Vous souhaitez voir "La colline a des yeux" version western, alors ce film est pour vous... Sinon, passez votre chemin. En réalité le film est intéressant/intriguant jusqu'a la 40ième minute (qui est l'instant où ils rencontrent les fameux indiens) et il dure 2h12... A partir de la c'est une catastrophe. Pour ma part je me réjouissais de retrouver Deux Personnes Beaudine, Rebecca Bowman et Jack Sheppard dans un super thriller (respectivement : Sur la piste des Cheyenne, Banshee et Lost) et plouf... Au début je me suis dit que c'etait un genre de "Une nuit en enfer" ; ca démarre doucement, ca monte en tension et boum surprise, on change totalement de genre, une explosion d'adrenaline. Ben c'est exactement ca mais en remplaçant l'exlosion d'adrenaline par une explosion de rire...
Des Indiens troglodytes cannibales sadiques… Certainement le pire film sans intérêt que j’ai vu depuis longtemps. Si néanmoins vous insisté pour voir cette idiotie incommensurable vous vous souviendrez de ce que je viens d’écrire.
Le film se déroule au fin fond des États-Unis vers la fin du XIXème, en plein époque du far west. Un calme village commence à souffrir des ennuis quand un fugitive arrive en ville. En plus, l'étranger a été suivi par des individus cachés dans l'ombre qui kidnappent plusieurs gens. Comme la médecin du village se trouve parmi leur victimes, le mari s'allie au shérif et son entourage pour suivre les pas des scélérats.
Bone Tomahawk commence comme un western de vengeance. Avec une structure similaire à La prisonnière su désert les hommes s'approchent au repaire des kidnappeurs. La photographie surprenne par sa délicatesse, qui rappelle aux derniers œuvres de Tarantino, aussi des westerns, et les dialogues entre les protagonistes se ressemblent à ceux de La horde sauvage. Mais d'un coup, un twist du scénario nous mène vers le genre d'horreur et le gore quand les hommes, après plus d'une heure et demie de film, arrivent à une grotte.
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très bon western, original. Les âmes sensibles devront fermer les yeux pendant 30 secondes, mais vous pouvez regarder le film sans peur, on est averti quand la scène gore arrive
On annonçait des personnages et dialogues d'excellente facture, il n'en est rien. Bien au contraire, derrière une certaine élégance de la mise en scène (il faut l'admettre) se cachent des individus insipides, parfois bien trop clichés (ce petit couple horripilant du début...) et aux motivations peu crédibles. Le scénario se révèle être lui même d'un creux abyssal et peut passer pour indécent concernant les rapports colons/indiens. Un peu de suspense il est vrai, une violence savamment distillée, une superbe photographie et de belles images, mais toute cette élégance au service d'un grand vide. Le plus fantastique concernant ce film c'est bien qu'il ai reçu le grand prix du Festival international du film fantastique de Gérardmer sans contenir le moindre aspect fantastique. Fantasque!
Premier long métrage qui ne manque pas d'ambition en osant le mélange des genres et pas des moindres.Le film reste un vrai western dans les codes, le cannibalisme des indiens est finalement assez anecdotique où les plus sensibles ne réagiront qu'à une seule scène, mais marquante ! Outre le solide Kurt Russell on apprécie particulièrement les performances de Richard Jenkins et Matthew Fox. Un excellent film, une bonne surprise qui n'aura malheureusement pas les honneurs d'une sortie en salle en France.
4 hommes partent au secours des captifs d'une tribu... quelques grands acteurs au service de ce western horrifique, sans être extraordinaire le film maintient le suspense jusqu'au bout
Grand prix du festival du film fantastique de Gérardmer 2016, ce Western nous plonge progressivement dans l'horreur tout en gardant une pointe d'humour. Le réalisateur a voulu nous montrer le périple semé d'embûche d'une poignée de Cowboys et le tout sans bande son musicale, ce qui nous rapproche un peu plus des personnages, bien joués.Le casting est bien choisi, ce film sonne juste. Je regretterais parfois la longueur (on peut facilement enlevé 20 minutes sans mettre en péril la qualité du film).[14/20]
Bone Tomahawk, grand gagnant du festival de Gérardmer, est un western qui nous plonge dans une chevauchée poussiéreuse et fantastique... Ce film met en scène un excellent Kurt Russel accompagné de trois hommes, partis à la poursuite d'indiens ayant enlevés des habitants de la paisible ville de Bright Hope. Malgré quelques longueurs, nous sommes happés dans l'atmosphère âpre générée par S. Craig Zahler. A découvrir de toute urgence pour les cinéphiles du genre !!!
C'est bien vu. Une virée en pleine sécheresse pour notre petit groupe de caractériels qui se sentent investis d'une mission quelque peu... suicidaire. Ça change carrément du schéma plus classique "Cow boys contre Indiens"... et c'est rien de l'dire. Des Indiens bien Badass, brutasses comme eux ??... Nan... Peu d'monde en a vu des pareils dans l'histoire du cinéma j'pense... Ils sont tout bonnement géniaux !! Il est vrai que le film appuie beaucoup sur le périple de nos courageux gus... mais ce n'sera pas pour nous déplaire. Alors ne boudons pas notre plaisir face aux diverses conversations et autres vannes qui swinguent entre eux... Ça créer indéniablement une ambiance, une empathie immédiate s'installe, et le sentiment de se retrouver avec eux dans cette époque en deviendrait presque palpable. La simplicité et l'efficacité de ces échanges blindés de sens et d'authenticité font carton plein... quasi à chaque fois. ; ) Pour ma part, ce film se voit personnalisé par 2 points conséquents et s'battants convenablement dans leur propre catégorie. A savoir... l'humour dégagé par notre bande de gars (mais qui n'dénature en aucun cas l'esprit du film, au contraire, le contraste n'en est que plus frappeur)... et... la brutalité sans concessions de notre horde d'Indiens enragés... Excellent !! ^^ Retrouvé la femme de notre Doc. enlevée par ces taquins d'indiens, est une promenade flirtant avec la mort à chaque instant... pour diverses raisons. A vous de faire connaissance avec. Quant à l'apparition des Indiens, effectivement, ça n'aurait je pense, déplu à personne, si elle eut été un peu plus fréquente... mais quand ils sont à l'écran... C'est du grand art !! ; ) On n'a pas idée de venir leurs rendre visite... sans les prévenir !! Croyez le. 4/5.
On se trouve plongés dans un village western particulièrement ennuyeux où rien ne semble se passer.spoiler: Ils vont devoir affronter 3 jours de voyage pour retrouver les "troglodytes" qui ont kidnappé la femme de l'un d'entre eux. Les acteurs ( Les 8 salopards, Fargo) sont vraiment convaincants et on apprécie tous les personnages. Le film est tout de même bien gore à certains moments et l'humour, qui gâche souvent les films de ce genre, est ici vraiment agréable même dans les moments les plus insoutenables. Le film décroche le Grand Prix à Gerardmer 2016 et c'est vrai qu'il le merite. Cependant, on aura beau chercher, on aura vu plus fantastique que ce film dans ce festival.
au bout d'1h30 à attendre... très décevant, rythme lent, pour mettre en place une histoire ni passionnante ni crédible, et au bout de cette heure et demi, la rencontre avec les indiens ... là ça commence à charcuter... pendant 5 mn, puis faut attendre encore 30 mn pour un peu d'action , mais tellement mal fait. pourquoi ce film est-il classé épouvante-horreur ??? film sans intérêt. ma bêtise est d'avoir été jusqu'au bout. mais qu'a été faire Russell dans cette galère ?
Un western où l'on suit les déboires d'américains déterminés à poursuivre des kidnappeurs. Le film mise tout sur l'ambiance (comprendre que le film est long) et sur ses personnages criant de vérité qu'ils soient d'honneur ou sans vergogne, malins ou irrationnels. Question réalisation, les décors dégueulasses s'enchaînent et la lumière façon "magie du cinéma" donnent l'image d'un western vieillot. Le film est sauvé par Richard Jenkins qui crève l'écran dans son rôle de petit vieux adjoint du shérif. L'histoire est originale mais un peu de liant avec le prologue (exit "Buddy") aurait été appréciable. Ce qui aurait du faire la force du film: suivre ces gens "simples", tombe à plat notre empathie pour eux étant restée dans la ville de Bright Hope.