LA-MEN-TA-BLE Ce film est complètement raté. LeBron James n'a pas du tout la stature d'un acteur. il n'interprête pas, il récite. En suite, l'histoire est un farfouillis sans queue ni tête avec un enchaînement de gags à peine drôles et gags complètement ratés. On ne comprend même pas l'enchaînement des scènes car il n'y a pas de liens entre elles. Pourquoi ce film a été réalisé ? Sais pas. Peut-être pour faire la pub à tout ce qu'a produit la Warner ces dernières années. Il ne fera sûrement pas oublier le premier opus qui lui était très agréable.
Alors que dire de ce film?? Une honte d'avoir fait un tels gâchis, la réalisation est mauvaise, les jeux d'acteurs sont terriblement en dessous de tout le reste, une suite qui n'en ai pas une, car aucune mention sur le premier volet. C'est une tout autre histoire avec un design des toons bof bof !!
Bof bof... je préfère le premier. Les clients d'œils WB sont sympa mais sorti de là il est bien moins cool je le premier. Puis bon il manque Jordan et pépé le putois!
Ceux qui mettent deux étoiles au film en donnant comme argument qu il n y a pas de scenario vous êtes ridicules... On ne va pas voir Space Jam pour un scénario profond ou de la cohérence, il faut que certains se réveillent ou arrete de se la raconter sur le net... Sinon le film est génial ! Je n'en attendais pas grand chose et c'est une belle surprise. Je ne sais pas ce que vaut le 1, mais ici nous avons droit au 'Warner all star show'! Les clins d œil aux sagas et films de la firme sont nombreux et géniaux, c est un régal de les repérer. Le film est excellent, bien rythmé et drôle, on ne s ennuie jamais, et c est un plaisir de retrouver les toon qui se doivent d être connus aux générations actuelles. Le tout enrobé par des effets spéciaux magnifiques... Foncez le regarder au cinéma !
Malgrés une critique assassine, c'est à reculons que j'ai étais voir ce film, et hop surprise... Et bonne surprise, le film nous entraine à 200 à l'heure dans l'univers de la Warner Bros, et des Lonney toons, comme le premier d'il y à 20 ans, avec les moyenne technologiques actuel... Et la c'est la claque, je suis personnellement toujours admiratif de l'imagination, et des moyens mise en oeuvre, pour des dessins, et effets spéciaux toujours plus allucinant. Les prises réels, et les motions captures sont parfait... Alors un film pour les ados, oui mais comme j'ai jamais vraiment grandis ça me va très bien comme ça... J'ai fais également la connaissance de la star mondial di basket Lebon James qui s'en tire pas trop mal. Un film distrayant pour tous donc, vous pouvez y allez le cerveau déconnecté. Ma note 14/20 j'ai donc bien aimé.
En 1996, Warner Bros réalisait un gros coup marketing en réunissant les Looney Tunes et la légende Michael Jordan dans un film très moyen qui était surtout une curiosité culturelle. 25 ans après, ils reviennent avec le même concept de la star de basket kidnappé pour participer à un match capital, mais ils vont cette fois-ci beaucoup plus loin dans l'auto-promo avec un crossover entre leurs différentes marques et nombreux personnages qui intègrent l'histoire comme dans "Ready Player One". Avec le regretté Kobe Bryant disparu, c'est logique de voir l'immense LeBron James en tête d'affiche et le multiple champion NBA s'en sort bien dans la peau de ce père de famille qui met la pression à son fils pour qu'il suive sa trajectoire. Si les scénaristes avaient creusé cet aspect-là, cela aurait pu donner une histoire sympathique sur la transmission et le poids de l'héritage, mais on revient à une copie du premier film avec la formation de l'équipe puis le match et c'est une grande erreur d'autant plus que le film est beaucoup plus long que le précédent sans que ce soit justifié. "A New Legacy" avait donc la possibilité d'être plus qu'une simple pub pour la Warner, mais c'est finalement un film inutile et ennuyeux.
Si l'on met de côté les effets spéciaux - quand même de type "gerbotron" pendant le match -, ce Space Jam 2 est une horreur. Visuellement, il n'a pas du tout été à mon goût car la 3D en fait vraiment "trop" (exemple : le terrain), l'intrigue doit tenir sur un ticket de métro, ils en ont trop fait sur Lebron James, c'est globalement mal joué, bien trop rarement amusant, et ils ont craché sur le basket. Peut-être plaira-t-il aux enfants de la génération 2010...
Ce nouveau Space Jam, c'est le premier mais en version 2.0, avec un nouveau basketteur, LeBron James, que l'on présente au début du film comme on avait fait avec Michael Jordan dans le premier, mais en version 2.0 dans la mise en scène. Cette fois-ci, on n'a pas juste les Looney Tunes, mais des tas de personnages et univers appartenant à la Warner et que l'on retrouve juste le temps d'une scène ou en spectateur durant le match de basket. Car on n'est pas juste dans le monde des Looney Tunes mais dans le monde (virtuel) de la Warner. L'histoire n'a rien avoir avec le premier, mis à part qu'on a un match de basket avec un enjeu, comme dans le premier. Mais comme dans le premier, durant le match basket, spoiler: l'équipe des Looney Tunes se fait massacrer avant de revenir au score . Ils ont su mettre au goût du jour Space Jam, avec des effets spéciaux réussis, en gardant l'humour des Looney Tunes, mais ce film ne fait pas mieux que le premier. Il est réussi, il nous divertit, mais il manque un petit quelque chose... Et il n'y a pas de chansons marquantes comme dans le premier avec "I believe I can fly" ou encore "Get Ready for This".
Cette nouvelle variation autour de l'incursion du monde des Looney Tunes dans une réalité numérique via le monde réel se révèle amusante, bien maîtrisée techniquement et divertissante, grâce notamment aux clins d'œil cinématographiques ainsi qu'au charisme de LeBron James, tout à fait satisfaisant dans sa prestation. A visionner une fois par curiosité ou pour se détendre, sans en attendre davantage mais sachant que le sourire sera de la partie!
Réadaptation ou suite, on ne sait plus trop avec Hollywood, Space Jam Nouvelle Ère n'est pas la catastrophe annoncée. L'histoire nous fait suivre la relation conflictuelle entre un père psychorigide et son fils voulant s'amuser, qui va devoir se régler en jouant un match de basket-ball dans lequel les Looney Tunes sont invités à se joindre à la partie. Cette situation de déjà-vu improbable laisse présager le pire mais aussi étonnant que cela puisse paraître, le film est correcte. Pourtant le premières minutes font redouter le naufrage mais même si le scénario est clairement la plus grande faiblesse de ce long-métrage, l'histoire se laisse suivre avec plaisir par moments si on fait abstraction de la façon dont les événements sont amenés de façon grossière. Il faut dire que le film est conscient de ce qu'il est et en joue grandement à travers son ton léger juvénile et amusant. On se retrouve devant un gigantesque fourre-tout, un mélange des genres insolite qui étonnamment fonctionne bien. Les références à la pop culture sont multiples, tout le catalogue du studio y passe. On joue clairement sur la corde de la nostalgie au point de placer certaines références gratuitement sans justifications juste pour faire du nombre. C'est donc une très grande galerie de personnages qui nous est proposée, tous ne trouvant pas leur place. Au casting, LeBron James est peu expressif mais volontaire, on ne va pas le juger alors que ce n'est pas son métier même si c'est une ode à sa gloire. Là ou c'est plus embêtant c'est pour les rôles de ceux incarnant sa famille dont sa femme et ses deux fils interprétés par des comédiens peu convaincants. Mais ceci n'est rien face à la performance de Don Cheadle qui campe un antagoniste en roue libre faisant peine à voir. De plus les relations entre tous ces protagonistes sont pleines de bons sentiments qui ne touchent évidemment pas vu le jeu d'acteurs. On peut tout de même reconnaitre que les sujets abordés sont très modernes sans être envahissants. Là ou le long-métrage est le plus réussi c'est dans sa forme, à commencer par la réalisation qui gagne en qualité au fil du temps. Mais c'est surtout la rencontre entre les différents univers visuels qui créent des étincelles. Ça part dans tout les sens, c'est extrêmement créatif et généreux. Alors tout n'est pas réussi mais au moins le film tente des choses, il possède une certaine ambition qu'il faut récompenser au vu du travail qu'il y a derrière. D'autant plus que la pléthore d'effets-spéciaux sont de qualités hormis le robot servant de fidèle acolyte au méchant. Esthétiquement nous sommes face à une orgie aux couleurs surprenantes, pas toujours de bons goûts. La b.o. pour sa part accompagne bien l'ensemble en reprenant de nombreux thèmes très connus afin d'accentuer toujours plus notre mélancolie. La fin quant à elle propose un match d'une durée conséquente, riche en contenu bien qu'au final peu mémorable avant de se clore d'une façon attendue et sans grand intérêt. Car pour conclure, même si Space Jam Nouvelle Ère n'est pas un raté, ce n'est pas non plus un bon film. En l'état c'est plutôt pas mal, surtout sauvé par son visuel mais vous ne raterez pas grand chose si vous passez à côté.
C'était en 1997 que le premier film Space Jam a vu le jour. Il a fallu attendre 24 ans pour avoir une suite. Bon ce n’est pas comme si on l'avait vraiment attendu ! On se demande en fait à qui est destiné ce film. Il tente forcément de plaire à toute la famille, aux parents qui ont connu le premier comme aux enfants qui aiment les personnages de dessin-animés. Je ne crois pas qu'aucun des publics ne soient réellement conquis. Il faut le reconnaître, ces personnages de Looney tunes ont vieillis, ne sont pas forcément très connus des enfants actuels, et pas forcément accrocheurs. Pas sûr que la jeune génération y adhère complètement. Dans l'autre sens, nos yeux d'adultes pleins de nostalgie vont aimer les retrouver, mais le cyber-univers semblent vouloir trop en faire, effaçant le côté rétro attachant. À côté de ça, on sent que le budget est là, visuellement c'est très propre, on en prend plein les yeux. C'est rythmé, plein de bons sentiments, la base du film familiale. Par contre, c'est clair, LeBron James n'est pas acteur ! Et bombarder le film de références en tout genre juste pour le principe d'étaler toutes leurs licences n'est pas un gage de qualité. Bref, en fait ce film, sans être mauvais, peine à trouver un équilibre entre tout ça. On passe un moment agréable, mais sans plus.
Michael Jordan – qui fait l’objet d’un gag bien marrant – a fait son temps, place à LeBron James ! On ne s’attardera pas sur ce scénario improbable surtout que cela se transforme vite en jolie vitrine pour le catalogue de la Warner bros. Si au départ, il est plutôt amusant de voir nos héros débarquer dans les univers de DC, Matrix ou encore Mad Max : Fury Road, cela tourne vite à la publicité envahissante. D’autant plus que Space Jam : Nouvelle ère se destinant d’abord aux enfants, ceux-ci n’ont pas forcément les références nécessaires pour reconnaître ces différentes licences. On s’interroge tout autant de la présence de personnages comme Pennywise ou ceux d’Orange mécanique dans le public alors que dans le même temps on raye l’existence de Pépé le putois. Une comédie familiale loin d’atteindre le haut du panier et qui ressemble plus à un produit commercial qu’à un film.