Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Au lieu d'une histoire linéaire avec un début, un milieu et une fin, le récit est littéralement saturé de flashs-back (...). Heureusement, il y a la touche baroque, Amérique latine oblige, et un beau sens du cadre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Un casse-tête colombien où l'on croise le personnel traditionnel du polar, au fil d'un scénario alambiqué qui ne révolutionne pas le genre, mais le sert plutôt efficacement quand il oublie ses prétentions métaphysiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Luis Ospina a voulu se jouer des règles du polar et les détourner pour mieux faire sourire ses spectateurs. Son clin d'œil coloré peine toutefois à prendre son envol loin des clichés cinématographiques.
Ce Souffle de vie lorgne du côté du Grand Sommeil (...). Le privé porte imperméable, parle en voix-off, la filee est fatale, l'homme politique véreux (...). Bref, rien de neuf ni de suffisant pour créer une ambiance poisseuse de bon film noir.
La critique complète est disponible sur le site Première
C'est une curiosité : un film noir colombien dans la tradition hollywoodienne des années Bogart. Mais le florilège de citation nuit à la cohérence de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
(...) une belle garce assassinée, un privé solitaire, un directeur de casino louche, un hôtel borgne... Tout y est (...). Mais (...) le film finit par sembler très appliqué, et un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est dans les limites très contraignantes du pastiche et dans la beauté de son actrice principale, Flora Martinez, que se situe (...) l'intérêt - relatif - du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) cette transposition colombienne, toute de néons bleus vêtue, de l'univers de Raymond Chandler et de Mickey Spillane, souffre dans son projet même d'un trop plein de pittoresque, avec overdose de poses afférentes au roman noir (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Au lieu d'une histoire linéaire avec un début, un milieu et une fin, le récit est littéralement saturé de flashs-back (...). Heureusement, il y a la touche baroque, Amérique latine oblige, et un beau sens du cadre.
Chronic'art.com
Objet pour le moins insolite, Soplo de vida cultive un mauvais goût qui pour le coup n'a vraiment rien de parodique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Un casse-tête colombien où l'on croise le personnel traditionnel du polar, au fil d'un scénario alambiqué qui ne révolutionne pas le genre, mais le sert plutôt efficacement quand il oublie ses prétentions métaphysiques.
MCinéma.com
Luis Ospina a voulu se jouer des règles du polar et les détourner pour mieux faire sourire ses spectateurs. Son clin d'œil coloré peine toutefois à prendre son envol loin des clichés cinématographiques.
Positif
(...) ce cocktail d'exotisme et de cinéphilie relevé d'un trait d'érotisme piquant se laisse voir sans déplaisir.
Première
Ce Souffle de vie lorgne du côté du Grand Sommeil (...). Le privé porte imperméable, parle en voix-off, la filee est fatale, l'homme politique véreux (...). Bref, rien de neuf ni de suffisant pour créer une ambiance poisseuse de bon film noir.
Repérages
C'est une curiosité : un film noir colombien dans la tradition hollywoodienne des années Bogart. Mais le florilège de citation nuit à la cohérence de l'histoire.
Télérama
(...) une belle garce assassinée, un privé solitaire, un directeur de casino louche, un hôtel borgne... Tout y est (...). Mais (...) le film finit par sembler très appliqué, et un peu vain.
Aden
C'est soporifique ou assommant, au choix. Et si vous êtes de bonne humeur, mortel.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
C'est dans les limites très contraignantes du pastiche et dans la beauté de son actrice principale, Flora Martinez, que se situe (...) l'intérêt - relatif - du film.
Libération
(...) cette transposition colombienne, toute de néons bleus vêtue, de l'univers de Raymond Chandler et de Mickey Spillane, souffre dans son projet même d'un trop plein de pittoresque, avec overdose de poses afférentes au roman noir (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com