Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Ce premier long-métrage tourné en motion capture étonne par sa liberté de ton comme par ses protagonistes hors du commun. (...) Un cocktail d’influences digne d’une potion de sorcière. On attend avec gourmandise et la prochaine œuvre de ce cinéaste qu’on a envie de suivre de très près.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le spectacle parfait pour passer un moment de détente en cette période d’Halloween où il est de coutume de s’atteler au visionnage de slashers interchangeables. Cette année, osez la différence.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
"After School Midnighters" c'est très sombre, tout mignon et plein de bons sentiments à en faire pleurer de joie les Télétubbies et Véronique Courjault.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La passion du cinéaste pour les entités mouvantes (les étonnants Chabris et leur fourmillement de tentacules), les états organiques intermédiaires et les monstres gracieux, procure un inquiétant enchantement.
De prime abord, on ne peut pas dire qu'"After School Midnighters" brille par son originalité (...). Pourtant, il faut souligner à quel point le réalisateur Hitoshi Takekiyo prend son sujet à bras le corps, réalisant pleinement le potentiel chaotique et délirant de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Il faut dépasser l'esthétique 3D assez laide de ce drôle d'objet, sorte de jeu de plate-forme grandeur nature, pour en apprécier le non-sens digne d'un Lewis Carroll sous acide.
"After School Midnighters" pourrait sans grand mal incorporer le grand cabinet de curiosité du 7e art japonais, mais ce divertissement exalté aura tout de même du mal à combler totalement ses différentes cibles, avec son refus de choix entre l’humour noir assumé, qui aurait pu séduire les adultes, et l’enfantillage à jupe courte de cour de récréation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Ce premier long-métrage tourné en motion capture étonne par sa liberté de ton comme par ses protagonistes hors du commun. (...) Un cocktail d’influences digne d’une potion de sorcière. On attend avec gourmandise et la prochaine œuvre de ce cinéaste qu’on a envie de suivre de très près.
CinemaTeaser
Le spectacle parfait pour passer un moment de détente en cette période d’Halloween où il est de coutume de s’atteler au visionnage de slashers interchangeables. Cette année, osez la différence.
Ecran Large
"After School Midnighters" c'est très sombre, tout mignon et plein de bons sentiments à en faire pleurer de joie les Télétubbies et Véronique Courjault.
Cahiers du Cinéma
La passion du cinéaste pour les entités mouvantes (les étonnants Chabris et leur fourmillement de tentacules), les états organiques intermédiaires et les monstres gracieux, procure un inquiétant enchantement.
Critikat.com
De prime abord, on ne peut pas dire qu'"After School Midnighters" brille par son originalité (...). Pourtant, il faut souligner à quel point le réalisateur Hitoshi Takekiyo prend son sujet à bras le corps, réalisant pleinement le potentiel chaotique et délirant de son sujet.
Le Monde
Nombreuses péripéties, rythme endiablé, bande-son assourdissante : on sort du film un peu lessivé.
Première
Il faut dépasser l'esthétique 3D assez laide de ce drôle d'objet, sorte de jeu de plate-forme grandeur nature, pour en apprécier le non-sens digne d'un Lewis Carroll sous acide.
aVoir-aLire.com
"After School Midnighters" pourrait sans grand mal incorporer le grand cabinet de curiosité du 7e art japonais, mais ce divertissement exalté aura tout de même du mal à combler totalement ses différentes cibles, avec son refus de choix entre l’humour noir assumé, qui aurait pu séduire les adultes, et l’enfantillage à jupe courte de cour de récréation.
Télérama
Créatif, mais vraiment trop brouillon.
Les Fiches du Cinéma
Melting-pot superficiel d'influences américaines, ce film d'animation japonais sans forme s'enferme dans une logique de narration boulimique.