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    Space Jam - Nouvelle ère
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    168 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 juillet 2021
    Peut être visuellement très joli, mais scénario écrit par des enfants de 5 ans. Pourquoi le grand méchant s'emmerde organiser un match alors qu'il a les pleins pouvoir sur tout.
    "Je suis dieu, je fais ce que je veux. Je vous efface, vous refaçonne à ma guise. Mais on va tout jouer sur un match de basket."
    Anthony Q.
    Anthony Q.

    4 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 juillet 2021
    Une cata. Alors que l'original était de qualité, ils ont réussi à faire une bouse avec les moyens d'aujourd'hui. Passez votre chemin.
    RealPrime
    RealPrime

    86 abonnés 1 754 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2021
    Après un premier film coloré, à la technique visuelle plutôt bonne et au jeu de notre star de l’époque moyen au départ, puis meilleure par la suite, la Warner sort son nouveau bébé plus de 20 ans après. Un film dont toutes les plus mauvaises critiques sont bien évidement sortie pour crier au scandale d’un scénario ne respectant pas l’original, pas le casting et encore pour huer une B.O. sans saveur…

    Etant donner l’ampleur de ce que j’ai à dire, cette critique sera séparée en plusieurs points différents :

    - Titre : Si le premier s’intitulait simplement « Space Jame », il n’annonçait rien de particulier si ce n’était son récit. Ici nous sommes dans une « Nouvelle génération », il est donc évident et logique qu’un renouveau se face de part son casting, son visuel et ses péripéties.

    - Casting : Michael Jordan ne m’avait pour le premier, pas convaincu en première parti de récit pour un jeu très approximatif, une sincérité non présente mais tous ces éléments, il les aura gagnés en cours. Ici, notre nouvelle star du ballon rond se voit attribuer un double personnage, le basketteur pro et père de famille, une difficulté double ou le caractère doit être plus expressif. spoiler: Un père qu’on voit parfaitement ne pas s’intéresser à son fils geek, concepteur de jeu (même de basket) et qui au lieu de l’encourager ne voit le potentiel qu’en l’autre fils lui, amoureux du ballon. Un fils très bien jouer par Cedric Joe qui montre le parfait portrait du fils en manque d’affection paternelle. Sonequa Martin-Green (« The Walking Dead ») en mère de famille soucieuse du constat familiale joue bien et reste convaincante.


    - Les Toones : Là ou l’animation était bien d’époque mais le jeu parfait, nous entrons ici dans l’ère de la 3D avec ses couleurs vives, sa qualité impeccable et une fluidité de mouvement digne d’un film actuel. Le jeu des personnages est différent mais reste un régal et nos héros numérique ne se font pas prier tant il n’y a aucun temps mort en leur présence. Les v.f. sont toujours les mêmes s’il est inenvisageable de pouvoir les changer. spoiler: La version Toones de LeBron James reste franchement impeccable, non caricaturer et le jeu reste impeccable ainsi que toutes référence comique aux Toones. Là où le premier avait clairement zappé cette idée, nous somme ici servi de cette particularité qui aurait dû être l’évidence à l’époque.


    - Visuel : On peut facilement comparer les années 90 aux 2010/2020 sur ce terrain, mais pour les films mêlant réel et animer, le constat reste évident. L’animation 3D est démentielle, les scènes traditionnelles de dessin animer sont impeccable et respecte l’ambiance traditionnelle, les scènes tel que la finale est d’une perfection graphique et technique démesurée. Un feu d’artifice visuel pour un kiff monstrueux.

    - Son et B.O. : Techniquement parlant, il n’y à absolument pas photo, là ou le premier ne s’était pas défouler sur la musique et l’ambiance sportive, nous avons ici une B.O. démente, sur-vitaminée et hyper entrainante de la pop au R.N.B. jusqu'au rap. Une ambiance festive, urbaine pour un film centré sur le sport national par excellence.

    - Mise en scène : Si le réalisateur du premier à en effet "humilier" de ses termes propres ce dernier, il n'en à pas compris le concept de base, la nostalgie est absente ? "Space Jam" ne s'appuie que sur Mackael Jordan ? Et bien non cher monsieur, "Nouvelle ère" signifie clairement reboot ou remake, par conséquent on passe à autre chose et c'est chose faite. Là ou le 1 faisait quelques petite longueurs même avec les Toones, ici nous n'en avons pas une seule avec ces derniers, seul les scènes avec Don Cheadle en montre puisqu'il est le seul à constamment parler. Ses scènes montre néanmoins un univers visuel superbement riche.

    - Warner Bros. : On ne peut pas dire qu'il n'y est pas ici une auto-promo de masse de la part de la société Hollywoodienne. Des références à la minute, des séries aux films en passant par les sagas et univers, la Warner s'est lâcher à plus d'un titre et cela signifie grandement quelque chose : spoiler: son renouveau visuel (logo devenu bleu et changeant de forme), les nombreux visuel sur l'univers DC pour montrer l'avenir prometteur et le renouveau de cette franchise ayant très mal démarrer (les séquences avec Lola Bunny et Wonder Woman et Bugs, Daffy et Porky à Métropolis furent parfaite). Ainsi pour finir le match final avec l'innombrable tribune de personnages Warner qui ne peut ramener qu'à un seul film du même genre "Ready Player One".


    - Jeux vidéos : Basket, jeux, informatique, tous ces éléments sont montrer à la perfection même si pour ce volet, le basket est bien moins mit en avant. Encore une fois nous sommes sur "Nouvelle ère" alors il est quelque peu légitime qu'il y est une dose supplémentaire de gaming. Visuel, son et design sont plus qu'au rendez-vous pour nous faire vivre de l'intérieur même un match sportif version numérique.

    Il est temps de conclure cette longue, très longue critique mais qui est à mon sens nécessaire puisque lorsqu'un film comporte autant d'éléments, de références et une attente suite à un succès déjà culte, il est normal de différencier les 2 avec justesse et sincérité. Comme toujours une suite, un remake ne plaira pas à tous le monde mais il en faut pour tous goût. La morale de l'histoire est qu'il faut analyser un titre correctement, se maître à l'ère du temps, ne pas se prendre trop au sérieux comme il est montrer dans le final car sinon, on perd la partie. LeBron James à rempli sa part du contrat, maintenant, que le score monte le plus haut possible.
    Anthony C
    Anthony C

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    beaucoup critique ce film mais moi je le trouve meilleur que le premier et j'ai passé un bon moment. il y a plus d'humour que certains films français ( le dernier film de Franck dubosc notamment)
    Matteo Dominici
    Matteo Dominici

    6 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2021
    J'ai passé un super bon moment devant le film. Un bon film en famille a voir. Ont retrouve les gags de l'univers des Looney Tunes.
    Malgré toute les publicités pour Warner Bros, le film trouve preneur. Dommage que Michael B Jordan a fait une apparition pour une scène
    M m
    M m

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2021
    Superbe dessins .
    Bon scenario .
    Et beaux effets spéciaux.
    Belles intégrations des films de Warner
    lmc-3
    lmc-3

    272 abonnés 463 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2021
    Après sortie de la séance, je me suis dit qu’il serait intéressant de me remater l’original afin de faire une évaluation comparative; mais, dès les premières minutes du film, j’ai tout de suite compris qu’un comparatif serait une approche ridicule pour évaluer Space Jam 2 tellement les deux films sont d’ambitions différentes: Le premier est une petite production de moins d’une heure et demie très vite expédiée reposant sur le charisme des acteurs présents (Michael Jordan et "sa famille", Wayne Knight ou encore Bill Murray), avec des Looney Tunes présents à l’appel mais pas ou très peu ‘tunesques’ (sinon dans la dernière partie), avec une Lola Bunny qui faisait tourner la tête des gosses, dont l’histoire, très infantile, en faisait un film de ‘série Z’ accès ‘public jeune âge’ avec des voix de méchants infantiles et insupportables et ne valant qu’un vulgaire 2,6 sur Allociné pour le public adulte dont, par la conception du film, est limité à une minorité de fans; (Pour ma part, assez bon public, j’ai conservé le 3 étoiles que je lui avais mis à l’époque.) Mais objectivement, sur 1h18 de film avant le générique, seul la présence de Jordan, les 10 minutes de deuxième moitié de match et la pin-up de service relèvent le goût général limite insipide, bébé (ou mal vieilli).
    Donc voilà à quoi aura servi ce visionnage, un premier paragraphe d’exposition de l’univers de ‘Space Jam’, de ce qu’il est, et de son public restreint.
    Space Jam 2 c’est une toute autre sauce, proche des deux heures, des effets spéciaux de très haute qualité, un montage beaucoup plus construit avec une longue intro d’exposition, de multiples séquences, pour un produit avec pour seul point commun avec l’original: Le basketteur chouchou du moment se retrouvant embarqué dans le monde des tunes d’une façon abracadabrantesque à disputer un match de basket pour une raison abracadabrantesque.
    La franchise Space-Jam n’est pas faite pour l’analyse du scénario, et là où le premier avait des péripéties môles, expédiées, un rythme bancal et des situations grotesques, ici, on n’a ni besoin d’avoir le premier film bien en tête ni besoin de déjà l’avoir vu tout cours, seulement savoir qu’il existe.
    LeBron est… moins bon acteur que Jordan, contrairement au personnage de Jordan adorable, le siens est désagréable et antipathique, les membres de sa famille moins attachants.
    Revoir le film original m’a fait remarquer le retrait de Pépé le Putois (très controversé) dont j’avais totalement oublié l’existence devant le 2 (et il ne manquera à personne).
    Pour continuer dans ‘les points faibles’: Lola Bunny: Bien que pour des raisons évidentes l’originale, bien que revendiquant déjà à l’époque ne pas vouloir être simplement être vue au rang de ‘poupée’ et déjà féministe, a été révisée, recouverte de plus de tissus et totalement désexualisée, une revisite trop complète, sans aucune recherche de compromis, allant jusqu’à retirer totalement l’arc ‘séduction’, rendant un personnage far, une invisible au milieu de tout le petit monde.
    Le film vise dans le visuel, à la manière d’un ‘Ready Player One’ il offre, par exemple, une panoplie d’Ester-Eggs à l’univers Warner, rappelant à Mickey la flambée de franchises qui ne lui appartient pas encore, avec des caméos de toutes sortes de personnages Warner, aussi bien du monde de l’animation (fidèles), que du monde du live action (parfois fidèle, parfois totalement raté (j’y reviendrai)).
    Match de basket nerveux, mécaniques des Looney Tunes exposées en long large et travers jusqu’à épuisement à la moelle, le tout couvert d’effets visuels très agréables, d’une souche de deuxième millénaire avec aspects jeux vidéo poussés, des idées novatrices avec rendues finaux sortant des sentiers battus, pour une expérience globale très propre, pour une expérience presque unique, expliquant, et de loin, ce valeureux…… 2,2 à l’heure à laquelle j’écris ces lignes???!
    Pas d’explication, c’est le premier jour, peut-être que la note va monter drastiquement par la suite, mais pour le coup, objectivement, aussi bien le public adulte que le public enfant a son compte, le public susceptible d’apprécier le film est bien plus large que pour le premier.
    Très drôle, jamais essoufflé, des Looney Tunes très fidèles en ce qu’ils sont (et laissés dans le design de base pendant la majeure partie du film avant un passage ‘aux textures HD’ tard dans le film et non dérangeant), VF au poil, du grand spectacle à voir sur grand écran.
    Pour en revenir aux ‘apparitions’ de personnages de différentes franchises en live action, là il y a un hic de choc, soit les personnages sont très bien réussis, soit dignes de mauvais cosplayer totalement ridicules…
    En revanche, on a deux invités de marques (totalement improbables), issus d’une série d’animation pour adulte très tendance, ayant fait hurler le public adulte.
    Quoi qu’il en soit, en quittant la salle, ce sont des visages satisfaits que j’ai vus autour de moi, le film a ses points faibles (le scénario dont-il ne faut VRAIMENT pas tenir compte), les fameux cosplay ratés, mais sinon, pour qui aime l’univers des Tunes, c’est du ‘à voir sur grand écran’ garanti!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 270 abonnés 7 534 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 août 2021
    25ans après Space Jam (1996), gros carton au box-office mondial lors de sa sortie en salles, en grande partie grâce à la présence du "meilleur basketteur de tous les temps", à savoir Michael Jordan. Film culte pour toute une génération, grosse purge cartoonesque pour d’autres (dont je fais partie). Autant vous dire que j’y allais à reculons pour découvrir cette nouvelle histoire.

    Remettons-nous dans le contexte, fin des années 90, La Warner Bros voulant surfer sur le succès souhaite mettre rapidement en chantier un second volet, sauf que Jordan décline l’offre. Le studio propose alors à Tiger Woods ainsi qu’à Jackie Chan, finalement c’est Brendan Fraser qui écope du projet avec Les Looney Tunes passent à l'action (2003). Le studio persiste et signe ici un troisième film mêlant prises de vues réelles et animations où cette fois-ci, ils reviennent dans l’univers du basketball (si vous n’êtes pas fan du ballon orange, vous risquez fort de vous ennuyer), où Michael Jordan cède sa place à LeBron James, aux côtés d’une bonne partie des Looney Tunes.

    Trêve de suspens, Space Jam : Nouvelle Ère (2021) dévoile rapidement ses faiblesses et son scénario aussi abscond qu’inintéressant. Une intrigue pathétique, mêlant une intelligence artificielle (un algorithme très vilain), un père de famille obnubilé par le basket et son cadet passionné par les jeux vidéo au grand dam de son père. A peu de choses près, on jurerait revoir le premier film avec Jordan (l’intégration de la star du basketball chez les Looney Tunes, la création d’une équipe puis le match tant attendu face aux méchants). Ça fait mal au cœur de se dire qu’il a fallu tout de même 10 scénaristes pour nous chier cette intrigue… Sans parler de l’animation 2D qui cède sa place à une 3D des plus décevante.

    Très rapidement, on constate à quel point le film s’avère être d’une grande flemmardise, avec un scénario aussi lénifiant et sirupeux de bons sentiments et son étalage de belles phrases moralisatrices, telles que "sois qui tu es" ou encore "crois en toi". Non seulement c’est d’une grande pauvreté mais en plus de cela, on a l’impression de faire un retour en arrière dans les années 90 en termes de narration. Ajouter à cela un casting extrêmement fade entre Don Cheadle en bad guy de service (sa prestation s’avère assez gênante), face à un LeBron James qui ne fait que confirmer son absence de talent d’acteur (on préfère de loin sa version « toon », c’est dire l’ampleur de la catastrophe). En même temps, fallait-il s’attendre à autre chose venant de sa part ? Après tout, on ne s’invente pas acteur. Et puis ce n’est pas la première fois qu’un basketteur se ridiculise au cinéma, on pense notamment à Shaquille O'Neal dans le nanar Kazaam (1996) ou pire, Le Justicier d'acier (1997).

    En fin de compte, on déchante rapidement lorsque l’on découvre le pot aux roses. A savoir que ce film n’est qu’un prétexte fallacieux pour nous déverser (pour ne pas dire, nous dégueuler) sur grand écran une bonne partie du catalogue de la Warner et d’HBO Max. En effet, le film semble se complaire à mettre en scène une bonne partie du catalogue de la major, entre Batman, Superman, l’univers DC, Harry Potter, Games of Thrones, Matrix, Casablanca, Mad Max Fury Road, Austin Power, … sans parler du raz-de-marée de sosies totalement ridicules parmi les figurants assistant au match final (on se serait cru à un concours de cosplay pour attardés), où l’on y retrouve entre autres The Mask, Alex DeLarge (Orange mécanique), Le Géant de Fer, Conjuring, Pennywise (Ça), l’agent Smith (Matrix), le Pingouin (Batman : Le Défi) ou encore le Joker. Tout est prétexte pour y inclure des personnages phares ou références cultes à l’image du pitoyable Ready Player One (2018) de Spielberg.

    On finit donc rapidement trouver le temps long face à un scénario aussi indigent qui au final, ne se base que sur une avalanche d'easter eggs et de placements de marques. On est clairement devant l’archétype du blockbuster décérébré pour ados, une œuvre à la gloire de la Warner qui s’auto-suce pendant 120 longues minutes au détriment des spectateurs.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    moket
    moket

    533 abonnés 4 338 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 mai 2022
    Y avait-il un intérêt à ce que Space Jam entre dans une nouvelle ère ? Pas vraiment... Le résultat est assez laid, pas drôle et mal écrit. Difficile d'y trouver son compte. Le premier, sans être un chef d'œuvre, disposait au moins d'un capital sympathie...
    Cinévore24
    Cinévore24

    344 abonnés 714 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 août 2021
    Hormis quelques séquences en animation traditionnelle sympatoches,
    rien à sauver de ce pseudo-remake du 1er volet (déjà pas mémorable, mais ça passait) en mode "Ready Player One", avec son éternelle histoire gnan-gnan entre père et fils, un Don Cheadle excentrique et des effets de mode parfois très gênants.

    Bref, passez votre chemin face à cette pub géante (et sans intérêt) pour le catalogue de la Warner.
    Vanessa L
    Vanessa L

    280 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2021
    Après de nombreuses années et plusieurs tentatives de faire une suite au film de 1996 avec Mickael Jordan, on peut le dire la suite s’est fait attendre largement. Alors déjà, je ne connais pas du tout ce basketteur mais bon ça ne change pas grand chose. Je trouve que l’animation est vraiment excellente et le scénario assez original. J’avoue que je ne me souviens plus trop du premier film ne l’ayant pas vu depuis plusieurs années. D’ailleurs, il faudrait que je le montre à mon fils, j’avais adoré étant jeune. LeBron James ne pense qu’à une chose : le basket et il veut que ses fils fassent comme lui sauf que son cadet n’a clairement pas envie, lui est passionné de jeux vidéos. Tout se retourne contre eux à cause d’une intelligence artificielle caractérielle. Cette dernière essaye alors de mettre le film de James dans sa poche et ils doivent alors se battre au basket sauf que LeBron James voir les personnages des Looney Tunes comme coéquipiers qui ne connaissent rien au basket tandis que l’autre voit les personnages qu’il a crée dans son jeu vidéo et qui sont boostés à mort. J’ai adoré toutes les références qui sont dans le film et puis les looney tunes sont très drôles comme à leur habitude.


    En résumé, Space Jam – Nouvelle ère est un sympathique film qui bizarrement semble plus viser ceux de la génération du premier film ! En effet, il y a énormément de références dont les jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune idées de ce que c’est et encore moins les petits. S’il faisait une suite à ce film il y aurait moyen de faire quelques choses de plus cool avec genre la planète Harry Potter ou Game of Throne. Ca pourrait être drôle ! Il y a des idées sympas même si je ne suis pas très fan de LeBron James. Un bon divertissement.
    Serpiko77
    Serpiko77

    59 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Un produit commercial par excellence sans aucune ambition scénaristique ou les images hystériques et le bruit s'enchainent pour ne rien dire.
    Le film de 1997 avec Jordan n'était pas d'une grande subtilité mais il avait un certain charme et surtout il avait quelques moments drôles, celui-ci n'en possède aucun.
    C'est dommage de mettre autant de moyens technologiques pour raconter aussi peu, et en plus le film s'étire beaucoup trop sur la longueur.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    158 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 août 2021
    "Space Jam : Nouvelle Ère" ou "Space Jam 2" est un film américain réalisé par Malcolm D. Lee et sorti en 2021.
    C'est la suite de "Space Jam" de Joe Pytka sorti en 1996, avec Mickaël Jordan, Bill Murray et Wayne Knight .
    Tout comme le premier film il mêle la prise de vues réelles, l'animation 2D l'animation 3D avec des acteurs qui jouent avec les Looneys Toons, célèbre personnages des dessins-animés de la Warner Brother, tels que Bugs Bunny, Sylvestre, Charlie le coq, Daffy Duck ou Marvin le Martien.
    Une version réactualisé de "Space Jam", qui ne vaut pas le premier film et n'en a pas le charme.
    Un petit divertissement qui plaira certainement au jeune public.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2021
    Un film à la gloire de Warner où l'on essaie de tester les limites du spectateurs en rajoutant du CGI autant de possible.
    Bryan V.
    Bryan V.

    71 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2021
    Space Jam : Nouvelle Ère est clairement un cross-over Warner Bros plutôt qu'un Space Jam à part entière ! Il est dans sa globalité plutôt fun, mais bien trop d'actualité pour du "Looney Tunes".

    Space Jam (2021) est une fausse suite à Space Jam (1996), il est vendu comme tel, mais ce n'est pas du tout le cas, le film est plus à prendre comme un nouveau divertissement avec les Looney Tunes plutôt qu'une réelle suite. La suite n'est jamais confirmée, ni même mentionnée, on y fait de simples allusions et rien de plus, comme une sorte de petit hommage. La distribution est aussi renouvelée pour l'occasion, on oublie Michael Jordan (quoi que...), c'est à présent Lebron James est le nouveau héros mis en vedette dans ce volet.

    L'histoire reste grosso-modo la même. Le héros va devoir rassembler les Looney Tunes et en faire une équipe de basketteurs. Une idée déjà-vu (c'est celle du précédent film.), cela va d'autant plus renforcer la sensation d'un remake ou d'un cross-over plutôt que d'une suite. De plus, il y a d'innombrables clins d'œil et références au premier film et particulièrement à la culture Warner Bros et pas seulement des Looney Tunes, elles sont tellement nombreuses, qu'elles sont incalculables. Ils ont vraiment mis le paquet à ce niveau, c'est du gros fan-service, car il faut le dire, le film est essentiellement sympathique pour ses nombreux caméos, cependant, ils en exagèrent énormément. C'est finalement plus un gros cross-over de la Warner Bros qu'autre chose (comme l'avait déjà également fait Scooby-Doo avec les œuvres d'Hanna-Barbera en 2020.).

    Visuellement, les effets spéciaux sont plutôt corrects malgré un gros surplus, le mélange animation et prise de vues réelles ne font qu'accroître l'esprit famille de la production. Après, il n'y a pas forcément que ce mélange d'animation et de réel, le film se distingue également par deux parties distinctes, l'une est un peu plus réaliste et de la seconde est totalement animée. Les petits apprécieront certainement l'humour cartoonesque si cela n'est pas encore trop évolué pour eux, pour les plus grands il y a comme un faux air de nostalgie qui ne se confirme malheureusement jamais assez dû à un design d'actualité, on perd ce petit côté rétro.

    Après, ça reste un divertissement correct. Le genre de programme qui peut à la limite bien passer pour la première partie de soirée lors des dimanches en famille devant la télé, mais rien de plus. Dans l'ensemble, cela est passable voire même assez cool dans l'idée, mais malheureusement trop mis au goût du genre, à trop vouloir en faire, on en perd totalement l'essence et la nostalgie que ce soit dans le visuel et dans les dialogues.

    Enfin bref, un film qui plaira certainement plus à la nouvelle génération ou tout simplement aux grands fans de la Warner Bros.
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