Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Patricemarie
41 abonnés
1 280 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 12 mai 2016
Travolta, l'étudiant cool et danseur de disco des années 70 excelle dorénavant dans les films policiers, l'air grave, à la carure imposante et investi dans sa mission vengeresse, il s'accapare le film et l'histoire aussi mince soit-elle. Cela donne un polar US de bonne facture en bonne et due forme, avec des bons et des méchants, des ripoux et beaucoup de cadavres sur le pavé.
C'est le premier film depuis plus de 10 ans pour Chuck Russell qui avait fait entre autres "The Mask", "Le Roi Scorpion" ou "L'effaceur". Pour son retour, il choisit la facilité avec un scénario très simpliste comme on peut le voir dans le synopsis avec une histoire de vengeance dont on devine presque immédiatement les ficelles. Ce DTV aurait pu être un bon divertissement puisqu'il y a pas mal d'action et un bon rythme, mais le scénario ne tient pas la route. C'est trop banal et prévisible pour être intéressant. Ça peut suffire si l'on n'est pas habitué à ce genre de film, mais quand on est rôdé comme moi, c'est difficile d'y trouver un réel intérêt même si ça se laisse regarder sans problème. À la base, ça aurait dû être Nicolas Cage à la place de John Travolta, mais finalement, on n'y perd pas au change bien au contraire puisque ce dernier fait bonne impression et forme un très bon duo avec Christopher Meloni. Ce duo est d'ailleurs l'une des rares satisfactions de ce film. C'est vraiment dommage que le réalisateur ne l'ait pas plus exploité.
Ce film se suit car il n'est pas dénué d'action, est correctement joué, mais le scénario est tellement convenu que je ne lui donnerai pas plus que la moyenne. Au moins, grâce à lui, nous avons la satisfaction de revoir John Travolta en forme.
Le réalisateur Américain Chuck Russell a connu quelques succès d'estime dans les années 1990 en tournant des réussites populaires comme « The mask », « L'effaceur » ou encore « Le roi scorpion ». Malheureusement, au fil des ans, le talent et l'envie se sont dilués et il nous revient avec un film d'action plat, morne et sans le moindre intérêt scénaristique. L'histoire, vue mille fois, reprend tous les poncifs du genre et les mélange joyeusement pour donner une vilaine mayonnaise qui ne prend jamais faute de tension et de suspense. Les scènes d'action, censées réveiller le spectateur, sont bien présentes mais elles sont mal fichues, mal tournées et n'apportent rien à ce mauvais téléfilm que John Travolta en personne n'arrive pas à sortir de sa médiocrité. L'acteur n'est que l'ombre de lui-même et son rôle de mari vengeur le dépasse totalement. Il faut dire que les dialogues insipides et le doublage français catastrophique ne font rien pour l'aider à donner corps à son personnage. Bref, « the revenge » est totalement loupé, pire je m'y suis ennuyé, ce qui est un comble pour ce genre d’œuvre censée divertir à tout prix.
Un film pauvre et sans surprise. Toutes les ficelles du genre son exploitées jusqu'a usure totale. Les dialogues sont tellement clichés que c'est presque caricatural. Détail et non des moindres, la haute définition est impitoyable avec John Travolta, spoiler: la scene du barbier (idem chez le tatoueur) fait apparaitre les traces de sa perruque avec les raccords (mauvais) de maquillage... Et puis il y a des a peu près que je ne supporte pas dans ce genre de film : spoiler: dans le stand de tir Denis dit a Stan "tu devrais abandonner ton Beretta, essaie ce Colt 45 (en lui tendant un Beretta)" . Plus tard dans la boite Coréenne devinez ce que Denis trimbale, spoiler: un Beretta ...
Grâce à mon anglais niveau cinquième, j'ai pu traduire le titre : I am wrath. Je suis colère. Et c'est à peu près tout. J'attendais un film un peu plus élaboré de la part du réalisateur de The Mask et de John Travolta qu'une série B rappelant celles de Charles Bronson dans les années 80. C'est bien simple, pour jouer une nouvelle fois cet ex-soldat des forces spéciales, un Steven Seagal ou un Dolph Lundgren, plus habitués dans ce genre de productions sortant directement en vidéo, auraient largement pu convenir. Mais il faudra faire avec Travolta contraint de faire équipe avec un ancien pote de régiment pour venger la mort de son épouse ayant eu la mauvaise idée de ne pas partager les idées du gouverneur local pour lequel elle travaillait. Car oui, ici, tout le monde est corrompu au sein d'une organisation bien huilée : les truands sont couverts par les policiers eux-même couverts par le politicien véreux. Et Travolta va s'employer à faire le ménage en se prenant bien ici ou là une balle ou deux mais en gardant une certaine efficacité là où, dans la vraie vie, on aurait retrouvé son cadavre avec une balle dans la tête sur le bord d'un canal le lendemain. Quatorze ans que Chuck Russell n'avait pas tourné. Depuis Le Roi Scorpion en fait. Autant dire qu'il ne s'est pas forcé pour son retour. Il ne manque que le logo Nu Image et la fête aurait été complète.
Chuck Russel est de retour et il traîne avec lui un John Travolta pas vraiment wrath et boursouflé façon Seagal mais moins enviable. Christopher Meloni, en second couteau, lui pique légèrement la vedette, et on apprécie cette présence pour le bien de tout un chacun. Si l'action n'est pas risible, le reste souffre de conviction et de nouveautés.
3.5/5 excellent film,ou la corruption au plus haut degré arrive à être éradiquée, avec un casting intéressant j'ai aimer voir Christopher Meloni dans autre chose que les expert.
« The Revenge » est un bon thriller d’action qui dispose d’un scénario banal, trop souvent cousu de fil blanc avec une absence d’intrigue originale. Le casting est correct et le duo Travolta / Meloni accroche bien. Les scènes d’action sont agréables, relativement réalistes et la fin est sympathique. L’ensemble laissant une impression de déjà vu tout en restant un agréable divertissement.
Le genre de film dont le plus gros avantage est que vous pouvez vous absenter devant l'écran pendant 20 minutes (même peut être plus en poussant l'ironie....), vous n'aurez même pas besoin de revenir en arrière afin de "remonter le cours de l'histoire" pour comprendre de quoi il va retourner.. Quant à John Travolta, il a été beau gosse, il a eu du charme, il en a fait battre des coeurs de minettes en 1978 surtout, mais aujourd'hui, hélas, de l'eau est passée sous le pont.... Certains plans m'ont fait penser à l'homme au masque de cire (entre le botox et les cheveux "noir corbeau".....)
Et encore raté ! Encore un énième film avec John Travolta, raté. Depuis Pulp Fiction, honnêtement, l'homme s'embourbe et enchaine les films d'action plus banales les uns que les autres. Truffé de codes de Blockbusters I am a Wrath (je suis en colère) n'apporte rien, pire, son scénario est des plus simple et moult fois exploité: vengeance et petit surprise à la fin, même si tout le long de l'histoire, on a aucun mal à deviner les événements qui se suivent... Peut être ont ils cru qu'il fallait une ribambelle de tuerie pour rendre le film haletant, il n'en est rien, le le flinguage à tout va n'est rien sans un bon scénario bien ficelé.
Pas mauvais mais pas non plus terrible terrible, scénario pas très original et jeu d'acteur au minimum. On sent aussi le manque de budget sur certaines scènes. La moyenne mais sans plus. 2,5/5
Par rapport à ce que Chuck Russel nous a déjà produit, ce « I am Wrath » est très au dessus. Les dialogues, le scénario et la mise en scène sont un peu plus élaborés. Cela dit, le niveau n’arrive pas très haut. L’intrigue, les scènes d’action sont très classiques, et une demi-heure avant la fin les dénouements sont très prévisibles. Reste que ni Russel, ni ses acteurs en particulier Travolta, n’ont l’air de se prendre très au sérieux, et cette distanciation, créé une certaine forme d’élégance stylistique qui préserve de tout bourrin qu’on trouve dans ce genre d’opérations. En revanche, l’aspect bourrin vient de l’équipe française de distribution du film, qui a trouvé judicieux de traduire le titre anglais par un autre titre en anglais pour le public français. « Je suis la Colère de Dieu », ou « Je Suis Sa colère », « On M’Appelle La Colère De Dieu », ou un truc du genre, aurait permis au public Français de mieux comprendre les allusions bibliques jonchant toute l’intrigue. Or rien de tout cela n’apparaît dans ce « The Revenge » trouvés par les bolossons apprentis traducteurs français.