Avis : Monster Hunter - Page 7

Malgré la présence d'effets-spéciaux efficaces et dantesques, le début commencer plutôt bien mais Paul W.S. Anderson ne peut s’empêcher de replonger dans ses vieilles habitudes : scenario absence de logique, péripéties de survie médiocres et enjeux de débiles attardés. Cette adaptation de jeux vidéo est la moins désagréable que le réalisateur à dans son habitude de nous pondre. Le meilleur du pire signé par Paul W.S. Anderson qui parvient à divertir quelques fois mais ne parvient jamais a se hisser à la hauteur de son sujet.

Bon, je m'attendais à voir un film affligeant, comme la plupart des film ou Milla Jovovich joue d'ailleurs, mais ça se regarde, sans plus, c'est une nullité qui se laisse regarder, mais sera vite oublié...
Le pire, c'est même pas Milla, c'est surtout Ron Perlman, son jeu d'acteur et... Sa magnifique coupe de cheveux mdr...
Allé, suivant...

Sans surprise. C'est un film d'action banal mais aux effets spéciaux bien montés. Je n'attends en général pas grand chose de Milla Jovovitch et bingo : il n'y a rien à attendre de son jeu. Cependant on se laisse balader par cette histoire et au final 1h40 passe tranquillement.

Je ne sais pas ce qui est le plus mauvais dans ce film ?
Le jeu des acteurs ?
Le scénario ?
Les décors ?
La perruque Wish de Ron Perlman ?
Ils auraient pu faire tellement mieux...
Bref, rien ne va, ne gaspillez pas 1h30 de votre temps.

Un film presque correct dans la filmographie de Paul WS Anderson. Bien sûr il y a quelques invraisemblances, des personnages caricaturaux et de l'humour qui ne fonctionnent pas, mais l'univers est prenant, l'OST est bonne et les scènes d'action sont bien réalisées. Le principal point négatif ? Le film ne raconte pas grand chose... Il se termine un peu brusquement alors qu'on désire en apprendre plus sur ce monde et sur l'histoire.

Sidérant.
Une sorte de Jumanji pour adultes, l'humour en moins, l'hémoglobine en plus.
C'est correctement fait, mais c'est affligeant.

Le Lieutenant Artemis et son unité d’élite traversent un portail qui les transporte dans un univers parallèle dominé par de puissants monstres.

C'est Paul W.S. Anderson, réalisateur de la saga Resident Evil, qui adapte la franchise de jeux vidéo Monster Hunter développée par Capcom. Il en a aussi écrit le scénario.

Ce n'est jamais chose facile d'adapter un jeux vidéo sur grand écran. C'est d'ailleurs devenu une "spécialité" de Paul W.S. Anderson car en plus de Resident Evil, il s'était aventuré à faire Mortal Kombat en 1995. Encore une fois, c'est un échec vu la piètre qualité du résultat.

Je n'ai jamais joué à Monstre Hunter, et je dois dire que j'ai été séduit par l'univers. On voit que la base est assez solide. Ce monde rempli de monstre dangereux sera la seule et unique force du film. J'aime leur design mais plus généralement, les costumes des personnages sont vraiment cool, ainsi que leurs armes.

Une fois que cela est dit, on peut taper dessus sans trop de problèmes. Car quand on voit l'or qu'ils avaient entre les mains, c'est un vrai gâchis. Déjà, il aurait été bien de plus miser sur la qualité des effets spéciaux. Ceux-ci ne sont pas grandioses, pour ne pas dire quelques choses de méchants... Quand on voit le budget de 60 M$, on aurait pu s'attendre à mieux.

Si seulement il n'y avait que ça, mais c'est un festival de loupé. Je pense directement aux scènes d'action. Celle-ci occupe logiquement une bonne partie du film et pourtant elles sont désagréables à regarder. C'est mal filmé sans avoir aucun côté immersif. Les choix de cadrage sont douteux et le montage est saccadé avec des images qui sont coupés brutalement.

Le scénario ne va pas être meilleur. Je ne sais pas comment c'est présenté dans le jeu vidéo, mais là niveau explication c'est zéro pointé. C'est simple, il faut attendre les 20 dernières minutes pour que ça se développe un minimum.

Pour autant, on n’en apprend pas grand-chose et cela donne l'impression de vouloir donner des explications pour remplir. Cela soulève un bon nombre de questions. C'est rageant. J'espère que ce n'est pas une tactique pour nous programmer une suite.

Pour finir de nous achever, vient la performance de la "grande" Milla Jovovich. Je ne la supporte pas, et ce film ne va pas m'aider à l'apprécier. Son duo avec le Thaïlandais Tony Jaa ne fonctionne pas du tout. L'espoir aurait pu venir du casting secondaire avec entre autres Diego Boneta et T.I. mais l'avenir en a décidé autrement.

Il n'y avait vraiment pas besoin de pondre une histoire de mondes parallèles et d'amener des militaires américains dans l'univers de Monster Hunter. Quelle horrible idée de scénario. Forcément le résultat est très mauvais.

Si le respect du matériau d'origine est passé à la trappe, Monster Hunter est totalement dans la lignée des précédents films du réalisateur. Le montage à la truelle et les scènes d'action non-stop ne manquerons pas de plaire aux amateurs de ce genre de plaisir coupable. Malheureusement, il n'y pas grand chose à garder au final. C'est foutraque, incohérent sur bien des points, et la partie survie ressemble étrangement au dernier Riddick... le charisme en moins !

Franchement j'ai passé un bon moment. J'ai accroché autant à l'histoire qu'aux personnages, et le bestiaire vraiment du Monster Hunter. Du spectacle qui m'a tenu en haleine et c'est ce que je voulais avec ce genre de film.

J’avais pas forcément d’a priori sur ce film, malgré le fait que ce soit une adaptation de jeux vidéo, en plus de Paul W.S. Anderson avec Milla Jovovich. Je me suis juste dirigé vers ce film d’une manière curieuse et en restant objectif ; malheureusement les 10 premières minutes sont représentatives de la piètre qualité du film. C’est monstrueux, c’est éclaté, c’est nul, c’est pitoyable.

Déjà la réalisation : si vous trouviez que la patte d’Anderson avait un charme dans “Resident Evil”, là c’est une hécatombe. Il y a environ un milliard de plan pour une courte scène d’action, cela pourrait donner la gerbe, et le réalisateur ne cesse de faire des plans larges montrant un horizon même pas impressionnant, usant des ralentis ; bien sûr tout cela est plus qu’inutile. Sans oublier les effets spéciaux qui sont dignes d’un jeu bas de gamme pour la PS1. La musique pourrait convenir, sauf si elle apparaît toutes les 5 minutes et figurez-vous qu’elle apparaît toutes les 5 minutes. D’ailleurs, le film n’a aucun sens des grandeurs et de la grandiloquence, c’est juste une bouillie visuelle pour pré-adolescent voulant être stylé à 11 ans.

Ensuite l’histoire, elle commence dès le début, cela pourrait être une qualité si l’univers était visible, clair et bien installé ; or là il ne l’est pas, il est abstrait, on ne sait absolument rien, où on est ? Que se passe-t-il ? Conflits ? Clans ? Non, rien de tout ça ; on nous laisse nous débrouiller. Après le peu d'univers que l’on voit ne nous rend pas curieux, car il n’y a que du vide, du désert et des carcasses. On s’attache à environ 0 personnage, aussi bien écrit soit-il (c’est de l’ironie), le réalisateur n’arrive pas à nous faire ressentir de l’empathie, accompagné d'un rythme bâclé et un récit qui tente un 3x500 voulant se finir le plus rapidement possible. J’allais oublier les dialogues, ah non, c’est plutôt Paul W.S. Anderson qui les a oubliés car à part les cris et les injures de Milla Jovovich, le film n’a rien de très littéraire.

Sans surprise, je ne recommande absolument pas ce film, loin de là, j’encourage même à le fuir pour éviter toute brûlure de la rétine tant il est horrible. C’est un film à la Roland Emmerich sans la patte de Roland Emmerich et dans des décors fantaisistes mal intégrés. Pour un film d’1h40, je pense avoir perdu 2h de ma vie.

Encore un bon petit nanar de Paul Anderson avec encore et toujours sa femme qui ne sait toujours pas jouer en 25 ans de carrière et dont la présence est toujours indicatrice du niveau de nanardisme du film. 90 minutes de film bien étirées avec des plans de remplissage parce qu'on est pas là pour trainer non plus.

Encore un massacre, pardon une adaptation, de jeu vidéo histoire d'attirer la curiosité des geeks.
Concrètement, tout ce que le film adapte du jeu vidéo, c'est le look des personnages et de quelques monstres, mais niveau histoire, je pense que la bande annonce avec des soldats avec des fusils d'assauts étaient clairs pour tout le monde sur le degré de fidélité à l’œuvre vidéoludique.

Pour le reste, c'est clairement le genre de produit qui part habituellement tout de suite en direct to vidéo. La réalisation du niveau d'un film à quelques dizaines de milliers de dollars de budget (alors que le film a quasiment le budget du 1er Matrix) , les effets spéciaux moins bons que ceux d'une série TV, les plans ultra kitch, les dialogues ultra gênants de ridicule, le jeu catastrophique de TOUS les acteurs, probablement en partie dû à l'absence de talent pour la direction d'acteur du réalisation (parce qu'OK, on a un casting constitué intégralement d'acteurs de nanars mais même Ron Perlman est ridicule, alors qu'il peut être très bon quand il est bien dirigé)

L'univers vidéoludique est sans doute riche de détails et de monstres, hors ce n'est pas le cas dans ce film ou le monde de "Monster Hunter" n'est qu'un décor central au beau milieu d'un espace vide. Comme entame pour une future (?) saga, c'est raté.

Une fois de plus, il fait parti des films qui devaient sortir en 2020 et fut repoussé avant de finalement sortir de la manière la plus radicale qui soit. Mais honnêtement j'en attendait rien étant donner le peu d'infos sur sa production, son histoire et tous le reste. Franchement il aurait dû me plaire mais quand je vois la finalité du scénario, de son contenu, de son jeu et de sa crédibilité... mon dieu mais comment on peut croire qu'Hollywood soit capable de sortir encore aujourd'hui des films n'ayant aucun scénario, aucun développement et aucune finalité ? Visuellement pourtant il s'agit d'un des très rares films de Sony et Constantine films à être si démentiel, un design impeccable sur ces monstre démesurer, des effets sonores d'une énormes qualité et des décors absolument magnifique... mais comment peut-on à ce point raté une histoire adaptée d'une saga de jeux ? Comment peut-on louper un développement de récit, expliquer ne serait-ce un minimum quel est ce lieu inconnu et ces dinosaures d'un autre monde ? Louper le développement des personnages surtout pour l'acteur secondaire en indigène du désert ? Il m'aura fallut ce film pour enfin comprendre la définition de "scénario chaotique" ou "film pop corn". Certes, nombre sont les saga qualifiées de "sans intérêt" ou œuvres ou l'histoire est au abonnés absents, mais ces derniers possède un minimum de trame de fond, ici mais, entre la scène d'ouverture incohérente, une traversé expresse mais impressionnante du monde humain à ce monde inconnu, un personnage dont rien est su, un final complètement à l'arrache avec le retour en petite fleur des personnages de l'ouverture pour une volée super-héroïque vers le combat dans un ensemble totalement "MDR"... rien de rien. Paul W.S Anderson, à l'origine de l'immense saga d'horreur planétaire "Résident Evil", ne s'est tout bonnement, pas fouler pour cette adaptation qui pour moi et sans jamais avoir vu et jouer à ce jeu, est raté. Le cinéma français aura toujours peur de se lancer dans d'énormes projets par crainte de floppe, les U.S. eux n'ont ni peur ni frisson de le faire tellement il rattrapent le coup dans leur projet d'après. Ce film en est la preuve irréfutable alors, passons.

On a compris depuis longtemps que Paul W.S. Anderson ne tourne des films que dans l’unique objectif de filer du taf à son épouse Milla Jovovich (qui, à peu de choses près, ne joue d’ailleurs plus que pour lui)...et on sait qu’il raffole des adaptations de jeux vidéo qui offrent l'avantage de pouvoir se passer le plus souvent de profondeur et de cohérence scénaristique. Adressez quelques clins d’oeil aux fans avec un dialogue ou un mouvement de combat particulier, plantez un décor familier et tirez deux ou trois monstres numériques du chapeau et en général, le tour est joué. Je n’ai jamais joué à ‘Monster Hunter’ mais j’imagine très bien ce que c’est : un gameplay primaire de levelling obligatoire où on massacre des monstres de plus en plus gros. Le film qui en est tiré, c’est rigoureusement la même chose : une guerrière badass qui se demande comment tuer un gros monstre, commence par se faire la main sur des petits monstres avant de comprendre comment tuer le gros monstre et, une fois des alliés en poche, file sa raclée à un très très gros monstre. Il s’agit donc moins d’un film que d’un ensemble de cinématiques PS5 soigneusement montées mais ‘Monster hunter’ s’avère suffisamment dynamique pour se laisser regarder d’un oeil distrait, le cerveau à l’arrêt et la bouche pleine de popcorn. Voilà qui témoigne sans doute aussi du regard avisé que Anderson porte sur sa propre manière de concevoir le cinéma : après quelques épisodes de ‘Resident evil’ pourvus d’un scénario inutilement complexe dont on se foutait éperdument, l’homme a parfaitement compris que personne ne lui en voudrait s’il rognait sur le poste “scénario et dialogues””. D’ailleurs, le fait que tout le film, en dehors de ses scènes à effets spéciaux, repose sur ces deux acteurs d'envergure shakespearienne que son Milla Jovovich et Tony Jaa, dont les personnages sont en outre séparés à l’écran par la barrière de la langue, révèle à peu près en quel estime Anderson tient le concept de “raconter une histoire”.