Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une comédie très attachante qui explore tous les clichés de la culture latino (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
MCinéma.com
par Sylvie Lachat
Plein de poésie et de grâce, à la fois grave et léger, un rien fantasque, ce film nous entraîne sur le ton de la comédie dans cette quête d'elle-même et son devenir que mène, sans en avoir réellement conscience, son héroïne.
Première
par Virginie Apiou
Ce film ressemble à une guirlande électrique de Noël, bariolée et religieuse. Ca déborde d'une imagination canalisée par un scénario dont le fil rouge est une symbolique entre religion et superstition (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Le voyage d'Esperanza, au prénom ironique, est prétexte à revisiter les superstitions mexicaines vues sous l'angle d'un folklore presque ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
On se permettra d´estimer cette douceur un peu trop émolliente pour que le cocktail initial (religion, sexe et magie – recette traditionnelle mexicaine) conserve sa puissance d´enivrement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par n.c.
On reste perplexe devant ce type de récit, décidément trop éloigné de nos canons occidentaux. Mais on peut y voir aussi une sorte de joli rêve.
Positif
par Pierre Eisenreich
S'en tenant à une gentillesse sincère, Esperanza et ses saints ne nous fait guère goûter le fruit défendu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Repérages
par n.c
Une épopée naïve (...)
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
On suppute que le grotesque des situations relève d'un deuxième degré à usage local. Si ce n'est pas le cas, on est en présence d'un authentique nanar.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par G.L.
(...) un départ bizarre, mais pourquoi pas ? La suite surenchérit dans un baroque kitsch à souhait et, rapidement, on ne sait plus à quel saint se vouer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
Une comédie très attachante qui explore tous les clichés de la culture latino (...)
MCinéma.com
Plein de poésie et de grâce, à la fois grave et léger, un rien fantasque, ce film nous entraîne sur le ton de la comédie dans cette quête d'elle-même et son devenir que mène, sans en avoir réellement conscience, son héroïne.
Première
Ce film ressemble à une guirlande électrique de Noël, bariolée et religieuse. Ca déborde d'une imagination canalisée par un scénario dont le fil rouge est une symbolique entre religion et superstition (...).
Aden
Le voyage d'Esperanza, au prénom ironique, est prétexte à revisiter les superstitions mexicaines vues sous l'angle d'un folklore presque ridicule.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
On se permettra d´estimer cette douceur un peu trop émolliente pour que le cocktail initial (religion, sexe et magie – recette traditionnelle mexicaine) conserve sa puissance d´enivrement.
Le Parisien
On reste perplexe devant ce type de récit, décidément trop éloigné de nos canons occidentaux. Mais on peut y voir aussi une sorte de joli rêve.
Positif
S'en tenant à une gentillesse sincère, Esperanza et ses saints ne nous fait guère goûter le fruit défendu.
Repérages
Une épopée naïve (...)
Télérama
On suppute que le grotesque des situations relève d'un deuxième degré à usage local. Si ce n'est pas le cas, on est en présence d'un authentique nanar.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) un départ bizarre, mais pourquoi pas ? La suite surenchérit dans un baroque kitsch à souhait et, rapidement, on ne sait plus à quel saint se vouer.