Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ryan Gosling signe un premier film prometteur et exigeant (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Metro
par Mehdi Omaïs
Pour son premier passage derrière la caméra, Ryan Gosling surprend avec un récit cauchemardesque, atmosphérique et poétiquement macabre. Celui de deux destins brisés qu’il apaise avec un baume d’un noir incandescent. La fascination est totale.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Un film foisonnant, une jungle parfois trop luxuriante, où l'on prend plaisir à s'égarer (...). Ryan Gosling sait s'entourer. On pouvait craindre que cette star ne nous fasse, en guise de film d'auteur, un film d'acteur… gâté. Eh bien, grâce à lui, c'est nous qui le sommes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
par Renan Cros
Il y a de véritables visions de cinéma dans ce premier long-métrage bordélique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
"Lost River" contient sa fragilité dans son excès même, sa pudeur dans sa fureur bariolée. C’est cet éloge de la silhouette, cette propension à troquer la psychologie contre le vertige des sens, qui rend "Lost River" si précieux et impalpable, plus peuplé de fantômes que d’individus en chair et en os.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Déstabilisant, visuellement somptueux et référentiel, le pemier film de Ryan Gosling désarçonne mais fascine durablement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Le film de Ryan Gosling a une qualité trop rare ces derniers temps: son originalité visuelle et narrative, accompagnant un évident mépris du succès commercial. Espérons qu'il persiste dans cette voie très prometteuse, et qu'il saura marier son sens de l'image à celui d'un récit mieux maîtrisé.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Belle imagerie, belle ambiance nocturne, souvent surchargée, mais Gosling sait créer un univers totalement personnel en remaniant des éléments épars de la culture américaine ordinaire. A suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Ryan Gosling signe un premier long métrage trop ambitieux, mais qui s'impose par ses indéniables fulgurances visuelles et narratives.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Résultat : son récit parfois foutraque dont la noirceur et les obsessions évoquent les chansons du groupe du Goz, Dead Man’s Bones, est traversé de visions sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
POUR: "Lost River" affiche les prémices d'un univers frissonnant et sublime que j'aimerais explorer d'avantage.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Pour son passage derrière la caméra, Ryan Gosling s'est admirablement entouré pour décrire tel un post-adolescent romantique un monde éteint, hanté par des fantômes et pour traduire aussi la nécessité de raviver le pouvoir d'un cinéma en voie d'extinction (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Sous la lutte candide, au romantisme adolescent, entre le bien et le mal que filme Ryan Gosling, perce une inquiétude existentielle que l'on ne voit guère dans le jeune cinéma américain. (...) Gosling a déjà — et c'est le plus important — un regard.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Malgré son rythme un peu lent, ce conte cruel, sombre et un peu surréaliste, est d'une beauté formelle bluffante. Gosling assume ses influences (Wending Refn, Lynch...) et sait choisir ses acteurs.
Elle
par Ophélie Meunier
Assez long à démarrer, le film peut néanmoins se targuer d'une photographie et d'une mise en scène assez léchées (...). Dynamisé par des sous-intrigues loufoques et légèrement angoissantes, le pitch reste malgré tout assez manichéen (...). Au final, si le film est intéressant, il n’est pas incontournable.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"Lost River", drôle de film, irritant et fascinant à la fois, manifeste en tout cas le désir de ne pas céder à la facilité commerciale et de sortir des sentiers battus et formatés du cinéma hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce drame social interpelle par sa forme (...). Parfois poseur et maladroit, le film n'en demeure pas moins un travail d'introspection étonnant de la part de son auteur, qui révèle une noirceur fascinante.
Le Monde
par Sandrine Marques
(...) son conte de fées nébuleux atteste surtout d’une compréhension intuitive du cinéma comme art visuel. Le réalisateur pousse le réel dans ses derniers retranchements pour en extraire la puissance hallucinatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Entre quelques scènes un peu gadget et des instants de pure sidération plastique, le film dessine ainsi un autoportrait mental de son auteur qui serait vain, ou simplement décoratif, s'il n'était habité par une forme de contradiction passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Le film croule et chancèle souvent sous les manières grimaçantes et les œillades énamourées aux fétiches adorés, (...) il n’en apparaît pas moins une entreprise intensément personnelle et assez émouvante par endroits, qui tout au plus jugule mal ses accès pénétrés de grandiloquence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
Ancré dans les quartiers désertés de Detroit, ce premier long métrage de Ryan Gosling a l'intérêt de mêler l'évocation d'une réalité économique à une représentation plus onirique du monde. (...) Ce qui a manqué à son réalisateur novice, c'est la poigne d'un producteur pour guider et canaliser son talent.
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Un long-métrage au scénario des plus intrigants, onirique et original, mais à travers lequel on perçoit encore les tâtonnements d’un réalisateur qui cherche son identité visuelle et cinématographique
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Le problème tient surtout à ce que Gosling se contente de colorier sans dépasser son imagier de l’Amérique en crise, tendance gothique-glamour.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
par Hubert Lizé
Personnages postapocalyptiques caricaturaux et peu consistants, musique branchouille électro lancinante -- et un paquet d'influences de style -- Nicolas Winding Refn, David Lynch devenu réalisateur revendique d'ailleurs l'influence. Le problème, c'est qu'on s'y ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un thriller fantastique sombre et confus.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
CONTRE: Or, Gosling ne demeure qu'un pâle copiste. Jamais il ne parvient à mêler, comme il l'aimerait tant, l'étrange à l'érotisme, le sulfureux au dangereux.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le sentiment d’avoir sous les yeux un film insauvable, un bric-à-brac ni joyeux ni monstre mais bien total, vient plutôt du spectacle lui-même, trop pressé d’impressionner.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Trop manichéen pour se revendiquer de Lynch, et ne proposant pas de lecture morale assez solide pour justifier une dimension de conte de fées, "Lost River" est écrasé par l’accumulation des effets de styles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Ryan Gosling signe un premier film prometteur et exigeant (...).
Metro
Pour son premier passage derrière la caméra, Ryan Gosling surprend avec un récit cauchemardesque, atmosphérique et poétiquement macabre. Celui de deux destins brisés qu’il apaise avec un baume d’un noir incandescent. La fascination est totale.
Paris Match
Un film foisonnant, une jungle parfois trop luxuriante, où l'on prend plaisir à s'égarer (...). Ryan Gosling sait s'entourer. On pouvait craindre que cette star ne nous fasse, en guise de film d'auteur, un film d'acteur… gâté. Eh bien, grâce à lui, c'est nous qui le sommes.
CinemaTeaser
Il y a de véritables visions de cinéma dans ce premier long-métrage bordélique.
Culturopoing.com
"Lost River" contient sa fragilité dans son excès même, sa pudeur dans sa fureur bariolée. C’est cet éloge de la silhouette, cette propension à troquer la psychologie contre le vertige des sens, qui rend "Lost River" si précieux et impalpable, plus peuplé de fantômes que d’individus en chair et en os.
Ecran Large
Déstabilisant, visuellement somptueux et référentiel, le pemier film de Ryan Gosling désarçonne mais fascine durablement.
L'Ecran Fantastique
Le film de Ryan Gosling a une qualité trop rare ces derniers temps: son originalité visuelle et narrative, accompagnant un évident mépris du succès commercial. Espérons qu'il persiste dans cette voie très prometteuse, et qu'il saura marier son sens de l'image à celui d'un récit mieux maîtrisé.
L'Humanité
Belle imagerie, belle ambiance nocturne, souvent surchargée, mais Gosling sait créer un univers totalement personnel en remaniant des éléments épars de la culture américaine ordinaire. A suivre.
Les Fiches du Cinéma
Ryan Gosling signe un premier long métrage trop ambitieux, mais qui s'impose par ses indéniables fulgurances visuelles et narratives.
Première
Résultat : son récit parfois foutraque dont la noirceur et les obsessions évoquent les chansons du groupe du Goz, Dead Man’s Bones, est traversé de visions sublimes.
Studio Ciné Live
POUR: "Lost River" affiche les prémices d'un univers frissonnant et sublime que j'aimerais explorer d'avantage.
TF1 News
Pour son passage derrière la caméra, Ryan Gosling s'est admirablement entouré pour décrire tel un post-adolescent romantique un monde éteint, hanté par des fantômes et pour traduire aussi la nécessité de raviver le pouvoir d'un cinéma en voie d'extinction (...).
Télérama
Sous la lutte candide, au romantisme adolescent, entre le bien et le mal que filme Ryan Gosling, perce une inquiétude existentielle que l'on ne voit guère dans le jeune cinéma américain. (...) Gosling a déjà — et c'est le plus important — un regard.
Voici
Malgré son rythme un peu lent, ce conte cruel, sombre et un peu surréaliste, est d'une beauté formelle bluffante. Gosling assume ses influences (Wending Refn, Lynch...) et sait choisir ses acteurs.
Elle
Assez long à démarrer, le film peut néanmoins se targuer d'une photographie et d'une mise en scène assez léchées (...). Dynamisé par des sous-intrigues loufoques et légèrement angoissantes, le pitch reste malgré tout assez manichéen (...). Au final, si le film est intéressant, il n’est pas incontournable.
La Voix du Nord
"Lost River", drôle de film, irritant et fascinant à la fois, manifeste en tout cas le désir de ne pas céder à la facilité commerciale et de sortir des sentiers battus et formatés du cinéma hollywoodien.
Le Journal du Dimanche
Ce drame social interpelle par sa forme (...). Parfois poseur et maladroit, le film n'en demeure pas moins un travail d'introspection étonnant de la part de son auteur, qui révèle une noirceur fascinante.
Le Monde
(...) son conte de fées nébuleux atteste surtout d’une compréhension intuitive du cinéma comme art visuel. Le réalisateur pousse le réel dans ses derniers retranchements pour en extraire la puissance hallucinatoire.
Les Inrockuptibles
Entre quelques scènes un peu gadget et des instants de pure sidération plastique, le film dessine ainsi un autoportrait mental de son auteur qui serait vain, ou simplement décoratif, s'il n'était habité par une forme de contradiction passionnante.
Libération
Le film croule et chancèle souvent sous les manières grimaçantes et les œillades énamourées aux fétiches adorés, (...) il n’en apparaît pas moins une entreprise intensément personnelle et assez émouvante par endroits, qui tout au plus jugule mal ses accès pénétrés de grandiloquence.
Positif
Ancré dans les quartiers désertés de Detroit, ce premier long métrage de Ryan Gosling a l'intérêt de mêler l'évocation d'une réalité économique à une représentation plus onirique du monde. (...) Ce qui a manqué à son réalisateur novice, c'est la poigne d'un producteur pour guider et canaliser son talent.
aVoir-aLire.com
Un long-métrage au scénario des plus intrigants, onirique et original, mais à travers lequel on perçoit encore les tâtonnements d’un réalisateur qui cherche son identité visuelle et cinématographique
Chronic'art.com
Le problème tient surtout à ce que Gosling se contente de colorier sans dépasser son imagier de l’Amérique en crise, tendance gothique-glamour.
Le Parisien
Personnages postapocalyptiques caricaturaux et peu consistants, musique branchouille électro lancinante -- et un paquet d'influences de style -- Nicolas Winding Refn, David Lynch devenu réalisateur revendique d'ailleurs l'influence. Le problème, c'est qu'on s'y ennuie ferme.
Ouest France
Un thriller fantastique sombre et confus.
Studio Ciné Live
CONTRE: Or, Gosling ne demeure qu'un pâle copiste. Jamais il ne parvient à mêler, comme il l'aimerait tant, l'étrange à l'érotisme, le sulfureux au dangereux.
Cahiers du Cinéma
Le sentiment d’avoir sous les yeux un film insauvable, un bric-à-brac ni joyeux ni monstre mais bien total, vient plutôt du spectacle lui-même, trop pressé d’impressionner.
Critikat.com
Trop manichéen pour se revendiquer de Lynch, et ne proposant pas de lecture morale assez solide pour justifier une dimension de conte de fées, "Lost River" est écrasé par l’accumulation des effets de styles.