Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Marie-Anne Guérin
En réalisant Ennemis intimes, Herzog semble plutôt faire son deuil de toute fiction et se vouer au documentaire. Les temps forts du film proviennent de ce regret du roman, de la fiction.
Chronic'art.com
par Emma Baus
Au travers de l'histoire personnelle Herzog/Kinski, Ennemis intimes évoque donc les rapports entre un réalisateur et son acteur fétiche, la frontière entre la folie (...) mais aussi tout simplement la difficulté de vivre avec ou sans l'Autre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne.
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Beaucoup d'images rares, volées en pleine jungle amazonienne notamment (…), une réflexion sans complaisance aucune, un double portrait fascinant, une alchimie unique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Dans Ennemis Intimes, Herzog (...) ne cherche ni explications ni justifications. Il raconte simplement, sans affect, avec archives et témoignages, ces épisodes où la réalité dépassait et fécondait la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Lenouveaucinema.com
par Eric de Saint Angel
Qui était le mauvais génie de l'autre ? On hésite à se prononcer, mais il est sûr que Werner Herzog avait trouvé en Klaus Kinski un matériau exceptionnel. Et leurs natures se complétaient. Nul n'en doutera après ce film émouvant (...)
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
Ni règlement de comptes ni éloge posthume, Ennemis intimes contient le surgissment inattendu de deux grands artistes qu'on avait oubliés. C'est encore par Herzog que Kinski fait son dernier come-back - et réciproquement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
Par-delà le classicisme de sa forme, ce documentaire offre ainsi le tableau frappant d'un homme voué au souvenir, qui a converti son art (le cinéma) en moyen de dialoguer avec un mort ; qui avoue rêver encore de son insupportable camarade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
En réalisant Ennemis intimes, Herzog semble plutôt faire son deuil de toute fiction et se vouer au documentaire. Les temps forts du film proviennent de ce regret du roman, de la fiction.
Chronic'art.com
Au travers de l'histoire personnelle Herzog/Kinski, Ennemis intimes évoque donc les rapports entre un réalisateur et son acteur fétiche, la frontière entre la folie (...) mais aussi tout simplement la difficulté de vivre avec ou sans l'Autre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Beaucoup d'images rares, volées en pleine jungle amazonienne notamment (…), une réflexion sans complaisance aucune, un double portrait fascinant, une alchimie unique.
Le Figaroscope
Dans Ennemis Intimes, Herzog (...) ne cherche ni explications ni justifications. Il raconte simplement, sans affect, avec archives et témoignages, ces épisodes où la réalité dépassait et fécondait la fiction.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Lenouveaucinema.com
Qui était le mauvais génie de l'autre ? On hésite à se prononcer, mais il est sûr que Werner Herzog avait trouvé en Klaus Kinski un matériau exceptionnel. Et leurs natures se complétaient. Nul n'en doutera après ce film émouvant (...)
Les Inrockuptibles
Ni règlement de comptes ni éloge posthume, Ennemis intimes contient le surgissment inattendu de deux grands artistes qu'on avait oubliés. C'est encore par Herzog que Kinski fait son dernier come-back - et réciproquement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Par-delà le classicisme de sa forme, ce documentaire offre ainsi le tableau frappant d'un homme voué au souvenir, qui a converti son art (le cinéma) en moyen de dialoguer avec un mort ; qui avoue rêver encore de son insupportable camarade.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr