Avis sur Les As d'Oxford

A mon sens un Laurel et Hardy plutôt faible, qui fait sourire plus que vraiment rire, la faute à un scénario léger et des gags pas toujours très bien travaillés. Une exception, néanmoins, qui justifie la vision de ce film : la scène culte de Laurel et de ses trois mains, très bien foutue. Pour le reste, autant se replonger dans leurs films antérieurs.

Le passage du court au long-métrage fut contraint et difficile pour Stan Laurel et Oliver Hardy. Une information rapportée par un proche du plus célèbre des duos du burlesque américain, et que confirme " Les As d'Oxford ", une comédie qui ravira les inconditionnels du couple comique, mais qui reste bien en deçà de ce qu'ils ont pu nous montrer par le passé. Les gags sont ici plus poussifs, moins ingénieux. Malgré certaines scènes très drôles (cf. séquence initiale où Laurel et Hardy sont embauchés en tant que domestiques par leur plus fidèle ennemi, James Finlayson; scène de l'appartement du doyen de l'université), les situations cocasses, moins désopilantes, sentent le réchauffé, sans parler de la fin, dont le comique et la transformation de Laurel en Lord Paddigton auraient gagné à être développés. Toutefois, on passe un bon moment devant les mimiques désormais mythiques de Stan et Ollie, et on leur reconnaîtra un indéniable génie.

Les As d'Oxford (1940) est un long-métrage de 60 minutes où les deux acolytes se retrouvent malgré eux obligé de se grimer en domestiques pour subvenir à leurs besoins. Mais ils se font rapidement mettre à la porte par leur inexpérience. Un beau jour, ils deviennent les héros d’un fait divers (en empêchant le braquage d’une banque). Pour les remercier, le propriétaire leur offre des études dans la prestigieuse université d’Oxford. Hélas pour eux, le bizutage va prendre des proportions de plus en plus grande et ils vont se retrouver dans des situations inextricables jusqu’au jour Stan, pris d’amnésie, se prend pour un aristocrate donnant des ordres à Ollie. Drôle, absurde et loufoque comme toujours.

Plusieurs idées tordantes, un scénario débridé mais pas le plus drôle film du duo.

Un film avec Laurel de Hardy se regarde toujours avec plaisir. Les As d'Oxford n'échappe à la règle. Ce long métrage est en fait constitué de deux films car la première partie ne possède aucun lien avec la suite. Celle-ci est assez drôle (Laurel en bonne vaut le coup d'oeil) mais la seconde partie (qui cette fois est en lien avec le titre) est un festival d'idées originales (la séquence du labyrinthe, le comte Paddington...) et séquences très drôles et parfois assez osées pour l'époque (l'épisode de la chambre du Doyen où nos deux héros dorment dans le même lit alors que le code Hays obligeait les couples mariés à l'écran à dormir dans des lits différents...).
Les As d'Oxford (qui par ailleurs offre un de ses premuers rôles à Peter Cushing) est une fois encore un film de Laurel et Hardy qui est toujours aussi drôle 70 ans après sa réalisation et qui plaira à toutes les générations.

"Les as d'Oxford" est sans conteste l'un des films les plus connus de Laurel et Hardy mais c'est surtout une comédie mythique et vraiment réussie. Des gags, du burlesque, des scènes rocambolesques et pleines de créativité (comme par exemple celle où les deux comédiens se font passer pour un couple de majordome et la suite de catastrophes qu'ils déclencheront, celle des "trois mains" dans le labyrinthe végétale, le "squat" de la chambre du doyen, Laurel en Lord Paddington) valent à elles seules le détour. Y a pas à dire, ces deux-là en ont fait durant leur carrière et sont vraiment des comédiens de légende. Ils ont fait rire des millions de téléspectateurs et encore aujourd'hui, leur génie comique reste inégalé. Inoubliable comme tous leurs films.

Après avoir empêché un hold hop un homme riche permet aux deux zigotos de s'inscrire à Oxford.

En effet les deux amis trouvent qu'il ont besoin de diplôme pour réussir dans la vie.

Ce qui va donner une ravissante comédie burlesque avec des gags inventifs comme au début par exemple ou les deux amis piéger dans un labyrinthe se font faire jouer un mauvais tour par un étudiant qui s'amuse à se moquer d'eux.

Ou encore la rencontre avec le doyen.

Laurel & Hardy sont, on peut le dire, des rois du burlesque et de l'absurde. La magie opère à chaque fois.

Nous sommes en 1940 et le rèalisateur Alfred J. Goulding tourne l'un de ses meilleurs films, "A Chump at Oxford", avec deux comiques inoubliables d'une autre èpoque : Laurel et Hardy! En rècompense de la capture (chanceuse) d'un voleur de banque, Stan et Ollie obtiennent une bourse d'ètudes à Oxford, mais rencontrent de l'hostilitè de la part d'ètudiants farceurs [...] il n'y a que du meilleur (Laurel & Hardy, balayeurs), du hors-d'oeuvre (le bizutage royal dans la scène cèlèbre du labyrinthe) au dessert (Stan en Agnès). Le comique est assez merveilleux quand il atteint sa cible où chaque scène dans la rue est une rèussite! Reconnaissable à sa fameuse moustache, le pauvre James Finlayson mâche puis mange un bouchon de champagne et les traditions du collège d'Oxford vont en prendre pour leur grade! Ce n'est pas un chef d'oeuvre comme l'ètait "The Music box" ou "Block-Heads" mais on s'amuse beaucoup ici! En conclusion, un classique intemporel du burlesque avec un certain Peter Cushing à ses dèbuts! Welcome to Oxford...

Un des longs-métrages de Laurel et Hardy où leur complicité transparaît le plus.Ils maîtrisent parfaitement le burlesque,et prennent le temps de développer leurs gags."Les As d'Oxford"(1940)en fait justement des étudiants de l'ancestrale université.Les scènes déjantées se multiplient,comme dans le labyrinthe de verdure,où un étudiant les fait tourner en bourrique.Celle où ils insultent le portrait du doyen,jusqu'à ce que le vrai arrive est hilarante.Et à la fin,Laurel se fait passer pour un comte!Par contre,le rythme n'est pas toujours idéal(défaut récurrent chez eux).Ceci dit,s'amuser et faire rire est un art que les deux lurons se font un plaisir de partager

Dans le classement des universités anglaises , Oxford toujours 1er et Cambridge 2ème , ce n'est pas très drôle...Heureusement que lors des compétitions d'aviron Oxford-Cambridge ,les classements sont plus variés...Le film, lui est vraiment très amusant !!! Quel est le plus comique de Laurel ou Hardy ? Le tandem est inséparable, et l'un sans l'autre, ce doit être d'un triste...
Conformément à la récompense du directeurs d'agence bancaire, voilà Stan et Ollie à l'université d'Oxford...Mais dès lors arrivée les étudiants les charient:" ce n'est pas l'uniforme d'Oxford que vous portez...Mais celui de Cambridge !!!".
Après le "coup de guillotine de la fenêtre", Stan se prend pour un génie:Lord Paddington...Sur le mur on voit les résultats de différentes compétions d'Aviron Oxford Cambridge...Stan qui traite son ami Ollie comme un valet, et le traite de Fattie (Gros Lard)...Heureusement qu'un autre coup de guillotine lui fera reprendre ses esprits....Et que nos deux amis se réconcilieront...

Ce qui est incroyable avec Laurel et Hardy, c’est qu’on va de surprise en surprise. En effet, quand on voit le premier quart d’heure de film, on ne voit pas trop le rapport avec le titre (Les As d’Oxford). Ainsi, lorsque je l’ai vu, j’ai d’abord cru qu’ils s’étaient trompés de film à la diffusion. Et après ce premier quart d’heure drôle mais assez facile, on se trouve enfin dans le vif du sujet : Oxford, et ses deux nouveaux étudiants, Laurel et Hardy. En arrivant à Oxford, ils seront les deux malheureuses victimes d’un bizutage fait aux nouveaux étudiants. Ce long-métrage regorge de scènes originales (la scène avec les trois mains dans le labyrinthe est excellente) et nous fait passer un très bon moment. Les situations sont drôles et le duo comique arrive toujours à nous faire rire. J’ai simplement été un peu déçu de la fin, que je trouve beaucoup trop facile au niveau scénaristique. Mais Les As d’Oxford est un très bon cru ! Et notons aussi la participation de Peter Cushing, figure emblématique de la Hammer et aussi connu pour son rôle de Moff Tarkin dans le tout premier Star Wars sorti en 1977.

Si le début du film s'avère il est vrai un peu poussif avec son humour "boum-badaboum" pas très subtile et assez prévisible, ces "As d'Oxford" finissent par aller dans une direction des plus plaisantes. En effet, même au milieu des scènes les plus moyennes, certains gags arrivent vraiment à faire leurs effets et parviennent ainsi à nous mettre dans un état de bonne humeur quasi-permanent. Certaines scènes s'avèrent même presque enlevées, et le film finit par être drôle quasiment en permanence, grâce à un scénario qui devient bien plus intéressant (qui devient surtout existant en réalité) au bout d'un quart d'heure. Le dernier quart d'heure est même des plus savoureux, tant il apparaît assez imaginatif et à contrepied des gags que peuvent que nous offrent la plupart du temps les deux compères. Notons enfin Peter Cushing dans un second rôle... Nul doute, ce film termine vraiment en trombe et saura vraiment nous offrir un très bon moment de comédie. Une réussite!

Nous retrouvons avec Stan Laurel et Oliver Hardy plus que jubilatoires, Forbes Murray le banquier et James Finlayson (le fameux moustachu) dans le rôle de Baldy Vandevere.

Laurel et Hardy ont besoin d'argent ; pour subvenir à leurs besoins, ils se déguisent en majordome et obtiennent un emploi de maître d'hôtel et de femme de chambre chez les Vandevere. Stan et Ollie font gaffe sur gaffe, sèment la pagaille et naturellement, Le dîner va se terminer en catastrophe. Nos deux comparses sont donc réduits à balayer les rues, spoiler: et capturer involontairement un voleur de banque. Le président de la banque veut les récompenser en leur offrant un travail. N'étant pas assez qualifiés, il leur paye des études à la prestigieuse université d'Oxford. Nos deux compères traversent l'atlantique pour regagner l'université britannique ou ils vont être victimes des bizutages d'étudiants. Après un coup de fenêtre à guillotine reçu à la tête, Stan croit être le conte Paddington. L'aristocrate érudit et gentilhomme hautain ne reconnait plus Ollie mais le conserve comme valet de chambre.

Des gags, des scènes burlesques à profusion : Ollie et Stan se font passer pour un couple de domestiques, Stan est irrésistible en femme de chambre. Célèbre scène ou ils se perdent dans le labyrinthe végétal avec le gag des trois mains...

Une très bonne comédie réalisée par Alf Goulding en 1940.

Un des chefs d'œuvres de Laurel et Hardy.
"Les As d'Oxford" se goûte avec délice, comme un bon plat dont on n'ose avaler les bouchés sous peine d'avoir trop tôt terminé. Encore une fois, ce film ne peut pas vieillir, car l'histoire, les gags, sont l'origine même de la comédie. Comme dans "Les Compagnons de la Nouba", la transparence est là, et c'est une indication infaillible d'une œuvre immortelle. La séquence du labyrinthe de verdure reste inoubliable, tant il semble y régner une jubilation enfantine. Heureusement que Laurel et Hardy ont refusés quelque part de grandir, surtout dans cette université ! Le début du film est proprement surréaliste, comme dans un autre univers...