Mea Culpa
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474 critiques spectateurs

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Kilian Dayer
Kilian Dayer

116 abonnés 838 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 10 juin 2014
Faisant suite à l’excellent Pour elle et au vitaminé A bout portant, Mea Culpa regroupe en quelque sorte les ingrédients des deux précédents films de Fred Cavayé. Astucieux réalisateur de polar à la française, le rennais retrouve ses deux acteurs, Vincent Lindon et Gilles Lellouche, propulsant les deux comédiens à un rythme effréné en pleine confrontation avec le grand banditisme balkanique dans les faubourgs de Toulon. Diablement efficace, d’un strict point de vue rythme, Mea Culpa souffre tout de même d’une certaine facilité, d’une certaine naïveté. Certes, le retournement final, plus ou moins attendu, permet de sortir le polar du simple carcan du film d’action bête et méchant, mais dans la forme, Mea Culpa n’est en somme qu’une sorte de Revenge Movie à la Taken, 100 % français pour l’occasion.

Si l’on connaissait Gilles Lellouche adepte des films musclés, l’acteur y est excellent, d’ailleurs nettement meilleur que dans un registre comique, l’on s’étonne des capacités de Vincent Lindon, acteur plutôt sage d’ordinaire. Ici, celui-ci prend un peu les armes à l’image de Liam Neeson, vieille gloire du cinéma d’auteur qui tout par un jour se retrouve à incarner une brute au grand cœur, flingueur et bastonneur devant l’éternel. L’action, c’est bien le principal ingrédient de Mea Culpa, tient très bien la route. Les quelques fusillades, somme toute assez nombreuses, assorties des empoignades plutôt sanglantes entre flics renégats et gangsters serbes, réalistes et inspirées du travail d’un certain Paul Greengrass, à n’en pas douter, composent un très joli spectacle tout droit sorti de la manche d’un cinéaste qui ne cache nullement ses inspirations et modèles. Efficace d’un point du vue action, le film l’est nettement moins d’un point du vue narratif.

Tout débordement de violence est donc forcément engendré par le drame. L’on savait Fred Cavayé très habile pour le sentimentalisme, voir Pour elle, mais on ignorait que cette faculté n’était pas régulière. Oui, ici, il convient d’apprécier le scénario comme étant mineur. Une histoire de famille, de deuil, d’amitié, et boom, voilà que l’on s’en prend au fiston du flic déclassé, à l’homme blessé mais plein de ressource. Outre le fait que les deux flics, ou ex-flics, soient des surhommes peu sujets à la douleur, les voyous yougoslaves ici à l’œuvre sont caricaturaux au possible. Bref, pour en revenir encore à Taken, Mea Culpa n’en n’est franchement que peu différent. Alors que de nos jours, le anti-héros s’avère plus populaire que le héros lui-même, chacun s’adapte comme il peu pour faire de ses gentils des personnages troubles, au passé maudit, ce qui est en quelque sorte le cas ici.

Peu surprenant, malhabile narrativement, Mea Culpa s’avère simplement être un polar tendu plus ou moins efficace, selon si l’on apprécie la castagne ou non. Si celui-ci n’est pas un film majeur, il confirme cependant que Fred Cavayé est un artisan relativement habile, qu’il faudra encore compter sur lui dans les années à venir, en espérant le voir travailler sur des scénarios un brin plus aboutis. Le metteur en scène, assortis des ses deux acteurs fétiches, ont un énorme potentiel, soyons clairs. Un film qui passera forcément bien en vendredi soir, voir un samedi soir, sur une chaîne public, mais qui ne s’impose malheureusement pas comme un polar digne de ce nom. Peu concluant mais divertissant. 10/20
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 10 juin 2014
Si l'action est bien au rendez-vous, ça ne suffit pas à faire de Mea Culpa une réussite.
La faute à un scénario quand même très léger, des situations rocambolesques qui nous font vite décrocher et un casting improbable avec un Vincent Lindon et Gilles Lellouche pas crédibles du tout.
Don Keyser
Don Keyser

75 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 juin 2014
Mélangeant les genres de ces deux premiers longs-métrages, Fred Cavayé signe avec "Mea Culpa" une oeuvre convaincante mais pas totalement à la hauteur. La réalisation est excelente avec des scènes d'action toujours aussi réaliste et plaisantes néanmoins, l'histoire fait face à quelques largesses dans le scénario qui nuit un peu au film. Quant aux acteurs, ils incarnent plutôt bien leurs rôles malgré un chef de brigada surjoué à mon goût. Ainsi, le film reste divertissant et prenant puisque l'on ressent encore un travail méticuleux même avec certaines fautes.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 9 juin 2014
Je viens de visionner " Méa Culpa " qui est un bon thriller français, un scénario un peu conventionnel, mais quel scénario ne l'est plus où que très rarement, lorsque l'on a vu autant de films que moi et c'est sûrement valable pour beaucoup de spectateurs et amoureux du cinéma. Quoi qu'il en soit, il en ressort un bon film avec pas mal d'actions et un bon petit suspens, c'est un film thriller normal où l'on ne s'ennuie pas si l'on regarde le film et non trop les détails que chaque film peut en avoir, de bons et des mauvais. Non, il faut suivre le film sans commencer à critiquer le pourquoi des choses, alors l'on peut découvrir un bon film (mais je suis entièrement d'accord en sachant bien qu'il y a des choses trop grosses dans certains films pour les laisser passer comme ça, j'en suis conscient)ce que j'ai fait, la fin est originale et donne un petit coup de pouce quant à la compréhension de certaines scènes qui, sont peut-être passées inaperçues, mais que l'on comprend beaucoup mieux la physiologie du film et l'on est ravi d'avoir tout compris. Le duo Nadine Labak et Vincent Lindon sont bons. Donc l'ensemble du film m'a plu et je lui apporte la note de 4 étoiles sur 5.
Guillaume
Guillaume

118 abonnés 1 589 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 8 juin 2014
Malgré le trop grand nombre d'invraisemblances qui tendent à entacher sérieusement la crédibilité de l'ensemble, "Mea Culpa" reste franchement divertissant et plaisant à regarder, pour peu que le téléspectateur sache faire preuve d'indulgence.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 7 juin 2014
Après POUR ELLE et A BOUT PORTANT, Fred Cavaye nous revient avec son nouveau film d'action sur fond de drame familial. Ici, il prend l'acteur de son 1er film (Lindon) et de son second (Lellouche), pour les réunir dans son 3e ou ils forment un duo très convaincant et limite "borderline". L'histoire peut paraitre classique: un gamin qui voit ce qu'il n'aurait pas du voir et qui est traqué par les méchants, mais c'est surtout dans la mise en scène que Cavaye parvient a maintenir le spectateur en haleine! Le film ne fait qu'1h26, mais avec ses nombreuses fusillades, courses poursuites et combat, le film ne perd jamais de son intérêt. Un bon polar nerveux et tendu servi par de très bons acteurs. Fred Cavaye réussi un triplé avec 3 excellents films a la suite.
Patricemarie
Patricemarie

43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 4 juin 2014
Un vrai policier d'action, on croirait même un James Bond par moments, avec un scénario très fouillé.
Quelques invraisemblances.
Yetcha
Yetcha

918 abonnés 4 423 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 4 juin 2014
Après un "A bout portant" qui m'avait transporté, je m'attendais au moins à la même chose. Quelle déception, on s'en le forçage de la sensation de puissance lors des combats et cela dessert l'action, l'affiche qui reprend à l'identique celle de "A bout portant", on y retrouve Lellouche, toujours bon lui, Lindon est plutôt fade par contre. Les gros méchants sont caricaturaux, on se perd dans un montage pas toujours heureux avec des retours en arrière inutiles. Je reste vraiment sur ma faim et m'attendais à beaucoup mieux, d'où, peut-être, ma grande déception.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 3 juin 2014
Un bon film policier avec un beau duo d'acteurs en tête d'affiche.
Toujours un peu trop d'héroïsme et de fusillade mais bon c'est du spectacle on aime bien y'a de l'action!
Les longues scènes de poursuite tiennent en haleine.
Avec en arrière-plan un petit flash-black sur les liens d'amitié.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 3 juin 2014
L'intrigue de départ de ce film s'est inspiré du film de Robert Aldrich de 1962 : "qu'est-il arrivé à Baby Jane?"
à savoir
MG
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 2 juin 2014
J'ai toujours eu du mal avec les film français. Ceux-ci sont toujours associés à de la médiocrité, un espoir de "faire comme les grands", sans jamais y parvenir. Peu sont ceux qui sortent du lot. Ceux de Fred Cavayé en font partie.

J'ai découvert ce réalisateur par un thriller marquant, A bout portant. Son deuxième long métrage après Pour elle, et un énorme succès en salle. Cette fois, Cavayé revient sur ses amours de jeunesse, en combinant ces deux films. Selon les dires du réalisateur, Mea culpa est conçu comme le dernier volet d'une trilogie initiée par "Pour elle". Et ça marche. Cavayé est sur un sujet qu'il connaît, et on le sent à l'aise. Après avoir apporté des avancées prodigieuses dans ce genre de fond de placard qu'était le polar français, le réalisateur met à nouveau une énorme claque à tous les réfractaires de cette nouvelle vague.

Bref retour sur l'histoire (synopsis fourni par Allociné). Flics sur Toulon, Simon et Franck fêtent la fin d'une mission. De retour vers chez eux, ils percutent une voiture. Bilan : deux victimes dont un enfant. Franck est indemne. Simon, qui était au volant et alcoolisé, sort grièvement blessé . Il va tout perdre. Sa vie de famille. Son job de flic. Six ans plus tard, divorcé de sa femme Alice, Simon est devenu convoyeur de fonds et peine à tenir son rôle de père auprès de son fils Théo qui a désormais 9 ans. Franck, toujours flic, veille à distance sur lui. Lors d'une corrida, le petit Théo va être malgré lui le témoin d'un règlement de compte mafieux. Très vite, il fera l'objet de menaces. Simon va tout faire pour protéger son fils et retrouver ses poursuivants. Le duo avec Franck va au même moment se recomposer. Mais ce sera aussi pour eux l'occasion de revenir sur les zones d'ombre de leur passé commun.

En dépit d'un scénario plutôt classique, la mise en scène est parfaitement menée. Toutes les scènes s'enchaînent de manière fluide et logique, on sent vraiment un travail méticuleux et précis. Les différentes parties du film passent à une vitesse folle, mais leur équilibre est relativement correct. Un fois sorti de la salle, une heure et demi plus tard, tous les éléments sont clairs, rien n'est à ajouter. On regrettera néanmoins quelques ficelles un peu grosses et des petits airs de déjà vu, notamment dans la première partie.

Mais ce que l'on apprécie chez Cavayé - particulièrement présent ici - C'est son rapport à l'image. Plans et cadres sont travaillés, et pas un n'est fait à la va-vite, ou n'est raté. Il est d'usage de dire qu'un plan est comme un mot. Il véhicule une émotion particulière, et utiliser un tel à la place d'un autre peu modifier de manière radicale votre façon de percevoir les choses. Cavayé réussit ici le tour de force d'inscrire la majeur partie de son travail sur ces plans. Les dialogues, voulus et écrits minimalistes - j'y reviendrais - ne sont en fait que des pistes pour laisser les plans s'exprimer.

Tout le monde a un jour vu un polar français. Que ce soit un dimanche soir sur un chaîne câblée, ou par un DVD prêté d'un ami de la famille du cousin, le polar français fait partie de notre culture. Cette succession d'images sombres, désaturées au possible, à la limite du noir et blanc, ont étés pendant longtemps un des principaux moyens de faire passer un sentiment d'angoisse. Plus c'est gris, plus ça marche. Mais alors que les grosses productions ont fait fi de cet méthode, pour se pencher sur une vraie utilisation de la couleur, la cinéma français s'obstine encore et toujours, résistant à l'envahisseur.

Heureusement, certains osent tenter de passer le cap. C'est ainsi que Mea Culpa possède un rapport à la couleur très intense. Certaines scènes sont vraiment extrêmement colorées, à la limite du surréalisme. Les dominantes sont à la fois un choix artistique et un moyen de transmettre un sentiment bien précis. On passe ainsi de rouge à bleu en passant par du jaune, de l'angoisse à l'attente.

Venons en aux dialogues. Cavayé a ainsi souhaité les minimiser :"Le dialogue n’est là que pour faire passer quelque chose qu’on ne peut véhiculer par l’image, ou même par la musique. Le spectateur n’est pas un animal que l’on nourrit, c’est un être humain avec des sentiments universels que l’on peut utiliser pour raconter l’histoire." explique-t-il à propos de son rapport à l'image et de ses dialogues. L'intention est louable, mais tient plus du délire d'artiste que d'une vraie préoccupation. Il s'agit là d'un des seuls reproche que l'on peut lui attribuer. A vouloir en enlever sans nuire à la compréhension, on tombe dans un juste milieu assez dérangeant. Pas assez pour que les dialogues soient développés et intéressants, et trop pour que ce soit vraiment minimaliste. Ceci est valable pour la première partie essentiellement, l'action comblant ensuite cette lacune.

Enfin, terminons sur les performances d'acteurs. Par delà un Vincent Lindon parfait dans son rôle d'archétype de l'homme perdu qui tente de reconstruire sa vie, Gilles Lellouche possède relativement bien son personnage. Mention spéciale au jeune Max Baissette de Malglaive, remarquable dans la rôle de Théo, malheureusement trop absent pour un personnage de cette importance. Si Lindon est merveilleusement froid et absent envers son fils, celui-ci aurait mérité un peu moins de retenue, même s'il est difficile d'en demander autant à cet âge là.

En bref, Mea Culpa est plutôt un bon film. Même si quelques faiblesses scénaristiques et des dialogues quelque peu plats sont à déplorer, l'ensemble est tout de même de très bonne facture, et renouvelle un genre acquis comme enterré à jamais. Les plans de caméra audacieux et une nouvelle esthétique sur le rapport à la couleur apportent un vent de fraîcheur dans le cinéma français, et notre petite production n'a rien à envier au gros films d'action bourrés à la testostérone hollywoodienne. on en viendrait presque à se pencher plus en profondeur sur le cinéma français - j'ai dit presque, faut pas exagérer non plus.
soniadidierkmurgia
soniadidierkmurgia

1 227 abonnés 4 206 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 2 juin 2014
Fred Cavayé, sorti de nulle part en 2008 signait avec "Pour elle" un polar nerveux qui donnait un coup de fouet à un genre autrefois spécialité française, délaissé par les producteurs trop frileux. Son film a d'ailleurs été remaké presque aussitôt aux States par Paul Haggis ("Les trois prochains jours"). Aux côtés de l'ancien flic Olivier Marchal, Fred Cavayé a donc pris la relève dans l'esprit du public des Melville, Deray ou Corneau (très difficile succession). On attend donc avec impatience chacune de leurs livraisons. Le sujet de "Mea Culpa" a d'ailleurs été suggéré à Cavayé par Olivier Marchal. Le moins que l'on puisse dire est que les deux hommes semblent vouloir creuser profondément le même sillon sans trop lever la tête pour humer un air nouveau. Nous sommes certes dans la série B dite efficace et Cavayé en a bien intégré les leçons. Mais on est quand même en droit d'attendre au-delà des poncifs habituels inhérents au polar, une légère nuance dans le caractère des personnages. Au lieu de cela, Cavayé réunit les héros de ses deux précédents films pour les maintenir dans leurs emplois respectifs. Notamment un Vincent Lindon au front de plus en plus bas qui doit avoir négocié ses derniers contrats au moindre mot dit tant il devient de plus en plus mutique appuyant toujours un peu plus ses regards noirs lourds de signification qui à force d'être caricaturaux deviennent une faiblesse dans son jeu. Le grand acteur doit très vite s'interroger sur la tournure que doit prend sa carrière l'âge venant, les postiches et les teintures ne pouvant servir indéfiniment de repoussoir à une remise en question salutaire . Moins flagrant est le problème pour Gilles Lellouche dont l'image à l'écran est moins usée par la répétition des films que celle de Vincent Lindon. L'ensemble reste efficace mais l'assimilation aux maîtres cités plus haut, demandera à Fred Cavayé un peu plus d'ambition narrative . Il en a les moyens.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 1 juin 2014
Un thriller d'une qualité rare .

J'imaginais retrouver une construction similaire au précédent de Fred Cavayé qui m'avait valu une claque assez monumentale , A bout Portant . Pas du tout . La construction , le montage de celui sont beaucoup plus habituels . Les scènes les plus intenses sont toujours aussi bien menées sachant que le degré d'intensité le plus faible met déjà la barre très haut . A ce niveau la et grâce à un casting parfait la mission est réussie . Le film prend aux tripes donc , ou presque .

Je dis presque parce que je pense que ce film aurait gagné à se simplifier , je pense au scénar qui part dans beaucoup de sens ce dont on a pas forcément besoin , personnellement je m'attendais à du 100% thriller mais j'ai eu droit à joli pourcentage de tragédie , bref une histoire sentimentale un peut trop présente à mon goût . L'action est toujours d'une grande précision mais le plaisir est trop vite cassé pour revenir sur les histoires de cœur et aucune ne m'a spécialement marqué .

Je ne spoilerai en aucun cas A Bout Portant mais son intrigue était d'une extrême simplicité laissait place à une tension géniale dans un 100% thriller . Les scènes d'action criaient tellement de vraisemblance que lorsque j'y reconnaissais des lieux j'avais l’impression d'y être .

Bref. Cavayé a eu la meilleure idée qui soit en cherchant à réitérer la recette de son précédent film , mais son lot de nouveautés et ses choix ne m'ont pas fait passer l'envie de vous reparler de A Bout Portant . Pour moi le chef d'oeuvre .
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 31 mai 2014
Jamais deux sans... et non ! Dans le même style que ses précédents films mais cette fois ci, c'est bien en dessous... à la limite de l'arnaque. Il maitrise les scènes d'actions mais le scénario est bidon, sans consistance, sans intérêt... et le casting (principalement des seconds rôles) n'est pas très judicieux. C'est un film de courses poursuites sans âme.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 31 mai 2014
Rien que pour la scène de tauromachie une demi étoile parce qu'on peut pas mettre moins , je deteste la tauromachie c'est uniquement pour les debiles profonds des gens du sud et j’applaudis haut et fort quand un taureau explose un troll de toréador
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