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Votre avis sur Mourir peut attendre ?
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Film nul, j'a quand même mis 1 étoile pour la belle Léa Seydou qui a fait e qu'elle a pu pour interpréter ce scénario pauvre et ennuyeux
Mon James Bond préféré ! Je ne suis pas un fan absolu de la saga, mais le rythme insoutenable, les scènes d'actions incessantes et spectaculaires, et le personnage plus humains que d'habitude, m'ont régalé pendant plus de 3h, un régal !
Le dernier de l'ère Daniel Craig est très beau visuellement mais reste très classique dans le traitement. Toujours en attente de voir qui prendra la relève de la franchise.
Parfois en revoyant un film, on modifie son premier jugement en positif parce qu’on avait mal compris le scénario, raté un message, sous-estimé un jeu d’acteur/actrice, … Mais là, deuxième visionnage et déception confirmée : scénario nul et bourré d’incohérences, personnages inutiles et/ou sans profondeur et donc jeu d’acteur médiocre, Léa Seydoux et Rami Malick en tête, musique de générique faiblarde (six notes max) interprétée par une chanteuse aphone, longueur digne d’un téléfilm à rallonge histoire de garder le téléspectateur pendant les pubs.
D’ailleurs on sent bien la difficulté à défendre le film dans les interviews de Daniel Craig, Léa Seydoux (surtout elle) et Rami Maleck pendant la promo ou post sortie.
Si ce n’était au départ qu’un banal film d’action, on l’oublierait volontiers mais le problème est que, hélas, il s’agit d’un James Bond. Une franchise culte. L’une de celles qui a contribué à l’essor et construit l’histoire du cinéma. Alors peut être que Cary Joji Fukunaga a souhaité « faire un coup » et rester LE réalisateur a avoir créé une figure de style. C’est vrai qu’en repensant la saga James Bond, on se souvient des films eux-mêmes, des génériques grandioses et bien sûr des acteurs et actrices qui ont fait leur légende, mais finalement très peu des réalisateurs. Hélas pour lui, on se souviendra de lui (moi en tout cas) comme celui à avoir massacré le dernier film de Daniel Craig en tant qu’interprète du célèbre Bond, et seul (D. Craig) à en sortir indemne.
D’ailleurs on sent bien la difficulté à défendre le film dans les interviews de Daniel Craig, Léa Seydoux (surtout elle) et Rami Maleck pendant la promo ou post sortie.
Si ce n’était au départ qu’un banal film d’action, on l’oublierait volontiers mais le problème est que, hélas, il s’agit d’un James Bond. Une franchise culte. L’une de celles qui a contribué à l’essor et construit l’histoire du cinéma. Alors peut être que Cary Joji Fukunaga a souhaité « faire un coup » et rester LE réalisateur a avoir créé une figure de style. C’est vrai qu’en repensant la saga James Bond, on se souvient des films eux-mêmes, des génériques grandioses et bien sûr des acteurs et actrices qui ont fait leur légende, mais finalement très peu des réalisateurs. Hélas pour lui, on se souviendra de lui (moi en tout cas) comme celui à avoir massacré le dernier film de Daniel Craig en tant qu’interprète du célèbre Bond, et seul (D. Craig) à en sortir indemne.
Encore un 007 que je réussis à regarder jusqu'au bout : en fait tous ceux avec Daniel Craig. Si on excepte que James Bond a toujours autant de chance d'affronter des très mauvais tireurs...que lui réussit à abattre d'un seul tir, j'adore ces histoires 007 où il y a des sentiments profonds.
Si vous voulez un super film d'action et bien c'est le cas.
Un film magnifique, bruitage génial et qui font sursauter, musique sublime, un scénario simple à comprendre donc pas besoin de se prendre la tête.
Un film magnifique, bruitage génial et qui font sursauter, musique sublime, un scénario simple à comprendre donc pas besoin de se prendre la tête.
Un très bon ultime volet des aventures d'espionnage de James Bond avec Daniel Craig, Léa Seydoux, Rami Malek ,Ralph Fiennes et Christoph Waltz.
Très très grosse déception.... La première partie du film est intéressante avec des scènes d'actions en Italie, remarquables, mais après, cela devient un peu fouilli. Un méchant qui n'est pas complètement méchant. M qui ne s'est plus qui est 007, qui devient hésitant... Léa Seydoux qui ne se retrouve pas dans son rôle de James Bond Girl. Même Carole Bouquet ou Sophie Marceau s'en sont mieux tirées par le passé. La crédibilité du couple Bond et de leur fille est mise à mal, car l'on a des difficultés à imaginer James, sensible, d'autant plus qu'il a le permis de tuer et dans tous les précédents 007, il est resté impartial, avec un masque presque de robot, plus austère. Et là, le retrouver humain...c'est étrange. La fin de ce film est aussi bizarre. Dans la base sous marine, l'on se croirait évoluer dans un jeu vidéo. Et James Bond qui se suicide sur la dernière scène, va aussi difficilement avec le personnage. Donc le titre est "Mourir peut attendre la fin". Ce Bond devrait avoir le prix de l'originalité...
Un Bond pas loin d'être insipide, si l'on enlève les scènes d'action toujours aussi rythmées. Je n'ai malheureusement jamais pu retrouver la maestria d'un Casino Royal, qui reste, à mon humble avis, le meilleur James Bond de tous les temps. Craig interprète un Bond au flegme iconique mais est entouré de personnages trop stéréotypés et sans réelle profondeur.
ManoCornuta
Lorsque l'on connaît les tenants et les aboutissants de cet ultime film avec Daniel Craig, il est difficile d'y voir autre chose qu'un dernier hommage à son interprète et au personnage par la même occasion, avec la convocation d'à peu près tout ce qui a fait le sel de la saga Bond: coups fourrés, cascades dans tous les sens, whisky, cigarettes et petites pépées... même si la modernité commande aujourd'hui et traverse toute l'histoire, ce film sonne comme un résumé chargé en symboles, au point qu'il en étouffe tout le reste, acteurs comme scénario: le méchant surgi de nulle part est aussi improbable que sa logique, l'intérêt de l'histoire est très limité et l'ensemble baigne dans un irréalisme quasi total, au point qu'on se demande sur quoi s'extasier: la chanson du générique, singulièrement ennuyeuse? la profusion d'action sans aucun liant ou presque? la fin, notoirement incompréhensible? Reste le spectacle et le dynamisme de la mise en scène, mais trempé dans une mélancolie générale qui annule les effets de surprise.
Un des meilleurs scénarios de James Bond. Daniel Kreg est excellent.
Léa Seydoux est aussi très juste.
On découvre aussi pour une fois une pluralité dans un James Bond et heureusement car ce film aurait alors été une parodie misogyne et raciste des précédents opus.
Léa Seydoux est aussi très juste.
On découvre aussi pour une fois une pluralité dans un James Bond et heureusement car ce film aurait alors été une parodie misogyne et raciste des précédents opus.
Certaines personnes ont cru voir en James Bond un personnage représentatif d'une vision du monde. Son machisme, sa violence, son conservatisme, ses Vodka Martini, toutes ces abominations à éliminer de la surface de la Terre nécessitaient un nouveau Bond, plus paternel, plus sensible et moins alcoolique.
Le résultat est donc ce film :
- très long (2h45),
- qui donne une grande impression de déjà vu pour toutes les scènes d'action,
- qui cherche à vous faire larmoyer avec spoiler: la femme et la fille de Bond
, mais ces scènes m'ont juste ennuyé,
- qui ne contient aucune musique, ni même chanson de générique, digne de la licence 007,
- qui utilise une astuce scénaristique honteuse pour se débarrasser de l'histoire ( spoiler: l'élimination de tout Spectre en quelques secondes par une arme bactériologique ciblée sur l'ADN de tous les pourris opportunément rassemblés pour faire la fête quelque part à Cuba
),
- qui finit de manière ridicule.
Si encore il y avait du répondant en face de Bond, mais même le méchant est banal et on a du mal à l'identifier comme un méchant… à moins que le visage grêlé soit forcément un signe de méchanceté? De la part de personnes qui prétendent remettre en question les stéréotypes et les préjugés, on aurait pu espérer que la laideur physique de ce personnage ne soit pas un indice suffisant que c'est bien lui le méchant du film. Hé bien si, comme quoi, on ne déconstruira pas tout.
Film nul, et même honteux.
Le résultat est donc ce film :
- très long (2h45),
- qui donne une grande impression de déjà vu pour toutes les scènes d'action,
- qui cherche à vous faire larmoyer avec spoiler: la femme et la fille de Bond
, mais ces scènes m'ont juste ennuyé,
- qui ne contient aucune musique, ni même chanson de générique, digne de la licence 007,
- qui utilise une astuce scénaristique honteuse pour se débarrasser de l'histoire ( spoiler: l'élimination de tout Spectre en quelques secondes par une arme bactériologique ciblée sur l'ADN de tous les pourris opportunément rassemblés pour faire la fête quelque part à Cuba
),
- qui finit de manière ridicule.
Si encore il y avait du répondant en face de Bond, mais même le méchant est banal et on a du mal à l'identifier comme un méchant… à moins que le visage grêlé soit forcément un signe de méchanceté? De la part de personnes qui prétendent remettre en question les stéréotypes et les préjugés, on aurait pu espérer que la laideur physique de ce personnage ne soit pas un indice suffisant que c'est bien lui le méchant du film. Hé bien si, comme quoi, on ne déconstruira pas tout.
Film nul, et même honteux.
malgré les quelques effets spéciaux habirtels qui rappellent que cette série de films ne se prend pas au sérieux, l'ensemble est très décevant . c'est confus, pleurnichard avec des dialoguees interminables et inutiles pour combler le manque d'inspiration du réalisateur.
de plus faire mourir le héros après l'avoir fait devenir géniteur est une faute de goût imardonnable
de plus faire mourir le héros après l'avoir fait devenir géniteur est une faute de goût imardonnable
25ème opus de la saga Bond, "Mourir peut attendre" surprendra les fans par son originalité comparée aux films précédents. James Bond est moins dragueur, plus triste, plus humain, moins drôle... ce qui n'est finalement ni mauvais ni bon. Les quelques (rares) allusions aux épisodes du passé sont toujours appréciables pour les aficionados, mais certains éléments et personnages dictés par le wokisme actuel sont vraiment dommageables.
Au final on passera un bon moment ponctué par de bonnes scènes d'action, mais on regrettera cette ambiance générale moins "Bondesque" que par l'accoutumée.
Au final on passera un bon moment ponctué par de bonnes scènes d'action, mais on regrettera cette ambiance générale moins "Bondesque" que par l'accoutumée.
Avec l'ère Daniel Creig, James Bond incarne une version plus sombre du traditionnel héro auquel on nous avait habitué auparavant. Cette vision des choses (à laquelle j'adhère) oblige en général aux scénarios d'être un peu plus léché et le
'vaguement crédible' n'est pas une option.
Dans cet épisode, le vieillissant super héros perd intentionnellement de sa superbe (pourquoi pas et l'idée est très bonne). L'homme est est plus agé, et en s'en sort souvent avec de la chance... chance que, malheureusement, le personnage assume avec des tentatives d'effets comiques 'pince sans rire'. C'est sur ce point que j'ai tiqué sur le film : Non, on ne fait pas un regard caméra genre 'On a rien vu, :) j'ai pas été au top là hein !', surtout quand on se bat pour sauver sa vie. Ce genre de scène jette instantanément du discrédit sur la vraisemblance.
Si on ajoute à cela des scènes d'utilisation de gadgets grotesques surpuissants, on se remémore aussitôt les débilités des James Bond d'autrefois spoiler: Je pense notamment à la scène des aimants dans la cage d'ascenseur
.
Ensuite, la présentation du nouveau personnage de 007 est complètement raté. James Bond reste un personnage stéréotypé, une marque déposée.
Bref, cet opus constitue le premier mauvais James Bond de l'ère Daniel Creil (même si le précédent n'était pas folichon non plus).
'vaguement crédible' n'est pas une option.
Dans cet épisode, le vieillissant super héros perd intentionnellement de sa superbe (pourquoi pas et l'idée est très bonne). L'homme est est plus agé, et en s'en sort souvent avec de la chance... chance que, malheureusement, le personnage assume avec des tentatives d'effets comiques 'pince sans rire'. C'est sur ce point que j'ai tiqué sur le film : Non, on ne fait pas un regard caméra genre 'On a rien vu, :) j'ai pas été au top là hein !', surtout quand on se bat pour sauver sa vie. Ce genre de scène jette instantanément du discrédit sur la vraisemblance.
Si on ajoute à cela des scènes d'utilisation de gadgets grotesques surpuissants, on se remémore aussitôt les débilités des James Bond d'autrefois spoiler: Je pense notamment à la scène des aimants dans la cage d'ascenseur
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Ensuite, la présentation du nouveau personnage de 007 est complètement raté. James Bond reste un personnage stéréotypé, une marque déposée.
Bref, cet opus constitue le premier mauvais James Bond de l'ère Daniel Creil (même si le précédent n'était pas folichon non plus).
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