les fans (puisqu'avec sa très bonne moyenne, il y a forcément un public réceptif), je suis complètement hermétique au style du réalisateur ! Que ce soit au niveau de ses intrigues et de sa mise en scène (il n'y a que "L'Île aux Chiens" que j'ai apprécié et trouvé original), je n'adhère absolument pas à cet univers décalé. Même si d'ailleurs son style n'est pas encore à ce stade complètement appuyé, on peut retrouver certains des thèmes qu'il exploitera complètement dans "Moonrise Kingdom", autre de ses films que j'ai trouvé très ennuyant, c'est-à-dire l'amour naïf et impossible et puis surtout la mise en scène de personnages décalés. Alors ici, ces personnages sont non seulement décalés mais en plus insupportables ! Je n'ai en effet notamment jamais accrocher avec le personnage principal qui est pourtant le seul intérêt du récit ! Car je trouve effectivement que le film ne raconte au final pas grand-chose ; nous suivons pendant une heure et demie ces deux personnages essayer vainement de conquérir une femme. Bon, je reconnais également volontiers que je ne suis pas réceptif au cinéma du réalisateur, ce qui ne m'a donc pas aidé à rentrer dans le film ni à en saisir les sous-textes (s'il y en a). J'ai d'ailleurs attendu la fin avec impatience, ayant d'ailleurs l'impression que l'heure et demi en faisait trois. La mise en scène est quant à elle très bonne mais seulement, encore une fois, je n'ai pas adhéré. "Rushmore" est donc non seulement un film que je n'apprécie pas mais qui est même peut-être ma pire expérience, jusqu'à présent, d'un film du réalisateur.
Une comédie agréable sur un ton léger qui vise un public relativement jeune mais passera bien avec un plus mature. Ce n’est pas lourd, ce n’est pas niais, c’est plutôt bien dosé dans son genre, parfois drôle ou touchant, ça reste surtout crédible spoiler: (pas de relation prof-élève ici, ou plutôt si une relation mais une relation complexe) . Au final, ça se regarde gentiment.
Magnifique ! un film entrainant, bizarre, émouvant et souriant. Une galerie de personnes fort bien interprétées. Un style de films que j'aimerai voir plus souvent où l'imagination rivalise avec ingéniosité et perfection.