0/20 : Tout d'abord, je vais vous raconter comment j'en suis venue à regarder ce film. En allant sur un site de téléchargement je suis tombée par hasard sur la fiche de "the présence" et le synopsis m'a interpellé. De plus, lorsque que l’on perçoit l’affiche de « The Presence » on remarque une forte ressemblance avec celle « des autres » avec Nicole Kidman. En effet, les deux films traitent sur une histoire similaire (fantôme, apparition…). Malheureusement, « The Presence » est à chier (Excusez moi pour le langage employé mais quand on voit qu’il y a des scénaristes qui perdent leur temps et leur argent à réaliser des merdes pareilles, on a envie d’exprimer notre mécontentement) contrairement au film « Les autres » qui était excellent.
Il ne se passe pas grand-chose, (même rien du tout) hormis deux oiseaux qui se suicident contre le mur des toilettes, tellement consterné par ce qu’on leur impose. Et oui, c’est au WC que l’héroïne peut avoir cette sensation «d’insécurité » (thermes utilisé dans le synopsis) car le reste est d’une platitude extrême. A croire que les toilettes, c’est Le lieu clé du film.
Pour ce qui est du fantôme alias Shane West, vous ne pouvez pas le louper, c’est une sorte de limace qu’on colle derrière une vitre, le seul point positif c’est qu’il n’est pas gluant. Un mollasson qui passe son temps qu’à bouger ces deux yeux à droite à gauche (seule partie de son corps ayant encore du mouvement), bref encore un acteur qu’on paie pour ne rien faire !
Mira Sorvino (l’héroïne) n’est guère attachante puisque c’est un personnage lunatique dont on ne comprend pas les réactions. Justin Kirk (le petit ami) m’a fait rire (involontairement) avec sa petite bouche pincée et son air de « monsieur je sais tout », le pire c’est qu’il n’est pas si hautain (malgré les apparences) au contraire, il est romantique et patient. On a de la peine envers lui puisque qu’il s’en prend pleins la gueule alors qu’il n’a rien demandé à personne ce petit bonhomme !
Le film était déjà bien chiant, mais lorsque que Tony Curran (l’homme en noir) rentre en scène, c’est l’apothéose ! Il s’en suit des dialogues affligeants et accablants, d’une longueur interminables mené par un jeu d’acteur sur joué et théâtrales.
A la fin, Shane West le fantôme serre la main à un type noir de deux mètres pour acquérir sa liberté et Mira Sorvino emmène son petit ami blessé dans une barque. Dans la barque, se trouve un fantôme portant un sweet à capuche noir (une « âme noir » je suppose)qui murmure à l’oreille de M. Browman.
Je n’ai absolument pas été apeurée ni même troublée par The Presence. Au contraire, je suis resté blasée comme Shane West tout au long du film. Parfois, on rigole tellement c’est nul. Pour conclure, « the Présence » est un film sans queue ni tête, sans intérêt et sans aucun rebondissement. N.B ; J’ai oublié de dire que c’était également mièvre.