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    The Happy Prince
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    33 critiques spectateurs

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    Guiciné
    Guiciné

    162 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    Un film inspiré grâce à un scénario bien construit et une mise en scène vive et inventive, c’est prenant, émouvant et superbement interprété.
    Du très beau cinéma.
    djams
    djams

    34 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2018
    C'est une histoire on ne peut plus vraie ! L'intolérance à l'égard des homosexuels n'est malheureusement pas nouvelle. Ce film nous explique qu'on ne peut pas lutter contre les travers d'une société ni de ses propres travers. C'est triste mais malheureusement vrai. Il faut s'y faire.
    bouddha5962
    bouddha5962

    61 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2018
    La vie de Oscar Wilde dépeinte par Rupert Everett est très intéressante pour connaître l’existence tumultueuse de ce personnage romanesque.

    Les acteurs sont excellents et les décors du Londres de la fin du 19ème sont dépaysants.

    Un biopic réussi et captivant même si des longueurs peuvent amener à quelqu’episodes de relâchement.
    leobis
    leobis

    59 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    Très bonne reconstitution de l'époque d'Oscar WILDE, aussi bien en Angleterre qu'en France.
    Film très esthétique, un bémol cependant, le maquillage de Rupper Everett qui n'est pas toujours réussi.
    S'agissant du personnage, il est parfaitement incarné et l'on assiste à un aspect de sa personnalité non encore exploité, notamment la souffrance endurée suite à ce qu'il appelait ses démons.
    sameplayerparis
    sameplayerparis

    34 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    Heureusement que je ne me suis pas trop laissé influencer par les critiques des autres consommateurs. J'ai beaucoup aimé ce film, même si la bande sonore un peu bruyante empêche de correctement entendre les dialogues. Heureusement qu'il y a les sous-titres....
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2019
    Paris. 1900. Oscar Wilde agonise dans un garni miteux. Cinq ans plus tôt il était la coqueluche de Londres où ses pièces pleines d'esprit se jouaient à guichets fermés. Mais son homosexualité lui vaut deux ans de travaux forcés. Libéré en 1897, ruiné et malade, il quitte à jamais l'Angleterre.

    "The Happy Prince" raconte les trois dernières années de la vie d'Oscar Wilde. Si son titre renvoie à une de ses nouvelles, cette histoire n'a rien de gaie. Oscar Wilde n'a que quarante ans passé ; mais il en fait vingt de plus avec ses bajoues flasques et ses cheveux gras. C'est un homme usé, humilié, dont l'argent file entre les doigts et que le génie créatif a abandonné. Autour de lui quelques figures plus ou moins amies : Lord Alfred Douglas (Colin Morgan), son mauvais génie, Robbie Ross (Edwin Thomas), son amant dévoué, Reginald Turner (Colin Firth) son fidèle impresario...

    Rupert Everett est le réalisateur, le scénariste et l'acteur principal de "The Happy Prince". Jeune premier dans les années 80, il n'a pas connu la carrière internationale d'un Hugh Grant. La faute selon lui à son coming out qui lui a fermé bien des portes et qu'il raconte dans ses Souvenirs. Du coup, la vie de Oscar Wilde a pour Ruper Everett des relents autobiographiques. "Oscar Wilde, c'est moi" semble-t-il nous crier à chaque plan.

    "The Happy Prince" est lesté par ses trop nombreux défauts. L'interprétation cabotine et sans finesse de Rupert Everett n'est pas le seul.  La reconstitution, aussi soignée soit-elle, de la Belle Époque est trop artificielle. Le scénario, dont on sait par avance l'issue, manque de surprises. La mise en scène, la direction d'acteurs, les décors sentent trop la naphtaline pour convaincre ou pour émouvoir.
    Audrey L
    Audrey L

    638 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2020
    Pouvait-on imaginer un hommage plus sincère que celui-ci ? No, Darling... Rupert Everett, homme de théâtre accompli qui connaît Wilde mieux que quiconque et interprète au cinéma de son classique L'Important d'être Constant, s'est donné l'immense tâche d'écrire, réaliser et jouer (rien que ça !) ce biopic sur l'auteur. On est immédiatement sous le charme de son style académique britannique, de son élocution impeccable et de son délicieux accent lors des copieux dialogues en français (la moitié de The Happy Prince se déroulant en France, l'acteur a tenu à garder la langue française, ce qui est tout à son honneur). On ferme un peu les yeux sur la fin très tragique-lyrique, et sur quelques longueurs, l'ensemble étant tout à fait plaisant ! On découvre sans aucune concession la vie délurée de cet auteur, qui avait des penchants pédophiles, homosexuel volage entre plusieurs amants et aventures sans lendemains, alcoolique et drogué... On comprend vite que lesdits amants ont joué un grand rôle dans l'écriture des œuvres de Wilde, et si l'on ne connaît pas bien l'auteur, on peut sortir le carnet de notes t ! Vraiment, quand on lit la biographie d'Everett (Tapis rouge et autres peaux de bananes), on sait d'emblée que si un biopic devait naître sur Wilde, il ne pourrait être mis en scène que par ce fin spécialiste, voilà chose faite. Et l'on fond carrément de revoir Colin Firth et Rupert Everett côte-à-côte, presque quarante ans après leurs débuts ensemble dans Another Country...
    Marc R
    Marc R

    17 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 décembre 2018
    Vu en avant première avec l’équipe à l’UGC Les Halles. Énorme déception, avec le sentiment de m’être totalement trompé de film ! La technique est très mauvaise avec beaucoup de scènes où l’on distingue à peine les personnages et objets (parties trop sombres). La caméra est souvent instable. Lea cadrages et mouvant se caméra sont banals. Les couleurs sont délavées et ternes. Un caméscope bas de gamme a t il été utilisé ? Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là. Les dialogues pseudo intellectuels et poétiques pullulent. Le découpage et l’enchaînement des scènes semble totalement aléatoire et décousu: on passe d’un personnage et d’une période à un autre moment ou / et personnage sans justification. Des personnages apparaissent sans contexte et justification. Etc. Très mauvais et décevant.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2019
    The Happy Prince de et avec Rupert Everett est un drame tantôt drôle, tantôt émouvant et bouleversant sur le génial, mais conspué Oscar Wilde, peu avant sa mort. Plus qu'un biopic, l'occasion de redécouvrir un des plus grands auteurs et surtout la naissance d'un grand metteur en scène.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2019
    Rupert EVERETT a choisi de raconter les 3 dernières années de la vie de l’écrivain irlandais Oscar Wilde (mort à 46 ans en 1900) et qu’il interprète également. spoiler: Le titre fait référence, d’une part, à un recueil de nouvelles de l’écrivain, « Le Prince heureux et autres contes » « The Happy Prince and other tales ») (1888) et d’autre part, à la même histoire qu’il racontait à ses deux enfants et plus tard, à deux orphelins rencontrés à Paris.
    Le film est bien réalisé, avec une belle photographie, une belle reconstitution des moments passés à Dieppe spoiler: (où Oscar Wilde prend le nom de Sébastien Melmoth)
    , Naples spoiler: (où séjournent les 2 amants après une rencontre émouvante sur le quai de la gare de Rouen)
    et Paris spoiler: (où il meurt à la suite d’une opération de la mastoïde droite, partie inférieure de l’os temporal et proche de l’oreille interne)
    , à l’aide d’une caméra mobile, sans oublier la belle musique de Gabriel YARED mais « la mayonnaise ne prend pas ». Les flash-backs n’apportent pas grand-chose au scénario, d’autant qu’ils font peu référence au passé glorieux de l’écrivain (notamment sa tournée triomphale d’un an aux Etats-Unis en 1882) ; le réalisateur se contente de filmer la déchéance d’Oscar Wilde sans véritable mise en perspective : Oscar Wilde a poursuivi pour diffamation le père de son amant, Alfred Douglas, surnommé Bosie, fils du 9e marquis de Queensberry (qui lui reprochait l’affichage public de son homosexualité) et a perdu son procès, le conduisant à 2 ans de prison (à Reading). Malgré des scènes fortes spoiler: (transfert ferroviaire à la prison de Reading, poursuite à Dieppe par des anglais homophobes)
    , Oscar Wilde, l’homme et non l’écrivain, n’est pas très sympathique, aliéné par ses pulsions sexuelles, son goût du luxe et son déni de la réalité. Idem pour son amant Bosie, de 16 ans son cadet, égoïste et narcissique. En fait, les personnages les plus intéressants sont Robbie Ross, ancien amant mais qui lui reste fidèle et essaye de l’aider et sa femme Constance (Emily WATSON), qui élève leurs deux enfants, prête à renouer le dialogue, sous réserve qu’il ne revoit plus son amant spoiler: et qui décède à 40 ans en 1898 sans l’avoir revu
    .
    Orno13
    Orno13

    13 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 août 2023
    Un biopic très particulier et assez rate pour ma part ruppert everett a voulu faire une œuvre originale sur la vie du célèbre écrivain oscar wilde qui a été durant le 19 ème siècle emprisonné à cause de son homosexualité. Le scénario et sa construction est trop déroutant ce qui anesthésie la force du message et surtout l ennui nous guette sur les péripéties d oscar wilde,ce qui n etait évidemment pas le but.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2020
    Ce film sur Oscar Wilde écrit, réalisé et interprété par Rupert Everett s'est avéré être une production de vanité, sans chronologie et sans aucune idée ni même tentative d'examiner ou de décrire Oscar. Heureusement il y avait de bons acteurs en arrière-plan comme dans une scène où l'on vole Tom Wilkinson. Colin Firth, Anna Chancellor et Emily Watson donnent à Rupert des leçons sur la façon d'agir ce qui semble peu aimable mais c'est parce que le film s'attarde sur Everett de façon narcissique. Son échec est entièrement dû à lui. Ce n'est pas un film sur le grand génie qu'il a voulu explorer mais il s'agit simplement de Rupert Everett qui se déguise en Oscar Wilde...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    La construction du film sous forme de flashbacks est intelligente, même si le public en attend parfois plus. Les indications sur la genèse de l’histoire manquent un peu et il est parfois difficile de saisir la nature des relations entre Wilde et les autres personnages. Ces derniers sont tous remarquablement bien joués notamment par Colin Firth (A Single Man, Le Discours d’un Roi, Mamma Mia!), Colin Morgan (Merlin) et Edwin Thomas, qui gravitent autour de l’interprétation frappante de Rupert Everett. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/12/23/the-happy-prince/)
    Evacaro.
    Evacaro.

    3 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2018
    Déçue que le film soit axé uniquement sur la déchéance de Wilde,les flashs backs sur sa période de gloire sont rares et confus .et s'intercalent n'importe quand ...je me suis ennuyée la plupart du temps m^me si les performances des acteurs sont bonnes.
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 724 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2023
    Je ne sais pas grand-chose d'Oscar Wilde si ce n'est qu'il était connu et enterré à Paris. Ce film explique beaucoup de choses sur la dernière partie de sa vie où il s'est fondamentalement libéré hors d'Angleterre et pouvait être lui-même. On dirait qu'il avait une dent contre la société anglaise qui l'a rejeté si brusquement. A tel point qu'il n'avait aucun scrupule à les tromper. Ce rejet explique aussi très bien pourquoi il a cessé de produire pour eux. Il y a aussi quelques histoires d'amour homosexuelles à raconter. Je trouve l'ensemble très bien fait et crédible. Il donne une vision rarement vue des sociétés à cette époque qui est habituellement cachée sous le tapis, sauf dans des histoires françaises comme Les Misérables.
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