Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Alex de la Iglesia fait sauter le verrou des bonnes manières pour revenir à la grosse farce qui tache de ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Mené tambour battant, le film enchaine les idées géniales et les séquences folles. Une nuit en enfer à la sauce Iglesia. Personne n’en sort indemne. Aussi imparfait que généreux et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Michel Valentin
Une nouvelle fois, Alex de la Iglesia, cinéaste espagnol réputé, fait exploser les limites du politiquement correct. Violent, poétique, bavard, gore, féministe, son film ne laisse pas un moment de répit, jusqu’à une conclusion aussi grand-guignolesque qu’amorale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
À travers cette comédie fantastique débridée, dans laquelle chacun en prend pour son grade, Álex de la Iglesia renoue avec ses premières amours.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par François-Xavier Gomez
Marques de fabrique d’Alex de la Iglesia, la parodie et l’humour plus que noir sont à nouveau au menu. L’excès et la démesure explosent dans un finale paroxystique, avec une Carmen Maura grandiose en prêtresse du féminisme préhistorique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Comédie d'épouvante, cette oeuvre bordélique épingle le fanatisme tout en évoquant la cause féministe. De la Iglesia a raison d'être fou... Son cinéma bouscule les normes avec pétulance.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Le plus dingue des réalisateurs espagnols («Mes chers voisins », « Le crime farpait », « 800 balles », « Balada triste ») a choisi, cette fois-ci, de frapper nos crânes d’un grand coup de baguette magique afin de nous réveiller de la torpeur cinématographique ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
A l'évidence, le film est excessif à tous points de vue. Pourtant, et malgré quelques longueurs, il procure un énorme plaisir.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur égratigne famille et religion avec la bonne humeur d'un sale gosse incorrigible. Ce côté joyeusement potache, voire carrément foutraque, constitue la force et la faiblesse d'un film à l'énergie communicative.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Même si Alex de la Iglesia prend un peu trop de temps pour raconter son histoire de dingue, ses « Sorcières de Zugarramurdi » valent le détour.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Une farce outrancière, mélangeant l'humour et l'horreur, questionnant par le prisme du genre les relations homme-femme. Cette comédie horrifique s'avère faible dans son écriture, son imaginaire, ses gags. Subsistent une mise en scène inventive et [...] une introduction et une conclusion démentielles.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Certes, il arrive que le cinéma rigolard et mal léché d’Alex de la Iglesia s’épanouisse dans le joyeux capharnaüm qu’il installe à chaque film (se souvenir de l’excellent « Balada triste »). Sauf qu’ici, la potion bigarrée de ces « Sorcières… » tourne court, produisant trop peu de folie mais beaucoup trop d’hystérie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Ursula Michel
Un spectacle entre comédie horrifique et Grand-Guignol poussif, à la fois surprenant et raté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Après un mauvais coup à Madrid, quatre braqueurs en fuite vers la France se réfugient dans le village basque de Zugarramurdi, traditionnel repaire de sorcières qui ont à se venger des mâles. Entre épouvante et farce, un salmigondis pas franchement léger.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cela démarre sur les chapeaux de roue façon comédie policière à l'humour noir, avant de déraper dans le fantastique grand guignolesque. L'histoire, totalement barrée, s'essouffle à mi-parcours, mais reflète la fantaisie et l'enthousiasme du cinéaste espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
par François Blet
Beaucoup trop long, inégal (…), didactique comme jamais, le douzième film du Basque cumule trop de tares pour ne pas être pénible, et s’achève en fanfare dissonante sur un double final d’abord profondément mièvre, puis carrément lâche…
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce qui se joue ici est bien loin d’une joyeuse revanche des humiliés. C’est au contraire la restauration d’une misogynie sans complexe et d’un machisme ragaillardi.
Positif
par Lorenzo Codelli
Tout est permis, grâce au numérique cheap, à l'absence de logique, de buts à atteindre, de personnages ensorcelants... L'anti-cinéma, ça plaît aux festivals.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Jérémie Couston
L'hystérique cérémonie finale dans la grotte, avec géante obèse et sacrifices humains, voudrait ressembler à du Alejandro Jodorowsky mais tient davantage du hourvari incontrôlé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Alex de la Iglesia fait sauter le verrou des bonnes manières pour revenir à la grosse farce qui tache de ses débuts.
Ecran Large
Mené tambour battant, le film enchaine les idées géniales et les séquences folles. Une nuit en enfer à la sauce Iglesia. Personne n’en sort indemne. Aussi imparfait que généreux et attachant.
Le Parisien
Une nouvelle fois, Alex de la Iglesia, cinéaste espagnol réputé, fait exploser les limites du politiquement correct. Violent, poétique, bavard, gore, féministe, son film ne laisse pas un moment de répit, jusqu’à une conclusion aussi grand-guignolesque qu’amorale.
Les Fiches du Cinéma
À travers cette comédie fantastique débridée, dans laquelle chacun en prend pour son grade, Álex de la Iglesia renoue avec ses premières amours.
Libération
Marques de fabrique d’Alex de la Iglesia, la parodie et l’humour plus que noir sont à nouveau au menu. L’excès et la démesure explosent dans un finale paroxystique, avec une Carmen Maura grandiose en prêtresse du féminisme préhistorique.
Metro
Comédie d'épouvante, cette oeuvre bordélique épingle le fanatisme tout en évoquant la cause féministe. De la Iglesia a raison d'être fou... Son cinéma bouscule les normes avec pétulance.
Paris Match
Le plus dingue des réalisateurs espagnols («Mes chers voisins », « Le crime farpait », « 800 balles », « Balada triste ») a choisi, cette fois-ci, de frapper nos crânes d’un grand coup de baguette magique afin de nous réveiller de la torpeur cinématographique ambiante.
Première
A l'évidence, le film est excessif à tous points de vue. Pourtant, et malgré quelques longueurs, il procure un énorme plaisir.
20 Minutes
Le réalisateur égratigne famille et religion avec la bonne humeur d'un sale gosse incorrigible. Ce côté joyeusement potache, voire carrément foutraque, constitue la force et la faiblesse d'un film à l'énergie communicative.
Franceinfo Culture
Même si Alex de la Iglesia prend un peu trop de temps pour raconter son histoire de dingue, ses « Sorcières de Zugarramurdi » valent le détour.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Une farce outrancière, mélangeant l'humour et l'horreur, questionnant par le prisme du genre les relations homme-femme. Cette comédie horrifique s'avère faible dans son écriture, son imaginaire, ses gags. Subsistent une mise en scène inventive et [...] une introduction et une conclusion démentielles.
TéléCinéObs
Certes, il arrive que le cinéma rigolard et mal léché d’Alex de la Iglesia s’épanouisse dans le joyeux capharnaüm qu’il installe à chaque film (se souvenir de l’excellent « Balada triste »). Sauf qu’ici, la potion bigarrée de ces « Sorcières… » tourne court, produisant trop peu de folie mais beaucoup trop d’hystérie.
Critikat.com
Un spectacle entre comédie horrifique et Grand-Guignol poussif, à la fois surprenant et raté.
L'Express
Voir le site L'Express.
Le Figaroscope
Après un mauvais coup à Madrid, quatre braqueurs en fuite vers la France se réfugient dans le village basque de Zugarramurdi, traditionnel repaire de sorcières qui ont à se venger des mâles. Entre épouvante et farce, un salmigondis pas franchement léger.
Le Journal du Dimanche
Cela démarre sur les chapeaux de roue façon comédie policière à l'humour noir, avant de déraper dans le fantastique grand guignolesque. L'histoire, totalement barrée, s'essouffle à mi-parcours, mais reflète la fantaisie et l'enthousiasme du cinéaste espagnol.
aVoir-aLire.com
Beaucoup trop long, inégal (…), didactique comme jamais, le douzième film du Basque cumule trop de tares pour ne pas être pénible, et s’achève en fanfare dissonante sur un double final d’abord profondément mièvre, puis carrément lâche…
Cahiers du Cinéma
Ce qui se joue ici est bien loin d’une joyeuse revanche des humiliés. C’est au contraire la restauration d’une misogynie sans complexe et d’un machisme ragaillardi.
Positif
Tout est permis, grâce au numérique cheap, à l'absence de logique, de buts à atteindre, de personnages ensorcelants... L'anti-cinéma, ça plaît aux festivals.
Télérama
L'hystérique cérémonie finale dans la grotte, avec géante obèse et sacrifices humains, voudrait ressembler à du Alejandro Jodorowsky mais tient davantage du hourvari incontrôlé.