Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le cinéaste a resserré l'intrigue sans l'appauvrir, en lui faisant au contraire gagner une forme de mystère, en renonçant à tout expliquer, à tout décrire, en gommant d'improbables coïncidences.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une adaptation splendide d'un mélo victorien.
La Croix
par Marie Soyeux
De toute évidence, cette romance a emporté Thomas Vinterberg. Il en a sublimé les décors en choisissant de fixer sur la pellicule la campagne archétypique du Dorset, dans le sud de l'Angleterre, et en déplaçant plusieurs scènes cruciales à l'extérieur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un grand récit romanesque, avec décors, costumes, sentiments et interprétation à l’avenant.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si Thomas Hardy offre une vision plus sombre de la société anglaise que Jane Austen, il fait souffler un vent terriblement romanesque sur ce roman, somptueusement traduit à l'écran par la mise en scène naturaliste et lyrique du cinéaste Thomas Vinterberg.
Le Point
par Phalène de la Valette
Quand le réalisateur danois Thomas Vinterberg s'empare d'un chef-d'oeuvre victorien, cela donne... un film à la fois romanesque et réaliste !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Maryline Letertre
Pari réussi : aventure, passion romanesque et décors bucoliques régaleront les âmes sensibles qui devraient par ailleurs succomber au charme espiègle de Carey Mulligan et au charisme de Matthias Schoenaerts, subtil mélange de sensibilité et de testostérone.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Eric Vernay
Loin de la fougue décharnée du "Dogme 95", le Danois s’approprie le mélo de Thomas Hardy avec un classicisme flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
On craque pour Carey Mulligan, vibrante, qui incarne cette héroïne féministe avant l'heure dans cette adaptation élégante d'un roman de Thomas Hardy.
Sud Ouest
par Sophie Avon
On n'attendait pas l'auteur de "Festen" et de "The Chase" dans ce genre de reconstitution historique. De toute évidence, le cinéaste danois a eu envie de se livrer à un exercice de style dont il se tire admirablement, tissant entre eux les multiples fils du récit où l'intrigue romantique laisse présager une époque charnière.
TF1 News
par Yves Grosjean
Du romantisme à l'état pur, comme on l'aime. Et si on y croit, c'est aussi grâce aux acteurs, tous impeccables.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Sidy Sakho
En héroïne fémniste et dépassée, Carey Mulligan se révèle plus convaincante que jamais. Mais c'est bien Matthias Choenaerts, désormais coutumier des films historiques, qui campe le plus beau personnage. Dans le rôle de Gabriel Oak, fermier déclassé embauché par une fille qu'il a connue pauvre, il s'impose très vite comme un amant évident.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Si ce portrait de femme souffre de la comparaison avec le romantisme de la version de 1967 avec Julie Christie, on se laisse emporter par la reconstitution minutieuse de l'époque. Et, surtout, l'interprétation fiévreuse de Carey Mulligan et Matthias Schoenaerts.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le réalisateur de Festen et La Chasse s’aventure sur les terres tempétueuses de Thomas Hardy pour une oeuvre romanesque, particulièrement savoureuse, qui captivera les amateurs de classiques britanniques fougueux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Noémie Luciani
Malgré un excellent casting, dominé par Carey Mulligan, Thomas Vinterberg ne parvient pas à éviter la platitude.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
Egaré dans la démonstration complaisante de son dernier ouvrage, la Chasse, le cinéaste négocie ici une habile transition vers son prochain film, pétri de souvenirs autobiographiques cette fois et déjà tourné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Faute d'être vraiment transporté par le déchaînement des passions, on se laisse séduire par les charmes naturels d'une campagne anglaise joliment racontée par une caméra bienveillante.
Télérama
par Cécile Mury
Tout cela est agréable à contempler, interprété avec beaucoup d'élan et de sensibilité. Impossible, cependant, de déceler la patte du cinéaste dans ces scènes élégamment académiques, loin, très loin de la cruauté délicate et de la singularité d'une autre adaptation de Thomas Hardy : " Tess" de Roman Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
On peine à reconnaître la patte de Thomas Vinterberg dans cette adaptation d’un classique de la littérature britannique très roudoudou les belles images. Comme si sa gniaque habituelle avait été étouffée sous les costumes et les draperies.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Cette adaptation un peu fade ne rend finalement pas service au matériau d’origine : en gommant ses aspérités, elle l’identifie à une forme de romantisme académique, loin de Thomas Hardy.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Une jolie fresque pas désagréable à l'œil mais qui finit par diluer dans son vernis esthétique toute l'âpreté du livre.
Voici
par Vincent Cocquebert
Un assemblage de scènes inégales, souvent un brin mécaniques.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Un film superflu, n’ajoutant rien aux adaptations antérieures du roman (notamment à celle, très belle, réalisée par John Schlesinger en 1967) et qui semble comme une réponse plus ou moins indifférente à une commande de producteur.
Critikat.com
par Eva Markovits
Certes, les comédiens sont bons, mais l'impression d'être devant une énième adaptation de Thomas Hardy, pour divertissante qu'elle soit, ne nous quitte jamais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
Le cinéaste a resserré l'intrigue sans l'appauvrir, en lui faisant au contraire gagner une forme de mystère, en renonçant à tout expliquer, à tout décrire, en gommant d'improbables coïncidences.
CinemaTeaser
Une adaptation splendide d'un mélo victorien.
La Croix
De toute évidence, cette romance a emporté Thomas Vinterberg. Il en a sublimé les décors en choisissant de fixer sur la pellicule la campagne archétypique du Dorset, dans le sud de l'Angleterre, et en déplaçant plusieurs scènes cruciales à l'extérieur.
Le Dauphiné Libéré
Un grand récit romanesque, avec décors, costumes, sentiments et interprétation à l’avenant.
Le Journal du Dimanche
Si Thomas Hardy offre une vision plus sombre de la société anglaise que Jane Austen, il fait souffler un vent terriblement romanesque sur ce roman, somptueusement traduit à l'écran par la mise en scène naturaliste et lyrique du cinéaste Thomas Vinterberg.
Le Point
Quand le réalisateur danois Thomas Vinterberg s'empare d'un chef-d'oeuvre victorien, cela donne... un film à la fois romanesque et réaliste !
Metro
Pari réussi : aventure, passion romanesque et décors bucoliques régaleront les âmes sensibles qui devraient par ailleurs succomber au charme espiègle de Carey Mulligan et au charisme de Matthias Schoenaerts, subtil mélange de sensibilité et de testostérone.
Première
Loin de la fougue décharnée du "Dogme 95", le Danois s’approprie le mélo de Thomas Hardy avec un classicisme flamboyant.
Public
On craque pour Carey Mulligan, vibrante, qui incarne cette héroïne féministe avant l'heure dans cette adaptation élégante d'un roman de Thomas Hardy.
Sud Ouest
On n'attendait pas l'auteur de "Festen" et de "The Chase" dans ce genre de reconstitution historique. De toute évidence, le cinéaste danois a eu envie de se livrer à un exercice de style dont il se tire admirablement, tissant entre eux les multiples fils du récit où l'intrigue romantique laisse présager une époque charnière.
TF1 News
Du romantisme à l'état pur, comme on l'aime. Et si on y croit, c'est aussi grâce aux acteurs, tous impeccables.
Transfuge
En héroïne fémniste et dépassée, Carey Mulligan se révèle plus convaincante que jamais. Mais c'est bien Matthias Choenaerts, désormais coutumier des films historiques, qui campe le plus beau personnage. Dans le rôle de Gabriel Oak, fermier déclassé embauché par une fille qu'il a connue pauvre, il s'impose très vite comme un amant évident.
Télé 7 Jours
Si ce portrait de femme souffre de la comparaison avec le romantisme de la version de 1967 avec Julie Christie, on se laisse emporter par la reconstitution minutieuse de l'époque. Et, surtout, l'interprétation fiévreuse de Carey Mulligan et Matthias Schoenaerts.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur de Festen et La Chasse s’aventure sur les terres tempétueuses de Thomas Hardy pour une oeuvre romanesque, particulièrement savoureuse, qui captivera les amateurs de classiques britanniques fougueux.
Le Monde
Malgré un excellent casting, dominé par Carey Mulligan, Thomas Vinterberg ne parvient pas à éviter la platitude.
Libération
Egaré dans la démonstration complaisante de son dernier ouvrage, la Chasse, le cinéaste négocie ici une habile transition vers son prochain film, pétri de souvenirs autobiographiques cette fois et déjà tourné.
Ouest France
Faute d'être vraiment transporté par le déchaînement des passions, on se laisse séduire par les charmes naturels d'une campagne anglaise joliment racontée par une caméra bienveillante.
Télérama
Tout cela est agréable à contempler, interprété avec beaucoup d'élan et de sensibilité. Impossible, cependant, de déceler la patte du cinéaste dans ces scènes élégamment académiques, loin, très loin de la cruauté délicate et de la singularité d'une autre adaptation de Thomas Hardy : " Tess" de Roman Polanski.
20 Minutes
On peine à reconnaître la patte de Thomas Vinterberg dans cette adaptation d’un classique de la littérature britannique très roudoudou les belles images. Comme si sa gniaque habituelle avait été étouffée sous les costumes et les draperies.
Culturopoing.com
Cette adaptation un peu fade ne rend finalement pas service au matériau d’origine : en gommant ses aspérités, elle l’identifie à une forme de romantisme académique, loin de Thomas Hardy.
Studio Ciné Live
Une jolie fresque pas désagréable à l'œil mais qui finit par diluer dans son vernis esthétique toute l'âpreté du livre.
Voici
Un assemblage de scènes inégales, souvent un brin mécaniques.
Cahiers du Cinéma
Un film superflu, n’ajoutant rien aux adaptations antérieures du roman (notamment à celle, très belle, réalisée par John Schlesinger en 1967) et qui semble comme une réponse plus ou moins indifférente à une commande de producteur.
Critikat.com
Certes, les comédiens sont bons, mais l'impression d'être devant une énième adaptation de Thomas Hardy, pour divertissante qu'elle soit, ne nous quitte jamais.