Avis : Mourir peut attendre - Page 4

Mon dieu. Après le scène post générique James n'est plus la. Pour le fan de Daniel Craig lui il est la.

Les super Héroïne annoncer sont moins badasssz que Jinx

Et le grand méchant incipide et j'avoue n'a pas avoir compris ca motivation.

Et les astons 4 astons pour ça aussi.

he ben je peux dire que je suis sorti vraiment mais vraiment déçu même si les scènes d'action sont t belles...

On l’attendait de pied ferme le dernier James Bond avec Daniel Craig. Ce blockbuster a été l’un des premiers impactés par la crise et les multiples reports de sortie qui ont suivi. Le voilà enfin et il est plutôt réussi à défaut d’être transcendant. Il clôt avec brio l’arc narratif suivi par les cinq films avec Craig (une première dans l’histoire cinématographique de l’agent 007). Cependant, la surprise de « Casino Royale » n’est pas là et la perfection du très certainement meilleur opus à ce jour, « Skyfall » non plus. C’est un épisode réussi, carré et maîtrisé, loin du fatras narratif de « Quantum of Solace » par exemple. Il est à mettre dans la même catégorie réussie que le dernier en date, « Spectre », mais il faut avouer qu’on sent qu’il est temps de passer à autre chose. Mais pour un au revoir, l’acteur peut se targuer de le faire avec classe et quelques surprises inattendues qui vont peut-être décontenancer les fans. « Mourir peut attendre » est le chant du cygne de quinze ans de James Bond plus réaliste, plus sombre et plus dramatique.



L’histoire racontée ici est classique mais prenante. On suit avec plaisir les péripéties internationales de l’agent britannique bien qu’il faille avouer que près de trois heures pour une histoire comme celle-ci n’était peut-être pas nécessaire. Un montage plus resserré aurait évité quelques ventres mous et un final qui s’étire plus que de raison et sans raison. Quant au casting, si les têtes connues et bien entendu le rôle-titre toujours aussi bien campé par Craig sont toujours à leur place, le reste du casting apparaît moins évident et judicieux. Léa Seydoux n’a toujours pas la maturité et le charisme nécessaire à ce type de rôle et elle est bien plus performante dans le cinéma d’auteur. Lashaya Lynch n’est pas mauvaise mais apparaît plus comme un choix opportuniste de la femme de couleur en vogue là où un équivalent masculin à Bond aurait davantage pimenté le scénario. Rami Malek est un méchant oubliable et effacé, très loin d’égaler le Javier Bardem de « Skyfall ». Enfin, Ana de Armas ne fait que passer et son rôle ne sert strictement à rien si ce n’est de mettre une pin-up de plus à l’affiche.



Mais « Mourir peut attendre » dispose de nombreuses qualités et n’a pas à rougir dans l’ordre de réussite des près de trente films de la saga. La réalisation de Cary Fukuyaga peut certes sembler un peu impersonnelle mais il met bien en avant les différents lieux visités et les scènes d’action, si elles ne sont pas inoubliables ou renversantes, assurent le spectacle avec classe et style. On est plus surpris de voir la manière dont les scénaristes et producteurs ont choisi et accepté de terminer le film. Une belle surprise pleine d’émotion qui divisera certainement le public. Tout comme d’autres choix étonnants dont on vous laisse la surprise. Un épisode qui met les sentiments et le passé à l’honneur comme peu d’autres opus l’avaient fait avant lui. Épique, mythique et généreux en grand spectacle, un blockbuster d’action en tous points conformes aux canons de la saga avec une grosse dose de tragique en plus.



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Grand fan de James Bond,,je me faisais une joie de le retrouver .
je suis écœuré et sorti de la salle vidé....
Pourquoi appeler ce film James Bond ?
Tous l'ADN de James Bond a été oublié pour n'en faire qu'un film d'action.

MOURIR PEUT ATTENDRE (2021): "Un homme est venu chez nous pour tuer mon père. Il ne savait pas que j'étais là-haut en train de jouer dans ma chambre". Une phrase prononcée par Madeleine Swann à James Bond dans "Spectre". Celle-ci aura une grande importance pour faire cette transition avec "Mourir Peut Attendre" ainsi que pour la suite des évènements. Le vilain, Lyutsifer Safin (le très brillant Rami Malek), fera payer très cher le mal grêlé sur son visage. Envahi d'une folie meurtrière, il n'éprouvera aucune pitié pour le monde qui l'entoure. Bond, à la retraite, perdra confiance, mais trouvera par la force des sentiments le pouvoir de pardonner. Pour la dernière fois il portera le smoking de gentleman, un charme qu'il préfèrera mettre de côté afin de montrer sa vraie nature, un homme plus responsable envers son entourage. Il croisera dans un bref instant la pétillante Paloma, agent de la C.I.A, elle aussi cachée derrière un léger voile d'humour, mais lorsqu'il s'envolera, laissera apparaitre une femme très agile dans le combat. Ce voile ira alors brutalement se poser sur le passé de la saga Bond/Daniel Craig, le dissimulant à tout jamais, une façon de tourner la page, et d'orienter la saga 007 vers un autre horizon, avec un nouvel acteur, c'est bien dommage. Daniel Craig aura réussi à moderniser cette licence, et nous fera dans "Mourir Peut Attendre" sa toute dernière révérence. Un au revoir extrêmement émouvant, encore jamais vu dans un James Bond. Un final qui pourrait aussi s'intituler "Elle a des yeux révolver", n'est-ce pas James… Très surpris par cette réalisation car tellement différente des autres opus. 2h43 captivantes, dynamiques, pour un scénario très bien ficelé qui m'aura totalement conquis.

J'adore la saga James Bond et j'étais fans des début de Daniel Craig dans le rôle.
Je comprends le courant qui consiste à naviguer sur la vague du #metoo parce que c'est important de faire changer les choses et ne pas les laisser retomber brutalement.
Seulement James Bond c'est une légende, une légende avec ses caractéristiques qui ne collent pas à la vision de la société moderne, certes, mais voilà, à vouloir absolument le faire rentrer dans ce moule, ce n'est plus James Bond.
Alors bon il y a certainement de la place pour créer des héros modernes respectant les codes de la société mais là c'était supposé être un film de James Bond et ça n'en était pas un.
Une semaine avant j'ai emmené mon enfant de 5 ans au cinéma pour regarder le film de Pat Patrouille.
Et j'ai vraiment failli m'endormir dans le cinéma ...
Mais ce n'était pas devant Pat Patrouille car il y avait un minimum d'action et de suspense, et Monsieur Hellinger avec ses vilains chats était plus charismatique que le méchant de cet opus de .. j'ai failli dire de James Bond mais non j'insiste, ça n'en était pas un.
Les fans de Zack Snyder ont eu le directeur cut.
Est-ce trop demandé en tant que fan de James Bond d'avoir un VRAI dernier James Bond avec Daniel Craig ? 
Quel massacre !

Mauvais, long et ennuyeux... Voir 007 joué par une femme noire c'était très mal venu! Ça plait peut-être au adeptes de la culture woke mais pas au public visiblement. Attention a force de vouloir plaire aux wokistes on finit par faire du très mauvais voire de la merde !

Un opus plutôt réussi. Très belle séquence initiale à Matera, une virée cubaine drôle charmante et efficace et quelques jolies trouvailles avec un retour de l'humour un peu absent ses derniers temps. Mais le film est un peu long et manque par moment d'ossature avec un méchant un peu terne

James bond mourir peut attendre et la suite
de Spectre. mourir peut attendre on dirait juste un film d'action. En plus Daniel Craig on ne dirait plus un agent secret mais un tueur.
Il y a trop de scène de baston. c'est trop long pour arriver aux générique de début.
Il n'y a pas de mission. Tout les films james bond ou jouaient les acteurs Sean Connery, Roger Moore et Pierce Brosnan il y avait une mission ,on voyait que c'était bien des agents secrets.

On avait quitté James Bond, fraîchement à la retraite aux bras de Madeleine Swann. Fini le M.I.6, l’action et le danger, l’agent « double-zéro » profite de sa nouvelle vie jusqu’à ce que son vieil ami Felix Leiter de la CIA face appelle à lui pour sauver un scientifique.

25ème opus de la franchise & 5ème interprétation pour Daniel Craig qui campe pour la toute dernière fois le rôle de James Bond. Une suite directe au précédent opus (Spectre - 2015) qui aura eu toutes les peines du monde à voir le jour. Après la défection de Danny Boyle (pour différents artistiques) et la sortie au cinéma maintes fois repoussées à cause de la pandémie mondiale de Covid 19 (avril 2020, puis novembre 2020, avant de finalement être décalée un an plus tard en octobre 2021).

On savait que Mourir peut attendre (2021) allait signer la fin de Daniel Craig dans la peau de James Bond, il fallait donc que ce cycle se clôt en beauté, après avoir superbement démarré 15ans plus tôt (Casino Royale - 2006). De grosses responsabilités incombaient à Cary Fukunaga et avec une durée aussi excessive (2h45, le plus long de toute la franchise), on se demandait réellement vers quoi le réalisateur allait nous embarquer.

Reconnaissons-le, il y a de très bonnes idées, comme cette scène d’ouverture en Norvège, la folle poursuite à Matera en Italie ou encore la séquence de gun fight à Cuba. Mais avouons-le aussi, le film est fréquemment handicapé par des longueurs dont on aurait très bien pu se passer. Malgré cela, le film parvient aussi à nous offrir d’étonnants et de savoureux moments d’humour, notamment avec la (très) ravissante Ana de Armas, le tout, entrecoupé par des scènes d’action parfaitement chorégraphiées. Côté casting, on retrouve Léa Seydoux, ainsi que Christoph Waltz (même si ce dernier n’apporte pas grand-chose à l’intrigue principale), aux côtés du psychotique Rami Malek (dont le personnage manque d’étoffe). Cependant, grosse désillusion face à Lashana Lynch qui paraît bien fade et inexpressive aux côtés de Daniel Craig.

Un cycle qui se clôt à demi-teinte, certes le cahier des charges est parfaitement rempli et clairement on ne s’ennuie pas, mais en même temps, le film aurait mérité d’être raccourcit pour gagner en efficacité.

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Mourir Peut Attendre c'est une 1ère heure exaltante, mais surtout un final hallucinant, qui prend des risques inédits, et vient déconstruire une mythologie entière. Au milieu, par contre, c'est aussi grossier et fouillis que Spectre. Rami Malek et Léa Seydoux sont à oublier.

https://www.justfocus.fr/cinema/mourir-peut-attendre-le-dernier-tour-de-piste-de-daniel-craig-va-diviser-les-avis.html

https://www.cineserie.com/news/cinema/mourir-peut-attendre-la-scene-douverture-a-ete-teasee-dans-spectre-4605229/

https://www.cineserie.com/dossiers/toplist/james-bond-voici-le-classement-des-films-avec-daniel-craig-4600682/

https://www.cineserie.com/news/cinema/mourir-peut-attendre-60-000-euros-depenses-en-coca-cola-pour-les-besoins-de-cette-cascade-5048640/

Interminable, prévisible, bavard et sombre... aux antipodes de ce que représente le personnage de James Bond... décidément bien loin de ce que doit représenter un héros aujourd'hui à Hollywood. Quelques (rares) bonnes trouvailles cependant, à commencer par la scène à Cuba avec Ana de Armas.

La claque. Je m'attendais à une fin de l'ère Craig marquante mais ce fut encore plus épique.
Tout est ficelé aux petits oignons et je n'ai pas vu les 2h40 passer.
spoiler: Père puis mort, je ne l'ai pas vu venir. =
; beaucoup n'aimeront pas, ça peut se comprendre, moins de crier à la nullité absolue comme on le voit trop, mais pour moi c'est parfaitement bien trouvé. spoiler: Même si certes il avait tout le temps de filer et un vaccin se trouve facile avec un bon médecin/scénariste
.
Bons enchainements d'action et de calme, superbes décors. J'aurais peut-être voulu à peine un poil plus de temps de présence d'Ana de Arnas et Rami Hayek.
Très bon ajout d'une 007 temporaire, qui joue d'ironie avec son homologue, n'en déplaise aux agités du bocal.
On verra au prochain opus s'il y a matière à crier au manquement à Flemming mais en attendant ici il n'y a aucun souci.
Un Bond au top parmi les 24 autres que j'ai poncés en boucle.

Entre les multiples hommages appuyés aux précédents épisodes avec des moments de pur traditionalisme bondien et des passages à la modernité appuyée, façon "cancel culture", on est un peu mitigé. Il en ressort un Bond moyen, sans éclat particulier, un peu long mais touchant.

Dernier James Bond satisfaisant et divertissant avec notre cher Daniel Craig. Je ne suis pas une puriste des Bond donc j'ai peut être moins d'attente que certains, mais je trouve que globalement le film a rempli ses cases : divertissant, dynamique et bel hommage pour clôturer la saga. Les scènes d'action sont bien présentes et toujours impressionnantes, il y a quelques petites touches d'humour appréciables, le temps passe à une grande vitesse, le scénario n'est pas trop casse-tête mais il a le mérite d'être plutôt simple à suivre.
On retrouve nos têtes habituelles mais aussi de nouveaux personnages comme Rami Malek, Ana de Armas dont l'apparition ne sera pas longue mais efficace ainsi que le nouveau matricule 007 incarnée par Lashana Lynch, vraiment au top ! Concernant le retour de Léa Seydoux et son jeu d'actrice, c'est une autre histoire...
En bref, ce n'est peut être pas le meilleur film de la saga, mais il respecte les codes d'un James Bond et nous offre une belle conclusion pour Daniel Craig.

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