Ce film est un navet sans intérêts. Les films français sont a un niveau bien bas ... Je ne comprend vraiment pas que les gens apprécient ce genre de film alors qu'il y a d'autres films beaucoup plus intéressants.
Une comédie de malade! Je comprends son succès désormais. Décidément, après Les Trois Frères et Fiston, l'année 2014 commence fort en comédie française. Dany Boon a vraiment assuré son nouveau film, encore aux cotés de Kad Merad. Supercondriaque se regarde moins facilement que les Ch'tis, mais fait passer aussi un bon moment. On rigole très régulièrement. Dany Boon est complètement déjanté! C'est une nouvelle incroyable performance d'acteur. Kad Merad, le docteur, ne fait pas rire, tout repose sur le malade. Le début n'est pas le plus marrant, mais la fin est totalement timbrée! Une fois le film finit, on est obligé de savoir ce qu'est d'être atteint d'hypocondrie!
Très moyen, très déçu .Dommage le sujet aurait pu être bon mais le film se vautre dans la comédie bas de gamme et une fois de plus dans les bons sentiments dégoulinants.
j'avais un peu aimé les ch'tis mais je n'avais pas bien compris ce succès vu que j'avais vraiment très peu rit... j'ai pas aimé son film suivant avec Poelvoorde et là, j'ai rigolé du début à la fin, y'a des scènes qui vont devenir cultes c'est sur ! vous pouvez y aller sans craintes, grosse marade assurée !
Dany Boon avait été élu par certains comme le nouveau Bourvil français. Il est vrai que Bourvil dans son rôle d'hypocondriaque aurait pu être drôle sauf que Dany Boon ne l'est pas. Le problème c'est que c'est un mauvais acteur, fonctionnant ici aux gémissements et autres expressions faciales étranges (soit des grimaces soit des sourires béas). A côté il y a Alice Pol. Cette jeune femme a le plaisir de nous introduire le charisme d'actrice qui aurait très certainement pu faire le charme des roman photo d'un numéro de Nous Deux sauf que là... Et puis Kad Merad. Je l'aime bien lui, c'est le bon gars, le bon pote qui a du accepté son rôle de médecin grognon par amitié. Il a beau relever la qualité du jeu d'acteur, son personnage est assez mal fichu. Je n'oublie pas l'intervention d'une Valérie Bonneton (courtoisie de sa rencontre avec Dany Boon sur Le Volcan je suppose) toujours en forme ou d'un Stéphane de Groodt sympathique. Ensuite c'est long, trèèèèèèès long à se mettre en place, c'est bourré de clichés bobo parisiens qui surprennent tant Dany Boon s'était plus ou moins fait le porte parole de la province dans ses 2 derniers films. La suite :
Après "La Maison du Bonheur", "Bienvenue Chez les Ch'tis" et "Rien à Déclarer", Dany Boon revient en tant que réalisateur pour la quatrième fois avec "Supercondriaque" avec, comme son titre nous l'indique, un personnage qui voit des microbes partout et qui croit tout attraper en matière de santé. Bien entendu, cette hypocondrie lui gâche la vie mais aussi celle de son médecin traitant. Sujet simple et déjà vu certes, mais il faut bien admettre que notre ami ch'ti sait y mettre les formes : avec sa gestuelle et ses mimiques, on est pas loin de Buster Keaton et ses rôles de Mister Catastrophe ; mais en poussant au maximum le « problème » de son personnage, il arrive à le rendre à la fois insupportable et touchant...Finalement, Romain Faubert aurait pu s'appeler sans problème François Pignon tant il est proche du personnage fétiche de Francis Veber ! Mais la véritable surprise du film est qu'il ne s'attarde finalement sur la maladie de son héros que lors de sa première partie, et parvient à nous surprendre en jouant aussi la carte de la romance lors de la deuxième avant de se conclure sur le terrain inattendu de la comédie d’aventure dopée aux hormones ! Cela permet au film d'avoir un certain rythme et de ne jamais laisser le spectateur s'ennuyer. Il faut avouer que de retrouver le fameux duo de "Bienvenue Chez les Ch'tis" fait plaisir tant Danny Boon et Kad Merad semblent complémentaires : ils s'en donnent à cœur joie et, entre situations burlesques et répliques fracassantes, nos zygomatiques sont mis à rude épreuve ! A leurs côtés nous avons deux demoiselles, Alice Pol et Judith El Zein, qui font honnête prestation chacune dans son style (naïveté et charisme pour la première, ironie et phrases pinçantes pour la seconde), ainsi que Jean-Yves Berteloot, très convaincant en chef d'opposition politique. Mention spéciale, même si elle ne fait qu'une courte apparition, à Valérie Bonneton qui est tout simplement irrésistible, comme d'habitude. "Supercondriaque" est donc une bonne petite comédie qui remplit parfaitement son rôle de divertissement...et parfois, rire, c'est tout ce qu'on demande !
vu que tous les médias ne parlent que de ce film depuis plus d'un mois, je m'attendais vraiment à autre chose .. tout n'est pas mauvais, quelques moments droles même, mais vraiment sans plus. plutôt surpris que ce film fasse autant d'entrées ! comme quoi il suffit d'une bonne promo en fait, le reste ne compte pas vraiment :(
Pitié, il faut arrêter car il y a d'une part d'autres acteurs plus compétant dans ce pays et le budget des films (nos impôts) pourrait être employé pour des choses plus utiles d'autre part.
c'est la première fois que je quitte une séance . Film plat juste quelques sourires. Le concept du malade imaginaire était pourtant intéressant. dommage.
C'est vraiment le meilleur de Kad Merad et de Dany Boon, le must , pour moi ,meilleur que le cht'is car on est pas dans la caricature des origines , ni des accents . Même si les années sont passées , le duo , je dirais même le trio marche comme au début. On retrouve un peu de Bourvil et De Funes. De plus on découvre Sophie Pol dans ce film, très bonne dans son rôle. On rigole du début à la fin ,sans temps mort, on passe un vraiment un bon moment, allez y sans regret !
M'attendant à être déçu, je me suis dirigé dans la salle du MK2 Bibliothèque non sans crainte d'avoir perdu de l'argent. Et là: surprise ! Dès les premières, minutes, cet hypocondriaque plongé dans un délire sans fin me fait sourire. Le film est bien réalisé, les scènes d'action (car il y en a!) sont bien coordonnées, bref, si vous ne l'avez pas vu, je vous le dis : allez y!