Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ouest France
par La Rédaction
Une chronique de David Gordon, pleine de violence et d'espoir, de larmes et de réconfort.
20 Minutes
par Caroline Vié
"Joe", oeuvre cruelle et belle semble touchée par la grâce de ce lieu magique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
David Gordon Green vient peut-être de trouver le juste équilibre entre le pathos et l'issue de secours après lequel tant de films américains récents courent (...). "Joe", c'est un peu la rencontre entre "Le Canardeur" de Micheal Cimino et Killor Joe, si ce n'est que Green croit; lui, à la rédemption (...).
Ecran Large
par Simon Riaux
Dans ces moments précieux, Joerappelle les errances existentielles d'un Malick et l'on se dit que ce récit un peu trop limpide n'était pas loin de nous emporter jusqu'À la merveille.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans un climat rude et oppressant, on assiste au combat pour la survie d'un jeune garçon désespéré. Le récit initiatique aurait pu être édifiant, mais il se joue des lieux communs pour se concentrer sur le réalisme des situations et des émotions. Nicolas Cage nous rappelle qu'il reste un grand acteur (...).
Le Monde
par Sandrine Marques
Cette double filiation que met en scène David Gordon Green donne au film sa matière abrasive. La structure du film pâtit parfois de développements superflus, que rattrape la prestation de Nicolas Cage. La petite ville (...) donne au film ses allures de néowestern baroque, poussiéreux et moite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Nicolas Cage, qui s'était égaré dans des navets hallucinants, revient ici à son meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
David Gordon Green livre un film noir hanté par l'esprit du Sud, dans la lignée de “Mud”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Agnelli
Dans ce cimetière de la morale, "Joe" parle des rencontres rédemptrices qui donnent envie d'y croire, confronte l'innocence et le mal en prenant rapidement les atours d'une fable douce et brutale, cruelle et poétique, dont la tension sourde explosera lors d'un climax ultraviolent façon Peckinpah.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le film est délicieusement imprévisible, tout à la fois électrique et émouvant, rugueux et bigarré.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
POUR: (...) Les scènes où, tel un prédateur qui guette sa proie, il traque un Noir chancelant pour lui dérober son alcool, son peu de fric et sa pauvre vie, sont filmées par David Gordon Green avec une sorte de terreur respectueuse. Presque de l'admiration. Comme s'il voyait agir le mal dans sa force brute. Le mal pur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Thriller outrageusement captivant, drame résolument révoltant, Joe nous prend aux tripes et laisse une empreinte vivace, celle d’un cinéma social glaçant qui nourrit le mythe d’un sud déliquescent tout en nous persuadant de sa réalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Le cinéaste brise ce qui pourrait n’être qu’un nouvel Œdipe texan par des scènes d’une excentricité inattendue :
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Pour Green, l’Amérique rurale est devenue un cimetière d’éléphants, un chenil d’alcooliques agonisants qui, ne disposant plus d’aventures pour assumer l'héritage des héros d’antan, sont condamnés à dépérir et à se chiquer entre eux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une expérience de cinéma souvent fascinante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans cet océan de désespérance, comme un naufragé à un misérable esquif, le spectateur s’accroche aux personnages de Gary et de Joe (...) Le jeune Tye Sheridan, que l’on a vu dans The Tree of life et Mud, apparaît dans le rôle de Gary comme un bloc de pureté et de courage, tandis que Nicolas Cage impose avec rudesse et sensibilité la complexité de Joe.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Nicolas Cage, bête féroce et superbe, dans un drame gothico-sudiste parfois un peu lourd.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
"Joe" inscrit donc un nouveau chapitre de ce Sud infernal mais, en dépit de sa parenté avec Larry Brown, échoue à en devenir le plus sauvage d’entre tous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
David Gordon Green installe une belle ambiance texane poisseuse (...) Mais le cinéaste enrobe le tout de ralentis chiadés, d'une musique envahissante, et de comédiens qui grimacent en avalant du concentré d'Actors Studio... Bref, David Gordon Green signe là son énième film prometteur. Et on attend encore le prochain.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Pierre-Edouard Peillon
David Gordon Green noie les potentielles subtilités de son histoire en les faisant baigner dans une épaisse sauce d’"Americana".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE: Nicolas Cage dans Joe, c'est la Dame aux camélias en chemise de bûcheron. A la troisième quinte de toux, on rigole. A la quatrième, on fatigue ! Son cabotinage est, hélas, parfaitement « raccord » avec l'outrance de la réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Une chronique de David Gordon, pleine de violence et d'espoir, de larmes et de réconfort.
20 Minutes
"Joe", oeuvre cruelle et belle semble touchée par la grâce de ce lieu magique.
Charlie Hebdo
David Gordon Green vient peut-être de trouver le juste équilibre entre le pathos et l'issue de secours après lequel tant de films américains récents courent (...). "Joe", c'est un peu la rencontre entre "Le Canardeur" de Micheal Cimino et Killor Joe, si ce n'est que Green croit; lui, à la rédemption (...).
Ecran Large
Dans ces moments précieux, Joerappelle les errances existentielles d'un Malick et l'on se dit que ce récit un peu trop limpide n'était pas loin de nous emporter jusqu'À la merveille.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Dans un climat rude et oppressant, on assiste au combat pour la survie d'un jeune garçon désespéré. Le récit initiatique aurait pu être édifiant, mais il se joue des lieux communs pour se concentrer sur le réalisme des situations et des émotions. Nicolas Cage nous rappelle qu'il reste un grand acteur (...).
Le Monde
Cette double filiation que met en scène David Gordon Green donne au film sa matière abrasive. La structure du film pâtit parfois de développements superflus, que rattrape la prestation de Nicolas Cage. La petite ville (...) donne au film ses allures de néowestern baroque, poussiéreux et moite.
Le Parisien
Nicolas Cage, qui s'était égaré dans des navets hallucinants, revient ici à son meilleur.
Les Fiches du Cinéma
David Gordon Green livre un film noir hanté par l'esprit du Sud, dans la lignée de “Mud”.
Première
Dans ce cimetière de la morale, "Joe" parle des rencontres rédemptrices qui donnent envie d'y croire, confronte l'innocence et le mal en prenant rapidement les atours d'une fable douce et brutale, cruelle et poétique, dont la tension sourde explosera lors d'un climax ultraviolent façon Peckinpah.
TéléCinéObs
Le film est délicieusement imprévisible, tout à la fois électrique et émouvant, rugueux et bigarré.
Télérama
POUR: (...) Les scènes où, tel un prédateur qui guette sa proie, il traque un Noir chancelant pour lui dérober son alcool, son peu de fric et sa pauvre vie, sont filmées par David Gordon Green avec une sorte de terreur respectueuse. Presque de l'admiration. Comme s'il voyait agir le mal dans sa force brute. Le mal pur.
aVoir-aLire.com
Thriller outrageusement captivant, drame résolument révoltant, Joe nous prend aux tripes et laisse une empreinte vivace, celle d’un cinéma social glaçant qui nourrit le mythe d’un sud déliquescent tout en nous persuadant de sa réalité.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste brise ce qui pourrait n’être qu’un nouvel Œdipe texan par des scènes d’une excentricité inattendue :
Chronic'art.com
Pour Green, l’Amérique rurale est devenue un cimetière d’éléphants, un chenil d’alcooliques agonisants qui, ne disposant plus d’aventures pour assumer l'héritage des héros d’antan, sont condamnés à dépérir et à se chiquer entre eux.
CinemaTeaser
Une expérience de cinéma souvent fascinante.
La Croix
Dans cet océan de désespérance, comme un naufragé à un misérable esquif, le spectateur s’accroche aux personnages de Gary et de Joe (...) Le jeune Tye Sheridan, que l’on a vu dans The Tree of life et Mud, apparaît dans le rôle de Gary comme un bloc de pureté et de courage, tandis que Nicolas Cage impose avec rudesse et sensibilité la complexité de Joe.
Les Inrockuptibles
Nicolas Cage, bête féroce et superbe, dans un drame gothico-sudiste parfois un peu lourd.
Libération
"Joe" inscrit donc un nouveau chapitre de ce Sud infernal mais, en dépit de sa parenté avec Larry Brown, échoue à en devenir le plus sauvage d’entre tous.
Positif
David Gordon Green installe une belle ambiance texane poisseuse (...) Mais le cinéaste enrobe le tout de ralentis chiadés, d'une musique envahissante, et de comédiens qui grimacent en avalant du concentré d'Actors Studio... Bref, David Gordon Green signe là son énième film prometteur. Et on attend encore le prochain.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
David Gordon Green noie les potentielles subtilités de son histoire en les faisant baigner dans une épaisse sauce d’"Americana".
Télérama
CONTRE: Nicolas Cage dans Joe, c'est la Dame aux camélias en chemise de bûcheron. A la troisième quinte de toux, on rigole. A la quatrième, on fatigue ! Son cabotinage est, hélas, parfaitement « raccord » avec l'outrance de la réalisation.