Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
43 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Sans rien céder sur les fastes spectaculaires attendus, Mourir peut attendre est animé par une fougue réformatrice qui le pousse à repenser de fond en comble toutes les constituantes censément immuables du mythe, et ce faisant lui offre son visa pour un nouveau monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
par Claire Steinlen
Dans son dernier rôle, Craig donne à cet opus une dimension crépusculaire ; c’est le point d’orgue d’un rôle porté à son incandescence, qui résonne encore longtemps après la fin du générique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Si certains axes de narration et séquences diviseront les fans, « Mourir peut attendre » offre son lot de cascades et de gadgets en tout genre, à l’instar de la légendaire Aston Martin, mais aussi une bonne dose d’émotion.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Mourir peut attendre traîne des défauts classiques (seconds rôles insipides, méchant fonctionnel, rythme décousu), mais brûle une page de la saga avec une ambition et une émotions inédites. Après quasiment 60 ans et 25 films, James Bond ose enfin, et rien que pour ça, c'est beau.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Brillante conclusion des aventures du Bond incarné par Daniel Craig, Mourir peut attendre n’a pas à rougir face à Skyfall ou encore Casino Royale.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La réussite de la "série" Craig est de s’être séparée du héros de "fantaisie" qu’était James Bond avant lui, et de lui avoir apporté une épaisseur inédite et originale, en creusant le tragique d’un personnage adulé, mais solitaire, définitivement seul.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Le long-métrage de Cary Joji Fukunaga s’aventure sur des chemins périlleux, probablement au point de s’attirer les foudres des fans les plus puristes de la saga, mais les prend avec un panache et une volonté de vivifier un personnage vieillissant qui en font un objet de cinéma certes imparfait mais très souvent emballant.
La critique complète est disponible sur le site GQ
LCI
par Jérôme Vermelin
(...) plusieurs femmes volent la vedette au mâle vieillissant, avec pas mal d’humour et d’aplomb. L’une d’entre elles, l’agent Nomi, est jouée par la comédienne d’origine jamaïcaine Lashana Lynch, une manière habile de désamorcer la polémique sur la couleur de peau d’un prochain Bond. Leur rivalité à l’écran est pétillante et savoureuse (...).
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ce qui intéresse les scénaristes (...) c’est de clore avec cohérence le chapitre Daniel Craig, un Bond sombre, sauvage, contraint de questionner son passé, son métier… Et son rapport aux femmes. Ce sont ses traumas sentimentaux qui sont ici auscultés, donnant à Mourir peut attendre une étrange singularité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
POUR : Raccord avec les quatre précédents opus, le film élégiaque assume à 100% ses choix audacieux et controversés, insufflant une gravité et une singularité séduisantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Yves Jaeglé
POUR : On dit le film trop long, mais c’est qu’il y en a deux : le premier, classique, et le second, une heure déchirante à la quête de soi-même et du rendez-vous avec son destin. À faire un grand Bond sur son siège.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Craig fait ses adieux à 007 avec un film à la mise en scène musclée par l’arrivée de Fukunaga. Mais, malgré la volonté de faire différent, les errements du scénario et le poids de la sérialisation se font sentir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Il y a comme un désaveu du grand spectacle contemporain qui se chuchote entre ces images des forêts norvégiennes ou d’une boîte en Jamaïque, le vœu pieux qu’avec Bond, peu importe qui l’incarne, quelque chose du cinéma pourrait bien subsister qui est plus vital qu’on ne s’était autorisé, en partisan du jamais-vu, à l’apprécier. Mourir peut attendre n’est pas le meilleur des Bond, mais fait un doudou très digne de nos temps troublés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Un mélange schizophrénique de retour aux sources tonitruant et de politique de la terre brûlée. Ce qui, en soi, suffit à en faire l'opus le plus mémorable depuis Casino Royale.
Ouest France
par Philippe Lemoine
Si Mourir peut attendre respecte les passages obligés d'un bon 007, il réserve aussi un lot de rebondissements inhabituels.
Positif
par Aliocha Wald Lasowski
Mourir peut attendre développe une tension psychologique inédite, où nostalgie et mélancolie côtoient détermination et engagement.
Rolling Stone
par La rédaction
Vous l’avez compris, c’est du James Bond pur jus, moins fin que Skyfall, le meilleur des épisodes avec Daniel Craig, mais Mourir peut attendre dépote, vous en mettra plein les yeux et vous assourdira dans sa version Dolby Atmos.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si Mourir peut attendre n’est pas le meilleur opus, il est l’un des plus forts parce qu’il ose le romantisme et l’émotion.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les amours de l’agent secret avec une psy jouée par Léa Seydoux prennent autant d’importance que les enjeux sociopolitiques. Une partie du public se laisse émouvoir, l’autre, de rage, se tape la tête contre le fauteuil qui lui fait face.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est long, et même très long. Le chant du cygne n’en finit pas, malgré une mise en scène magistrale qui masque les imperfections, défauts et maladresses de l’histoire : le film de Cary Joji Fukunaga dure 2h43…
Elle
par Ophélie Daguin
Mais à vouloir émouvoir à tout prix, le blockbuster finit par basculer dans le drame romantique un peu longuet (2h43). (...) "Mourir peut attendre" se révèle donc divertissant mais loin d’être mémorable.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Noyé dans les effets spéciaux, l'agent 007 court le seul vrai risque de sa vie : devenir un héros parmi d'autres. Efficace, forcément, mais un peu banalisé.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un Bond ne serait pas bon sans courses-poursuites, sans action. Et là-dessus, rien à redire : le cinquième 007 de Craig après Casino Royale, Quantum of Solace, Skyfall et Spectre tient la route et enchaîne les séquences les plus folles, pied au plancher.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un épisode de presque trois heures qui répond aux canons de la saga, sans plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Mourir peut attendre est une conclusion risquée, courageuse par moment, mais bien trop longue pour ce qu'elle raconte, sans personnalité au niveau de la mise en scène et dont les failles narratives nous sortent trop souvent de l'émotion que le film veut susciter.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Daniel Craig fait ses adieux au personnage sur un opus inabouti mais original.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télérama
par Marie Sauvion
Ressasser le passé pour en faire table rase, voilà à la fois la limite et l’audace de cette conclusion, dont l’apothéose mélancolique confirme à quel point le cycle Craig a généré son propre ADN. Ce n’est pas si souvent, en tout cas, qu’on en reste médusé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Vaste condensé de la trajectoire historique des Bond, de ce fait non dépourvu d'une certaine monstruosité, le film mène son héros, d'un épisode en smoking à La Havane où, en compagnie d'une Ana de Armas ouvertement comique, il accomplit sa périlleuse mission martini à la mains, jusqu'à un climax explosif sur une île insipide du Pacifique, digne d'un blockbuster contemporain comme il faut et tout sauf british.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le James Bond de Daniel Craig restera évidemment dans l’Histoire comme l’un des plus marquants. Mais pas pour cet ultime film de son mandat.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Ce dernier volet se préoccupe, une fois n’est pas coutume, moins de l’origine que de l’héritage de son personnage, en y apportant une réponse d’une naïveté confondante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
"Mourir peut attendre" s’use à trouver sa patte, lost in translation entre la fin d’une époque – celle des années 2000 – et le début d’une autre en pleine réécriture, conditionnée aux évolutions d’un secteur et de ses franchises.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard
En apportant une forme d’animalité tendre, Daniel Craig restera sans doute comme un des meilleurs acteurs de la série. Néanmoins, le manque de rythme, des dialogues filmés sans originalité, les agaçants placements de produits et, plus inattendu, l’interprétation inégale de comédiens pourtant chevronnés provoquent une certaine déception.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Au début du film, James Bond se vautre dans le stupre à Matera, sublime ville troglodyte des Pouilles. C’est le meilleur moment : tout est beau, calme, idyllique. Ça se gâte rapidement, avec des tueurs à moto, des assassins en Land Rover, des acharnés du bourre-pif. 007 se sépare de sa compagne, et tout déraille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Avoir laissé s’éterniser à l’écran ces monotones échanges restera l’un des mystères que l’équipe au complet des services secrets occidentaux n’aura pas su percer à jour.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
CONTRE : Hélas! C'est le temps d'une 'bonderie' bien décevante et interminable (2h43, record de la saga) que Daniel Craig doit faire ses adieux : à l’écran, même lui ne semble pas convaincu et on lit presque de l'ennui sur son visage monolithique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
CONTRE : Certes, on ne peut pas vivre dans la nostalgie, James Bond se doit sans doute d’évoluer avec son temps. À ce titre, Daniel Craig humanise le héros de façon touchante. Mais à devenir trop humain, il n’est plus très… « bondien ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Après le médiocre « 007 Spectre », l’ultime mission du mythique agent sous les traits de Daniel Craig corrige un peu le tir, mais rate quand même sa cible.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un épisode long et décevant… Mais qui n'est pas le pire de la saga commencée en 1962.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Benjamin Locoge
S’il soigne sa sortie pour mieux se réinventer, 007 va laisser de nombreux fans sur le bord de sa route.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Étrangement goguenard au sein d’une série qui jouait la carte du sérieux le plus absolu depuis 2006, Mourir peut attendre est très convaincant quand il envisage -enfin !- de nouveau James Bond comme un film essentiellement très distrayant. Le problème est de rester distrayant pendant 2h43. Or, sur ce point, c’est clairement loupé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Divertissant mais trop long et d'un romantisme inadapté au genre.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Bavard, long et confus, le nouveau James Bond se résume à un fatras d’effets spéciaux et de démonstration financière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Comme Tenet, de Christopher Nolan, comme Black Widow, de Cate Shortland – eux aussi attendus comme le Messie par les exploitants –, Mourir peut attendre est, hélas, un film raté, sans même pouvoir se prévaloir des ambitions formalistes du premier ni du charme électrisant de la seconde, interprétée par Scarlett Johansson.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
Sans rien céder sur les fastes spectaculaires attendus, Mourir peut attendre est animé par une fougue réformatrice qui le pousse à repenser de fond en comble toutes les constituantes censément immuables du mythe, et ce faisant lui offre son visa pour un nouveau monde.
Bande à part
Dans son dernier rôle, Craig donne à cet opus une dimension crépusculaire ; c’est le point d’orgue d’un rôle porté à son incandescence, qui résonne encore longtemps après la fin du générique.
CNews
Si certains axes de narration et séquences diviseront les fans, « Mourir peut attendre » offre son lot de cascades et de gadgets en tout genre, à l’instar de la légendaire Aston Martin, mais aussi une bonne dose d’émotion.
Ecran Large
Mourir peut attendre traîne des défauts classiques (seconds rôles insipides, méchant fonctionnel, rythme décousu), mais brûle une page de la saga avec une ambition et une émotions inédites. Après quasiment 60 ans et 25 films, James Bond ose enfin, et rien que pour ça, c'est beau.
Filmsactu
Brillante conclusion des aventures du Bond incarné par Daniel Craig, Mourir peut attendre n’a pas à rougir face à Skyfall ou encore Casino Royale.
Franceinfo Culture
La réussite de la "série" Craig est de s’être séparée du héros de "fantaisie" qu’était James Bond avant lui, et de lui avoir apporté une épaisseur inédite et originale, en creusant le tragique d’un personnage adulé, mais solitaire, définitivement seul.
GQ
Le long-métrage de Cary Joji Fukunaga s’aventure sur des chemins périlleux, probablement au point de s’attirer les foudres des fans les plus puristes de la saga, mais les prend avec un panache et une volonté de vivifier un personnage vieillissant qui en font un objet de cinéma certes imparfait mais très souvent emballant.
LCI
(...) plusieurs femmes volent la vedette au mâle vieillissant, avec pas mal d’humour et d’aplomb. L’une d’entre elles, l’agent Nomi, est jouée par la comédienne d’origine jamaïcaine Lashana Lynch, une manière habile de désamorcer la polémique sur la couleur de peau d’un prochain Bond. Leur rivalité à l’écran est pétillante et savoureuse (...).
La Voix du Nord
Ce qui intéresse les scénaristes (...) c’est de clore avec cohérence le chapitre Daniel Craig, un Bond sombre, sauvage, contraint de questionner son passé, son métier… Et son rapport aux femmes. Ce sont ses traumas sentimentaux qui sont ici auscultés, donnant à Mourir peut attendre une étrange singularité.
Le Journal du Dimanche
POUR : Raccord avec les quatre précédents opus, le film élégiaque assume à 100% ses choix audacieux et controversés, insufflant une gravité et une singularité séduisantes.
Le Parisien
POUR : On dit le film trop long, mais c’est qu’il y en a deux : le premier, classique, et le second, une heure déchirante à la quête de soi-même et du rendez-vous avec son destin. À faire un grand Bond sur son siège.
Les Fiches du Cinéma
Craig fait ses adieux à 007 avec un film à la mise en scène musclée par l’arrivée de Fukunaga. Mais, malgré la volonté de faire différent, les errements du scénario et le poids de la sérialisation se font sentir.
Libération
Il y a comme un désaveu du grand spectacle contemporain qui se chuchote entre ces images des forêts norvégiennes ou d’une boîte en Jamaïque, le vœu pieux qu’avec Bond, peu importe qui l’incarne, quelque chose du cinéma pourrait bien subsister qui est plus vital qu’on ne s’était autorisé, en partisan du jamais-vu, à l’apprécier. Mourir peut attendre n’est pas le meilleur des Bond, mais fait un doudou très digne de nos temps troublés.
Mad Movies
Un mélange schizophrénique de retour aux sources tonitruant et de politique de la terre brûlée. Ce qui, en soi, suffit à en faire l'opus le plus mémorable depuis Casino Royale.
Ouest France
Si Mourir peut attendre respecte les passages obligés d'un bon 007, il réserve aussi un lot de rebondissements inhabituels.
Positif
Mourir peut attendre développe une tension psychologique inédite, où nostalgie et mélancolie côtoient détermination et engagement.
Rolling Stone
Vous l’avez compris, c’est du James Bond pur jus, moins fin que Skyfall, le meilleur des épisodes avec Daniel Craig, mais Mourir peut attendre dépote, vous en mettra plein les yeux et vous assourdira dans sa version Dolby Atmos.
Télé 7 Jours
Si Mourir peut attendre n’est pas le meilleur opus, il est l’un des plus forts parce qu’il ose le romantisme et l’émotion.
20 Minutes
Les amours de l’agent secret avec une psy jouée par Léa Seydoux prennent autant d’importance que les enjeux sociopolitiques. Une partie du public se laisse émouvoir, l’autre, de rage, se tape la tête contre le fauteuil qui lui fait face.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est long, et même très long. Le chant du cygne n’en finit pas, malgré une mise en scène magistrale qui masque les imperfections, défauts et maladresses de l’histoire : le film de Cary Joji Fukunaga dure 2h43…
Elle
Mais à vouloir émouvoir à tout prix, le blockbuster finit par basculer dans le drame romantique un peu longuet (2h43). (...) "Mourir peut attendre" se révèle donc divertissant mais loin d’être mémorable.
Femme Actuelle
Noyé dans les effets spéciaux, l'agent 007 court le seul vrai risque de sa vie : devenir un héros parmi d'autres. Efficace, forcément, mais un peu banalisé.
Le Dauphiné Libéré
Un Bond ne serait pas bon sans courses-poursuites, sans action. Et là-dessus, rien à redire : le cinquième 007 de Craig après Casino Royale, Quantum of Solace, Skyfall et Spectre tient la route et enchaîne les séquences les plus folles, pied au plancher.
Le Figaro
Un épisode de presque trois heures qui répond aux canons de la saga, sans plus.
Le Journal du Geek
Mourir peut attendre est une conclusion risquée, courageuse par moment, mais bien trop longue pour ce qu'elle raconte, sans personnalité au niveau de la mise en scène et dont les failles narratives nous sortent trop souvent de l'émotion que le film veut susciter.
Les Echos
Daniel Craig fait ses adieux au personnage sur un opus inabouti mais original.
Télérama
Ressasser le passé pour en faire table rase, voilà à la fois la limite et l’audace de cette conclusion, dont l’apothéose mélancolique confirme à quel point le cycle Craig a généré son propre ADN. Ce n’est pas si souvent, en tout cas, qu’on en reste médusé.
Cahiers du Cinéma
Vaste condensé de la trajectoire historique des Bond, de ce fait non dépourvu d'une certaine monstruosité, le film mène son héros, d'un épisode en smoking à La Havane où, en compagnie d'une Ana de Armas ouvertement comique, il accomplit sa périlleuse mission martini à la mains, jusqu'à un climax explosif sur une île insipide du Pacifique, digne d'un blockbuster contemporain comme il faut et tout sauf british.
CinemaTeaser
Le James Bond de Daniel Craig restera évidemment dans l’Histoire comme l’un des plus marquants. Mais pas pour cet ultime film de son mandat.
Critikat.com
Ce dernier volet se préoccupe, une fois n’est pas coutume, moins de l’origine que de l’héritage de son personnage, en y apportant une réponse d’une naïveté confondante.
Culturopoing.com
"Mourir peut attendre" s’use à trouver sa patte, lost in translation entre la fin d’une époque – celle des années 2000 – et le début d’une autre en pleine réécriture, conditionnée aux évolutions d’un secteur et de ses franchises.
L'Humanité
En apportant une forme d’animalité tendre, Daniel Craig restera sans doute comme un des meilleurs acteurs de la série. Néanmoins, le manque de rythme, des dialogues filmés sans originalité, les agaçants placements de produits et, plus inattendu, l’interprétation inégale de comédiens pourtant chevronnés provoquent une certaine déception.
L'Obs
Au début du film, James Bond se vautre dans le stupre à Matera, sublime ville troglodyte des Pouilles. C’est le meilleur moment : tout est beau, calme, idyllique. Ça se gâte rapidement, avec des tueurs à moto, des assassins en Land Rover, des acharnés du bourre-pif. 007 se sépare de sa compagne, et tout déraille.
La Croix
Avoir laissé s’éterniser à l’écran ces monotones échanges restera l’un des mystères que l’équipe au complet des services secrets occidentaux n’aura pas su percer à jour.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : Hélas! C'est le temps d'une 'bonderie' bien décevante et interminable (2h43, record de la saga) que Daniel Craig doit faire ses adieux : à l’écran, même lui ne semble pas convaincu et on lit presque de l'ennui sur son visage monolithique.
Le Parisien
CONTRE : Certes, on ne peut pas vivre dans la nostalgie, James Bond se doit sans doute d’évoluer avec son temps. À ce titre, Daniel Craig humanise le héros de façon touchante. Mais à devenir trop humain, il n’est plus très… « bondien ».
Le Point
Après le médiocre « 007 Spectre », l’ultime mission du mythique agent sous les traits de Daniel Craig corrige un peu le tir, mais rate quand même sa cible.
Marianne
Un épisode long et décevant… Mais qui n'est pas le pire de la saga commencée en 1962.
Paris Match
S’il soigne sa sortie pour mieux se réinventer, 007 va laisser de nombreux fans sur le bord de sa route.
Première
Étrangement goguenard au sein d’une série qui jouait la carte du sérieux le plus absolu depuis 2006, Mourir peut attendre est très convaincant quand il envisage -enfin !- de nouveau James Bond comme un film essentiellement très distrayant. Le problème est de rester distrayant pendant 2h43. Or, sur ce point, c’est clairement loupé.
Sud Ouest
Divertissant mais trop long et d'un romantisme inadapté au genre.
aVoir-aLire.com
Bavard, long et confus, le nouveau James Bond se résume à un fatras d’effets spéciaux et de démonstration financière.
Le Monde
Comme Tenet, de Christopher Nolan, comme Black Widow, de Cate Shortland – eux aussi attendus comme le Messie par les exploitants –, Mourir peut attendre est, hélas, un film raté, sans même pouvoir se prévaloir des ambitions formalistes du premier ni du charme électrisant de la seconde, interprétée par Scarlett Johansson.