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    snoww89
    snoww89

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2022
    Pour quitter 007, Daniel Craig a mis un grand effort. Pour que les spectateurs se souviennent de lui et pour toujours. Mais malheureusement, je ne suis pas convaincu, des intrigues démodées et une fin complètement prévisible, sans surprises depuis le début jusqu'à la fin. Dommage!
    Lutz Steven
    Lutz Steven

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mai 2022
    Je ne vais pas être doux sur cette critique. Je vais juste énumérer ce que de nombreuses critiques ont déjà évoquées.

    En gros je vais afficher les gros points noirs de ce film et lui mettre une sale note bien méritée pour ce gâchis que les fans ont attendus pendant 2 ans.

    1. J'ai regardé quoi, là ? Un James Bond, ou un film d'action à gros budget ?
    2. C'est quoi ce scénario ? Autant avec Spectre, je trouvais pas ça bon. Mais la suite s'enfonce encore plus. Et encore c'est un euphémisme. La première partie est intéressante. Ça rentre dans la case James Bond. Mais après on part spoiler: sur un drame familial avec le schéma typique du "j'ai capturé ta fille, je suis méchant, vient la chercher, hihihi"
    . Ça marche dans un Die Hard, mais on est très loin de James Bond. La fin j'y reviendrais.
    3. Léa Seydoux. Autant leur romance qui devient de l'amour sans aucune raison dans Spectre m'avais gonflé, mais là ça devient n'importe quoi. Bond a réussit à oublier Vesper encore plus vite que Madeleine, alors qu'une intrigue amoureuse et plus profonde s'était crée entre eux.
    4. Le méchant. Bordel, j'attendais que dans ce film Blofeld arrive à obtenir sa réputation de Blofeld. Au lieu de ça on nous fourgue un énième méchant qui menace la planète. Le tout, remplit de facilitées scénaristiques. Plein de "comme par hasard".
    5. Que du spoil : spoiler: James Bond tombe amoureux, ok. C'est arrivé plusieurs fois, et ça venait des romans (OHMSS et Casino Royal). Ils y avaient incorporé le truc dans Demain ne meurt Jamais avec Paris Carver. James Bond a une fille, bon ok. Dans les romans il en a une avec Kissy Suzuki (C'est pas de Ian Fleming, on passe quand même). Mais s'il y a bien une chose, une chose essentielle, c'est le respect de tout ce qui fait James Bond. Si on lit les bouquins ou l'on voit les films, il y une chose à retenir. James Bond ne meurt jamais. Rien que pour ça, je met 0.5/5. Bordel, c'est le leitmotiv du personnage ! Il peut endurer toutes sortes d'épreuves, mais James Bond est invincible ! Rien que dans le 5ème film (On ne vit que deux fois) les scénaristes s'amusaient dessus en faisant mourir officiellement le commandeur Bond pour qu'ensuite le Spectre se rende compte rapidement que non. La preuve que dès le début les producteurs et scénaristes avaient compris que James Bond n'avait pas lieu de mourir. Si c'était le cas, ça n'était qu'une ruse. Hors dans No time to die (contradictoire comme titre), il n'y a aucun mystère. Bond se prend bel et bien des bombes dans la tronche avec un plan bien explicite pour nous le montrer. Si à la limite, on avait eu un plan de l'île qui explose, on aurait eu le bénéfice du doute. Mais non. On nous sort un scénario à la SW8 puissance 10 juste pour montrer que c'est bien la fin de l'ère Craig.


    C'était les remarques que je me devais de faire en tant que fan de la saga. Y montrer mon mécontentement et y notifier les points noirs. Je n'ai même pas parlé de la 007 noire (sans mauvais jeu de mot avec ma phrase précédente) qui est juste là pour être là. Elle ne sert à rien. Juste à satisfaire un public qui veut des acteurs noirs badasses, encore mieux si c'est une femme. Mais au final c'est ça le problème. Elle ne sert qu'à ça...

    Si je reviens un peu en arrière dans le temps. On avait une agent de terrain qui a fait équipe avec Bond. Elle a été rétrogradé pour l'échec de sa mission et mise sur un bureau car elle n'était pas faite pour le terrain. Plus tard, elle a eu une idylle avec Bond.
    Je trouve ce développement plus intéressant. Et tiens donc ! Il s'agit de Monneypenny, la secrétaire principale de M. Une femme et noire en plus ! Comme quoi on peut changer l'ethnie d'un personnage. À condition de le développer un minimum.
    RCSForever
    RCSForever

    69 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2022
    On retrouve enfin l'âme des James Bond dans ce film (belle voiture, Q, M, miss moneypenny) et un méchant. L'action est là et j'ai passé un bon moment même si la trame est relativement classique. Le reproche qu'on pourrait lui faire est la fin brutale de spectre alors que cette organisation était au coeur des derniers films.
    Sandrine L.
    Sandrine L.

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2022
    Grosse grosse déception.
    Les 30 premières minutes du film étaient prometteuses malheureusement le rythme s’est très vite essoufflé. Daniel Craig est un peu en deçà de sa prestation habituelle, Rami Malek terriblement inconsistant dans le rôle du « méchant ». spoiler: Et que dire de la fin ? Ils ont osé tuer James Bond. Où sont passées les happy end dans lesquelles 007 s’en sortait toujours au bras d’une jolie femme ?
    Le Rabzz
    Le Rabzz

    21 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2022
    Quel dernière pour Daniel Craig en tant qu'agent double? J'ai été scotché du début à la fin, le sort finale m'a laissé bouche-bée, une réalisation au top, un suspense tout le long jusqu'au dénouement.
    Ludo !
    Ludo !

    1 abonné 138 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    Daniel Craig tire sa révérence dans cet ultime James Bond au scénario fluide et assez prenant. Quelques facilités, notamment dans l'affrontement final, gâchent un peu l'ensemble. Cela dit, on ne voit pas les 2h30 passer.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    154 abonnés 1 192 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 février 2022
    L'arc Daniel Craig se terminera donc sur cet échec finalement représentatif de cette pentalogie. Je sauve Casino Royal et Skyfall, pour les trois autres je me demande comment d'une saga iconique bénéficiant des meilleurs acteurs, scénaristes et au budget illimité on peut tirer de telles daubes. Mention aggravante pour "No time...": il est affreusement long.

    L'espion anglais a toujours été pour moi un gentleman classe qui distribue balles mortelles et répliques so british en n'oubliant jamais de séduire une superbe donzelle dans ce qui est son traintrain quotidien: sauver le monde. Ce personnage-fantasme ne m'a jamais vraiment emballé mais il avait une cohérence, une spécificité, un style.

    La saga "suit les évolutions de la société" et James Bond est devenu une brute américaine adepte du corps à corps qui écrase ses adversaires sous une carcasse de voiture. Q, un vieux scientifique en blouse un peu farfelu est désormais un jeune geek gay au polo bien cintré. La secrétaire Monneypenny au chignon impeccable et réparties facétieuses est devenue jeune, noire et agent de terrain, tout comme la nouveau 007. Personne ne semble se poser la question de ce qu'apportent à l'histoire ces personnages écrit avec les pieds, l'important c'est que les différentes communautés soient représentées. La nouvelle 007 est symptomatique de ce problème, elle surjoue la femme indépendante mais est complètement inutile (ha si elle fait le taxi). Un peu comme Ana de Armas dont le personnage se résume à être sexy et... c'est tout en fait.

    L'autre problème de ce concentré de minorités qui me parait (paradoxalement) peu représentatif de la société c'est qu'associé à l'évolution de la personnalité de James Bond (qui a maintenant un chiard) il précipite la saga vers un résultat attendu: James Bond est devenu un divertissement industriel comme un autre.
    Et comme tous les blockbusters d'action, No time to die se résumera donc à cette alternance immuable entre scènes d'actions épileptiques à la crédibilité limitée (le câble qui "trainait" sur le pont en Italie m'a sorti du film avant d'y être entré), conversations pseudo philosophiques sans intérêt "we are the same you and I" et personnages secondaires stériles.

    La seule chose qui reste de l'univers James Bondien est l'univers bourgeois: les bagnoles sont rutilantes, les appartements magnifiques et les robes de cocktail affriolantes, d'accord pour le wokisme mais un héro prolo, ça jamais !

    Plus globalement, il n'y a pas grand chose qui fonctionne pendant ces trois heures où l'on déjoue l'un des plan machiavéliques les plus absurdes jamais vu à l'écran. Les quelques tentatives d'humour sont aussi subtiles que le nom du méchant ("Lyutsifer" franchement ?) ou que la référence à la Madeleine de Proust (du côté de chez Swann), le pari de romantiser Bond, d'en faire un papa sensible ne fonctionne pas, parce que les scènes intimistes sont rares et ratées et ensuite parce que No Time to Die reste un film grand spectacle. Notons qu'à l'exception de la progression dans l'escalier, les scènes d'action m'ont largement laissé indifférent.

    Je serai injuste si je ne mentionnais pas ces quelques moments de ravissement esthétiques entre contemplation de la forêt norvégienne, jardin japonais et bains pathogènes, dommage que depuis la baignade en Méditerranée jusqu'à l'île fortifiée on a l'impression d'avoir déjà vu ça 100 fois.

    Afin de parachever sa bouse, le réalisateur s'offre le plaisir inédit de tuer James Bond doudou en bandoulière, meurtre qui ne crée aucune émotion et pour cause, 2min plus tard le générique nous rassure (ou pas) "James Bond will return".
    Le littéraire
    Le littéraire

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 février 2022
    Mourir peut attendre est un film relativement beau visuellement mais où il manque des éléments pour faire un vrai James Bond. Premièrement, il nous faut cette touche essentielle d'humour que l'on retrouve dans les 007. Le film se prend trop au sérieux, l'ambiance trop sombre. En parlant d'ambiance, certaine scène du film tourne au film d'angoisse, c'est d'ailleurs ce que je reproche à la première scène qui aurait put être une très bonne scène d'entrée. Le scénario et cette histoire autour du spectre ne me plait pas particulièrement, mais la je ne critiquerais pas: on aime ou on n'aime pas. Là où je trouve au film un énorme problème, c'est les personnages, et en particulier le "méchant" principal. Ce personnage aurait put avoir un intérêt psychologique (ou était censé), mais ces motivation sont un peu grotesques et justement un peu trop psychologiquement poussées, ce qui laisse apparaitre certains défauts. La psychologie. Un aspect qui prend beaucoup trop de place à mon gout dans ce film. Je suis rentré dans la salle pour aller voir un film d'action... Mes attentes n'ont pas été satisfaites. Trop de moments où elle chute. Je reproche beaucoup au film son côté dramatique.
    Un autre point que je souhaite détailler, c'est l'interprétation. C'est vraiment quelque chose que je n'aime pas critiquer, je préfère me focaliser sur la réalisation et le scénario. Mais je suis obliger d'en parler dans le cas de Daniel Craig. Je ne trouve pas son jeu d'acteur mauvais, mais là, c'est juste une question d'âge. Il faudrait de la vigueur et la nostalgie s'installe un peu. On ne se souvient que trop bien de la petite touche pétillante que mettait par exemple Roger Moor dans son jeu.
    Pour finir, je suis obliger de mettre une mauvaise note à ce film parce que pour un James Bond dont on attendait des choses, il m'a comme même déçu.
    Rudy M
    Rudy M

    62 abonnés 907 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2022
    Un nouveau James Bond comme toujours agréable à regarder avec la dernière pige de Daniel Craig , comme toujours de l'action , des femmes et un bond dévastateur
    Lilian Collins
    Lilian Collins

    11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2022
    La dernière aventure de Daniel Craig dans le smoking de 007, on l’attend depuis 6 ans. Après Spectre, où l’agent britannique faisait face au chef de l’organisation criminelle au cœur de la franchise, 007 prend sa retraite avec Madeleine Swann en Italie, à Matera. Mais une fois sur place, une série d’évènements vont bouleverser les certitudes de l’agent et l’embarquer dans une nouvelle mission des plus périlleuses. Film symbole de la pandémie de Covid-19, on a sacrément attendu avant de voir Mourir Peut Attendre. Plus de six bande-annonce en ligne, trois relances de promotions et un nombre incalculable de reports, Mourir Peut Attendre aura pris de plein fouet le Covid, à un point même où des reshoots ont eu lieu car les placements de produits du film n’étaient plus d’actualité ! Je suis donc allé au cinéma avec impatience, espérant voir un nouveau Casino Royale ou Skyfall, et pour dire au revoir à l’iconique James Bond de Daniel Craig.
    Le film s’ouvre sur un flashback sur l’enfance de Madeleine Swann. Dans une ambiance glaciale et entouré par les couleurs bleutés et la neige immaculé, Cary Joji Fukunaga imite les codes du slasher dans une première scène sous tension, qui nous introduit le méchant principal du film, incarné par Rami Malek. Nous retrouvons ensuite James, et il ne faut pas attendre longtemps pour que la traditionnelle scène d’action de début de film commence. Et l’on en prend plein la vue ! Jouant avec l’architecture atypique de la cité italienne, le metteur en scène filme une incroyable course-poursuite en moto, avant d’embarquer dans l’Aston-Martin de 007 pour une scène de bagarre épique. Le générique du film, sans doute l’un des plus beaux des 25 films, est accompagné de l’incroyable chanson de Billie Eilish. Cary Joji Fukunaga place ce nouvel opus sous le signe du souvenir et de la mélancolie, enchaînant scènes d’actions incroyablement bien chorégraphiées et filmées, ainsi que moments plus calmes.
    La photographie de cet opus n’est pas exceptionnel, mais fait totalement l’affaire. Les décors sont très variés et biens choisis, et la mise en scène de Fukunaga est propre et impeccable, s’autorisant parfois quelques folies. Mais la grande force du long-métrage, c’est ces personnages. Tous sont réunis pour dire adieu à la saga Daniel Craig : Moneypenny (Naomie Harris), M (Ralph Fiennes), Madeleine Swann (Léa Seydoux), Blofeld (Christopher Waltz), ou encore Felix Leiter (Jeffrey Wright). Cependant, de nouveaux protagonistes et antagonistes font apparition, et notamment deux nouvelles agentes : Paloma, incarné par Ana De Armas, et Nomi, interprété par Lashana Lynch.
    Les scènes d’actions sont d’ailleurs l’un des gros points forts du film. On retiendra notamment la scène à Santiago, la meilleure du film sans aucun doute, parfaitement chorégraphié et où Ana de Armas et Daniel Craig sont tout simplement brillants. La course-poursuite dans la forêt en Norvège est également très bien exécuté, et on retiendra également le plan-séquence dans les escaliers, qui semble devenir un classique du film d’action depuis Atomic Blonde en 2018.
    Les acteurs sont tous très bons. Comme dit plus haut, la quasi-totalité de la distribution des précédents films est de retour, et notamment Léa Seydoux, qui a ici droit à une vraie histoire d’amour avec Bond, pas le brouillon de relation bâclé qui nous était montré dans Spectre. Ana de Armas, en quelques minutes d’apparition, parvient à imposer sa présence en tant qu’agente cubaine haute en couleurs, et on est même déçu qu’elle ne bénéficie pas de plus de temps d’écran, tant son personnage est attachant. Lashana Lynch incarne bien Nomi, mais malheureusement, le manque de profondeur du personnage se ressent beaucoup.
    Pour ce qui est des défauts, le film est long, très long, et si ce n’était pas le dernier James Bond de Daniel Craig, on ressentirait clairement un vide au milieu du film. Le méchant est également peu marquant, et l’interprétation de Rami Malek est clairement en dessous des autres membres du casting. Le scénario est également assez tordu, et à étonnamment une résonnance forte avec le Covid, alors qu’il a été tourné un an avant le début de la pandémie.
    Cependant, ces défauts ne vont sans doute pas vous gâcher cette dernière aventure de Daniel Craig en tant que James Bond, qui est sans doute l’un des meilleurs films de la saga avec Skyfall et Casino Royale et un bel adieu de la part de Daniel Craig.
    Christophe B
    Christophe B

    13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2022
    Si vous aimer les films longs, avec bcp de parlotte sans intérêt, courrez vite voir ce film. Action inexistante mis à part les 10 premières minutes. Si vous voulez passer un excellent moment ne regarder que la bande annonce.
    Abdel
    Abdel

    6 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 septembre 2024
    Probablement le pire de la série. On passera sur les incursions du camps du bien ad nauseam qui contaminent le tout Hollywood actuel. Les personnages sont lessivés. C'est poussif. On s'ennuie. Léa Seydoux a toujours l'air sous antidépresseurs.
    Greg Or
    Greg Or

    7 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Moyen,la première partie du film était pas mal,mais après on est sur du vu et revu en terme de scénario et franchement le méchant n'est pas terribles.Bref un film moyen comme tout les 007,a part casino royal qui est exceptionnelle et qui avait d'ailleurs mis la franchise sur la bonne voie, mais bon sa n'a pas duré.Je préfère largement mission impossible.
    AПИС 1903
    AПИС 1903

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 janvier 2022
    Que dire... Même Johnny English est plus crédible en espion. "Adieu James". Quand à la nouvelle 007 qui ne tient sa place que grâce à l'idéologie, elle est morte-née. Il faudrait un site qui renseigne sur les continus woke des films et qui appellerait à leur boycott afin de ne plus perdre son temps et afin de poser la question aux producteurs : vous voulez gagnez de l'argent en faisant des bons films qui attirent largement les spectateurs ou vous voulez en perdre en faisant de l'idéologie qui ne fait rêver ni attirer quasi personne ?
    Maximus
    Maximus

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2022
    Enfin une fin qui ose, enfin tout ne fini pas bien. Quelle intensité pour ce dernier film de Daniel Craig avec l'apothéose de la scène finale.
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