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    Frank
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2015
    Petit ovni du cinéma britannique, ce Frank met l’accent sur la difficulté à s’accepter et être soi-même. Joué par un casting idéal, le mélange des caractères étonne à la mesure que l’histoire joue sur l’absurdité des séquences. Ainsi opposer l’excentrique Maggie Gyllenhaal avec une douce Carla Azar ou faire dominer un discret Domhnall Gleeson sur un célèbre Michael Fassbender chamboule les codes du cinéma. Frank est donc une comédie poétique à l’ambiance aberrante mais prenante. On pense beaucoup à l’univers de Michel Gondry, mais Lenny Abrahamson impose bien une identité à ce Frank hors du commun.
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    bsalvert
    bsalvert

    407 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 avril 2015
    On passe beaucoup de temps à se demander comme le personnage principal qui se cache sous cette tête, le saura-t-on avant la fin?
    PLV : une histoire originale du moins au débu
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Un film que j'ai trouvé gé-nial! Une superbe surprise qui me fait comprendre pourquoi j'adore le ciné! Scénario et mise en scène originaux, excellente interprétation (Fassbender en tête évidemment , whaouh! le jeu de mots qui tue!!!), de l'émotion, de l'humour etc.... pour un résultat qui marque l'esprit! Il faut rentrer dedans mais une fois que c'est fait, on se sent dans le groupe et comme Domhnall Gleeson, on se pose la question: Mais qui est Frank???? Tout au long du film, on le découvre et on finit par le trouver attachant ce bonhomme! Intéressant de découvrir une personne sans voir son visage, on se débarrasse de certains préjugés et lorsqu'on la découvre sans cet artifice, on se surprend à ne pas la juger comme on peut le faire habituellement.... Malgré un dénouement un peu triste, j'en suis ressorti avec le sourire content d'avoir vu un film original et plus humain qu'il ne paraît. Je conseille fortement!
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2015
    Passé le concept, Michael Fassbender dans la peau du «héro», masqué du premier au dernier plan, il ne reste pas grand chose de cette fantaisie pop. Un moment simple de cinéma, on n’ose pas convoquer ici la notion d’ennui, mais le film subit un rythme lent qui le classe dans une passivité relativement inconsistante.
    Le pendant comédie du film est bien plus soigné et réussit que le pseudo-psycho drame qui semble se dessiner au fil des minutes. Le principal problème se situe probablement dans sa structure, bancale, à copier ses ainés (on pense notamment à Michel Gondry) sans y mettre une touche personnelle ou même déposer sa propre grammaire cinématographique, le réalisateur fige son film dans un style trop propre et dénué de tous risques.
    Si «Frank» reste une œuvre atypique, elle est hélas également assez ennuyante si ce dernier point n’était pas un peu bousculé par son interprétation, Maggie Gyllenhaal, et bien sûr, Michael Fassbender en tête, plus zébulon que (F.) Zappa. N’est pas Frank qui veut.
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    61 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2015
    Chœur électrique de la discrétion et de la marginalité, Frank est d'abord en toute discrétion le biopic éphémère d'un jeune musicien en devenir, Jon Ronson, et de l'atypique leader d'un groupe avant-gardiste, Chris Sievey. Mais le film d'Abrahamson oublie aussitôt commencé ce sentier conventionnel pour atteindre sa propre identité : feel-good movie en puissance, le métrage multiplie les virages grisants, du slapstick à la chronique virale, glissant alors sans que l'on y prête attention vers le drame à la tristesse insondable. Le réalisateur expose les clichés un brin incommodants de l'environnement musical expérimental, imposant les quelques longueurs de sa sempiternelle recherche rutilante pour mieux installer la progression créative de ces figures tantôt attachantes tantôt inquiétantes. Quelques belles idées formelles se baladent - voir l'excellente ouverture et sa délicieuse quête de paroles - pour faire oublier de rares excès typiques du ciné indépendant, toutefois repaire d'une galerie d'acteurs aux facettes scintillantes et inattendues. Comme son paria de tête d'affiche et ses compagnons doux illuminés, Frank se révèle comme une touchante œuvre bipolaire, fraîche et désabusée, oscillant entre des émotions contraires pour faire se toucher du doigt les différentes affres de l'intégrité, artistique et sociale.
    Fritz L
    Fritz L

    182 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2015
    « Frank » est un film neurasthénique, légèrement déprimé, anxiogène, lessivé et qui finit par donner mal à la tête. Et de tête bien évidemment il en est beaucoup question avec Frank, leader d’un groupe punk alternatif underground, affublé 24/24H d’une grosse tête de carnaval. Quelque chose à cacher ? Simple fantaisie d’artiste ? Gentil fou ? C’est ce que nous propose de découvrir Lenny Abrahamson. Hélas, pas de la meilleure des manières ! Car plutôt que de nous plonger au cœur du groupe, ou dans la tête de Frank, il choisit un narrateur en la personne de John, une espèce de musicos amateur, sans réel talent, qui rêve de gloire. Par un malheureux concours de circonstances, John rejoindra donc le groupe, en n’omettant pas bien évidemment de relater cette expérience dans les réseaux sociaux. Et c’est justement à cause de cela que la partition ne décolle jamais. D’une part parce que le John en question (Domhnall Gleeson) est profondément antipathique et que ce qu’il nous en relate ne présente que peu d’intérêt, trop occupé à parler de lui même. D’autre part, si l’approche initiale était pourtant alléchante (ce groupe de doux dingues propulsé par les réseaux sociaux), très vite l’on s’en désintéresse. Trop convenu, trop sage, il manque une vraie force intérieure au film, à l’image de Maggie Gyllenhaal dans le rôle de Clara, la seule à être vraiment crédible. Pour le reste, on cherche la sortie…
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 février 2015
    On pense en entrant dans la salle assister à un objet filmique non identifié, de la teneur de ceux qui vous envoûtent ou pas et que l’on voudrait ne garder que pour soi tant ils sont à part et sortent des sentiers balisés de la production cinématographique actuelle. Mais si ce n’est le personnage titre et sa tête en papier mâché interprété vocalement et corporellement par Michael Fassbender (dans une prestation pour le coup vraiment osée) ce « Frank » na rien de vraiment extraordinaire ni particulier.
    On assiste à un petit film indé sur la création, musicale ici, et qui prend la forme d’un groupe de rock aux personnalités quelque peu cintrées et qui prête à sourire mais qui a beaucoup de mal à tenir sur la durée faute d’enjeux narratifs forts. Le groupe prend un nouveau membre, le groupe répète, le groupe enregistre et le groupe tente un concert. Concrètement, l’heure et demie que dure le film se limite à cet arc scénaristique faible et hormis quelques séquences légèrement poétiques ou drôles et quelques beaux plans, tout cela n’est guère bien palpitant.
    De plus, les personnages semblent n’être que des vignettes sans réelle psychologie et la musique qui joue ici un rôle prépondérant n’est pas assez marquante ni bonne pour emmener le film aussi haut qu’il le souhaiterait. Ce n’est pas un mauvais film, ni un moment désagréable c’est juste trop anecdotique et pas assez envoûtant pour que l’on s’y intéresse plus en avant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 février 2015
    Une comédie dramatique sur les itérations de la création musicale, tirée de l’histoire vraie de Chris Sievey. Un régal !

    Dans la banlieue de Dublin, Jon se rêve compositeur. Sur le trajet qui sépare la maison de ses parents de son boulot, il imagine des chansons sur les petites choses qui l’entourent (« Hey la dame en rouge, qu’est-ce que tu portes dans ton sac ? »), sans jamais pouvoir en tirer quelque chose (de bon). Un jour, il croise la route d’un groupe de rock alternatif dont le claviériste essaie de se noyer. Il est aussitôt embauché pour le remplacer. Il rencontre alors le leader du groupe, Frank, coiffé d’une énorme tête de papier mâché qu’il n’enlève jamais, et qui l’embarque avec le groupe en retraite dans la nature pour composer leur prochain album. Le film relate les tribulations et les délires de ce groupe dément et s’articule autour du mystère qui règne sur le chanteur énigmatique qu’est Frank.

    Frank est en fait adapté de l’histoire vraie de Christopher Mark Sievey, aka Frank Sidebottom, chanteur et leader du groupe The Freshies qui performait dans les années 70-80. Il était connu et reconnu pour porter une énorme tête postiche qui ressemblait à un personnage de dessin animé de Max Fleischer.

    La première partie du film tourne autour de la gestation de l’album et des itérations de la création musicale. On y rencontre quelques clichés, notamment celui des musiciens bipolaires, excentriques et détestables. Malgré tout ce qui les différencie, ils travaillent sous la baguette de Frank qui arrive, dans une logique ensembliste, à tirer le meilleur de ses acolytes. Jon, dernier arrivé dans la fratrie, va devoir se faire accepter par des musiciens qui le haïssent pour sa normalité. Il fait quotidiennement le bilan de sa journée sur les réseaux sociaux et poste des vidéos du groupe sur Youtube. Si bien qu’au bout de quelques mois, ce groupe alors méconnu est adulé par des milliers de personnes et est propulsé au festival SXSW d’Austin.

    Cette deuxième partie montre que la création artistique et l’osmose entre les membres d’un groupe repose sur des éléments très fragiles et imprévisibles, parfois incompatibles avec les attentes d’un public. Le sujet, somme toute assez banal, met en balance deux aspects conflictuels de la vie d’artiste : l’excellence du style musical d’un côté, le succès commercial de l’autre. Le dilemme semble insolvable pour ce groupe qui ne fonctionne que dans l’ombre et en cercle fermé.

    Malgré une première partie un peu trop longue et une deuxième qu’on aurait aimé moins hachée, Frank nous a beaucoup ému. On vous recommande vivement ce film très drôle et d’une grande finesse qui offre de nombreuses clés de réflexion sur la place du spectateur et le rôle des réseaux sociaux dans l’évolution d’un groupe. A voir !
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    76 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2015
    De Lenny Abrahamson. Avec des gens, hein, bon, et Michael Fassbender. De toute façon, c'est pas la peine de dire son nom, on le voit pas de tout le film, qui est vraiment très bizarre. Il joue Frank, quand même, on sait qu'il joue Frank, un génie de la musique pop. Il ne quitte jamais un énorme visage en papier mâché qui lui recouvre toute la tête, donc on le voit pas du tout, on sait pas à quoi il ressemble. Avec John, son jeune protégé, ils vont enregistrer le premier album de leur groupe. C'est ce que j'ai cru comprendre de ce film qui m'a ennuyé !
    LBDC
    LBDC

    105 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2015
    POUR

    ...) FRANK est une expérience cinématographique qui rebutera immédiatement ou emportera l’adhésion, pas d’entre deux possible. Un groupe de freaks fait de la musique expérimentale sous la férule d’un leader caché sous une tête en papier mâché aux yeux perpétuellement écarquillés, le concept de départ est plutôt insolite. Par où aborder ce film si singulier? Je vais d’abord couper court à la question que tout le monde se pose: oui, Michael Fassbender passe 95% du film sous sa tête en papier mâché n’apparaissant qu’à la toute fin, en pleine expérience de réveil, encore capable d’une chanson finale qui remet les choses à leur place. Le jeune Jon trouve en ce ramassis de schizophrènes paranoïaques l’occasion de devenir une star de la chanson et tente d’influer sur la trajectoire atypique d’un groupe reclus faisant penser à 5 galériens à la limite de l’autisme. Ils chantent et composent avant tout pour eux-même, comme une thérapie salvatrice. Leur musique rappelle le Krautrock des années 70. Née dans la défunte RFA, cette musique est reconnue pour ses avancées étonnantes dans l’univers de Rock. Rythmes antinaturels, ambiances de jam totalement freak out, morceaux bidouillés par des artisans du son loin des règles habituelles, Can, Amon Düll II ou Tangerine Dream en sont les dignes représentants. Leur musique est passée à la postérité de par son jusque boutisme artistique qui irrite ou fascine. Green Buble Raincoated Man, Mother Sky ou Oh Yeah en sont leurs signatures les plus connues (...

    L'intégralité de notre critique positive, sur Le Blog du Cinéma :

    CONTRE

    ...) Malgré ses airs de film marginal de ce mois de février, FRANK en demeure très loin : si on passe outre le masque de son acteur principal, le film d’Abrahamson se complait dans un classicisme formel, entre produit indé calibré et petit drame gentillet anecdotique. C’est là le cœur du problème : FRANK évoque des fous, sans folie. Il n’y a presque aucune idée de mise en scène, l’idée du masque n’est jamais exploitée autrement que pour des gags ou des séances drama pas très originales. Abrahamson est un faiseur correct, mais loin d’être un bon réalisateur : son cinéma n’a pas de saveur, pas d’odeur, et pour ce genre de projet c’est une impasse évidente.
    Il avait pourtant toutes les cartes en main : Michael Fassbender est sensationnel, dans une interprétation subtile s’appuyant sur les non-dits, les non-joués, les sous-entendus et l’implicite. Son personnage transpire d’humanité, de richesse émotionnelle : il parvient à bouleverser, mais n’inspire jamais la pitié. Le reste du casting est complètement éclipsé par sa présence, mais reste plus que solide, notamment dans les séquences musicales.
    Les ficelles narratives sont plutôt prévisibles – et malgré quelques éléments plutôt surprenants (notamment ce qui concerne la nature véritable de Jon, le principal protagoniste du film), FRANK suit une ligne directrice très balisée. Il parvient à toucher, à poser des questions intelligentes, mais jamais à emporter son spectateur, demeurant constamment dans ce carcan scénaristique regrettable. Et c’est vraiment dans sa sublime scène finale – même si le tout dernier plan est de trop – que le film atteint enfin cet état de grâce qu’on a attendu pendant quatre-vingt-dix minutes. Ambiguë, intelligemment réalisée, à la fois d’une folie totale et d’une grande douceur, cette conclusion porte son regard enchanté sur ces originaux au rang d’œuvre d’art (...

    L'itégralité de notre CONTRE-CRITIQUE, sur Le Blog du Cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 février 2015
    magique, poetique, drole, sombre. magnifique expérience, Un incontournable pour les fans de rock indé, expérimental
    Lyon W.
    Lyon W.

    20 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2015
    Mauvais aboutissement pour un film qui pourtant présentait beaucoup de bons ingrédients. Une histoire avec un potentiel, des personnages atypiques, de bons comédiens - Michael Fassbender en tête. Et.... voilà. Le scénario est finalement assez faible et la mise en scène ne sait finalement pas quoi faire. Les scènes, parfois redondantes, s'enchainent sans jamais décoller. On finirait presque par trouver l'ensemble désagréable.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 février 2015
    Il y a de vraies bonnes séquences, notamment lors des créations musicales, à la limite j’aurais préféré que le film se focalise sur l’enregistrement de l’album plutôt que de tenter de s’évader dans la sensiblerie (surtout qu’émotionnellement ça ne marche pas du tout). En fait je n’ai vraiment aimé que quelques parties du film, j’ai trouvé le début scénaristiquement pas loin du ridicule et la fin trop terre à terre, le côté farfelue m’a manqué par moment, c’est dommage il y a de bonnes idées mais le concept n’est pas poussé. Par contre j’ai adoré le personnage de Frank, mais uniquement quand il est masqué et qu’il part dans des délires, une fois qu’on voit la tronche de Fassbender la magie s’envole, j’ai été très déçu qu’il dévoile son visage dans le film, c’est comme si les Daft Punk enlevaient leurs casques sur scène, tout le mythe serait foutu en l’air.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 février 2015
    Un film qui, comme on dit en gastronomie, nous offre une "explosion en bouche" - explosion en émotion - quasiment au générique de fin. Pour ma part, je suis restée dans mon fauteuil durant tout le générique, désirant encore entendre ces chansons, cette voix, ces mélodies qui m'ont été droit au coeur.
    Une musicalité qui m'a manqué tout du long du film. Il y a des bribes, des bribes d'airs, de mélodies, qui voudraient surgir mais restent à l'état embryonnaire, c'est bien gênant lorsqu'on aime le petit monde des musiciens. Comme un cerf-volant qui n'arriverait jamais à décoller... et enfin rejoint le ciel à la toute toute fin. Je proposerais bien un néologisme pour qualifier cet ovni qui ne faire rien pour nous plaire : le nimportequouart. Un art du n'importe quoi, du non-abouti, des envolées qui s'écrasent au sol. Presque lassant, presque. Pourtant le temps ne m'a pas semblé long en compagnie de ces dingos pas forcément aimables. J'attendais, mais sans rechigner, de voir où ils voulaient en venir, contemplant ces petits désastres en oeuvre, priant pour que ces gamins sans âge vivent enfin la grande extase, pour qu'ils aboutissent à quelque chose, nomdedieu ! Et puis et puis et puis, lors des cinq dernières minutes, générique compris, toute la tendresse du monde m'a ensevelie. Alors je mets la note de 4,5, parce que ça n'a pas de prix, cette émotion-là. A quoi ça tient, un film...
    Videorama
    Videorama

    23 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2015
    Drôle, décalé, second degrés, humour noir, Fassbender est aussi bon sous le casque de Franck que sous celui de Magnéto. Un encouragement à la créativité
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