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Un visiteur
1,5
Publiée le 26 juin 2013
Le film avance de lieux communs en lieux communs, s’appuyant sur des personnages égoïstes et tièdes dont le bonheur nous importe finalement bien peu. Marion Vernoux s’enthousiasme pour une histoire assez laide, révélant une bien triste vision des gens et des relations humaines.
Film drôle, poétique et émouvant ! Un excellent moment de cinéma pour tous. A voir !! Les acteurs sont justes et touchants, Marion Vernoux nous raconte une histoire d'amour sans clichés, simple et belle.
La critique parisienne ne peut dire de mal ni de Marion Vernoux et encore moins de Fanny Ardant et pourtant ....Marion Vernoux est une fois encore d'un académisme franchouillard et Fanny Ardant fait du Fanny Ardant décolorée (mal)
ndépendamment de son histoire fade, "Les Beaux Jours" soulève une question : comment Fanny Ardant a-t-elle pour bâtir une carrière de cette envergure ? Si on considère sa performance dans ce film, premier élément d’hostilité, la question a toute sa légitimité. Voilà donc dame Ardant, bourgeoise jeune retraitée avec une multitude de balais dans le cul, qui va s’acoquiner dans les bras d'un Laurent Lafitte aussi épais qu'une brindille. Le verdict est dur et sans... L'article complet sur Plog Magazine, les Critiques des Ours (lien ci-dessous)!
Bien que je déteste habituellement Fanny Ardant (sa voix m'exaspère !), là, je l'ai trouvée humaine en femme vieillissante et amoureuse.... Tous les acteurs sont excellents. Ce film ne sombre ni dans la mièvrerie, ni dans la complaisance, ni surtout dans le vulgaire. Tout y est d'une finesse d'analyse toute féminine et effleurée.... Ce film est bien plus profond qu'il n'y paraît.
Financée par le Nord & Pas-de-Calais, une banale succession de coucheries et de cocufiages répétitifs sur fond de cartes postales pour bien valoriser la région généreuse. Fanny Ardant avec sa coloration approximative et ses sourcils bruns n'est pas très raccord. Bref, rien d'original dans cette histoire qu'on a déjà vue des centaines de fois...
Extrêmement déçue par ce film que je trouve AFFLIGEANT.... Fanny Ardant avec son faux air de Brigitte Bardot est on ne peut plus coincée, essayant vainement de donner de la profondeur à des dialogues plats. On se demande qui l'a habillée car elle est la plupart du temps boudinée dans une jupe trop serrée accompagnée d'un pull en jacquard qu'il est difficile de faire plus ringard. Ne parlons pas de sa chemise de nuit bleu ciel à dentelle ! Les poncifs abondent : les sexagénaires sont forcément incapables de se servir d'un ordinateur, les personnes et les activités du club sont stéréotypées. Pas d'élan, pas de folie, la bourgeoise (qui pense avant tout à elle et pas à préserver les autres) dicte ses règles : l'amour dans le noir, attention au qu'en dira-t-on... On se demande bien ce que ce pauvre Laurent Laffite vient faire là. J'ai failli partir au bout d'un quart d'heure et je suis restée en espérant que ça s'arrange... Je suis d'accord avec un des commentaires, seul Patrick Chesnais tire son épingle du jeu et réussit à mettre un peu d'émotion dans ce navet. Vraiment très déçue par Fanny Ardant !
Très beau film: Une histoire crédible ,un casting très réussi ,trois acteurs très justes dans leur jeu. Fanny Ardant et Laurent Laffite sont très crédibles et sensuels. Patrick Chesnais est , comme toujours , excellent... Les dialogues sont soignés et Dunkerque bien arrangé. La BO est sympa. Un très bon film français . .
On est à mille lieues de " La Femme d’à Côté". Ce film fait partie de ces productions à la française que l’on subit depuis des années : une poignée d’acteurs talentueux au service d’un scénario faiblard, écrit à la paresseuse et filmé sans talent. Aussi plat que le pays où se situe l’action. Il y a des cerfs-volants, mais l’histoire ne décolle jamais. Pire, même si on n’a pas vu la bande-annonce, on sait dès le premier quart d’heure comment va s’achever cette histoire qu'on pourrait résumer en deux lignes de synopsis. Il y a des films dont on sait, en sortant de la salle, qu’on aura grand plaisir à les revoir à la télévision. A la différence du « Passé », vu deux jours avant, celui-ci n’en fait pas vraiment pas partie !
Les beaux jours…Le pitch ? Une femme tout juste retraitée, mariée, mère et grand-mère rencontre un jeune homme qui pourrait être son fils, et s’autorise avec lui une histoire d’amour. C’est simple. Mais les choses simples sont les plus difficiles à réussir tout le monde le sait. La femme c’est donc Fanny Ardant, le jeune homme c’est Laurent Lafitte, et le mari Patrick Chesnais. Je les cite car les trois sont formidables. Autour d’eux des seconds rôles qui auraient pu l’être, et qui ne sont malheureusement pas exploités du tout, quel dommage…et quel impression de gâchis : Jean-François Stevenin, Catherine Lachens, Marie Rivière, Feodor Atkine, tous ces talents qui ne font que de la figuration… Le film aurait pu être bien, mais c’est un soufflé qui retombe vite. Rien n’est développé comme il le faudrait, tout est à peine survolé et laisse sur sa faim. Il semble que cette femme ait été poussée vers une retraite pour un motif qui est très mal expliqué, elle a deux filles trentenaires qui ont l’épaisseur scénaristique d’une feuille d’OCB, le personnage de Laurent Lafitte collectionne apparemment les conquêtes, mais on ne sait pas si c’est dans un état d’esprit cynique, je-m’en-foutiste, ou alors si c’est un clone de Charles Denner dans L’homme qui aimait les femmes. En fait ce film devrait être le brouillon d’un autre film en tournage. Je confirme les mots de mon pote Grégory quant aux « Beaux jours »…électroencéphalogramme plat. S’il n’y avait pas ces pointures de comédiens, ce film serait tout juste visible. Une dernière remarque positive : j’ai été heureux de voir à la toute fin, une scène entre Fanny Ardant et Marceline Loridan-Ivens, qui du haut de ses 85 ans, crève l’écran et fait que l’on ne regarde qu’elle…un enchantement ! Sinon le film, je ne recommande pas.
"Les Beaux-Jours" est une sorte de comédie dramatique,qui se démarque par sa légèreté de ton générale,par son refus de juger son personnage principal et par son cadre singulier des côtes du Nord. Il suffit que Fanny Ardant se teigne les cheveux en blond et qu'elle enfile un jean pour qu'on croie sincèrement à son émancipation tardive,à son refus de végéter à la retraite et à sa volonté d'éprouver de la sensualité. Elle n'est pas du tout présentée comme une cougar,simplement comme une femme... Face à elle,Laurent Laffite fait office d'homme-objet plus jeune de 20 ans(rôle ingrat)et Patrice Chesnais celui du mari délaissant son épouse à ses risques et périls... La rencontre se fait au milieu d'activités type AVF,ce qui renforce l'originalité. Il est dommage que des scories auteuristes viennent gâcher la fête,mais l'ensemble laisse une belle impression,entre rire et mélancolie,avec pour thème principal la liberté de corps et d'esprit.
superbe comédie tout en finesse et élégance drôle, jamais vulgaire cette comédie réussie a été applaudie dans la salle ou je l'ai vu en avant première !!!
Barbant L'histoire est plate, insuffisante pour un film. Si les scènes au lit, les scènes sur la plage étaient supprimées, que resterait-il? Pas grand chose. Sans oublier de petites scènes comme le cours d'œnologie qui n'ont rien à voir avec l'histoire. Ou le longe-côte qui vient comme des cheveux sur la soupe. Et d'ailleurs qui va se baigner nu quand d'autres ont besoin de la combi tellement il fait froid? Ridicule. Oui, cet adultère manque de classe comme d'ailleurs Fanny Ardant qui est horriblement mal habillée et mal coiffée et qui semble se demander ce qu'elle vient faire dans cette galère.
"Les Beaux Jours", c'est d'abord le nom du club pour "seniors" où va Caroline, en traînant pas mal les pieds, pour profiter d'une "offre-découverte" dont l'ont dotée ses 2 filles trentenaires, inquiètes de la voir tourner en rond depuis sa récente retraite, compliquée par l'immense chagrin d'avoir peu avant perdu sa meilleure amie, des "suites d'une longue maladie". C'est bientôt son avenir qu'elle se réapproprie, après une parenthèse amoureuse improbable avec Julien, 35 ans, son prof' d'informatique au club. Avec Philippe, son mari, en compagnie duquel elle vieillira, finalement. Chronique pour une "baby boomeuse" pas comme les autres, excellemment écrite et mise en scène par Marion Vernoux, au bénéfice principal de la majestueuse Fanny Ardant, à son meilleur. Laurent Laffite (le jeune amant) et Patrick Chesnais (le vieux mari) complètent avec opportunité ce trio pour vaudeville, revisité sur l'air du passage de témoin entre les générations.