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    My Beautiful Boy
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    170 critiques spectateurs

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    rogerwaters
    rogerwaters

    146 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2019
    Premier gros coup de foudre de cette année cinéma, My Beautiful Boy confirme le goût du réalisateur belge pour le mélodrame après son superbe Alabama Monroe. Porté par l’interprétation très sobre et digne de Steve Carell – qui, pour le coup, mériterait bien un Oscar – le métrage nous plonge dans une atmosphère pesante qui joue constamment sur des allers et retours temporels pour mieux saisir l’aspect fluctuant d’un tel drame. Les drogués alternent ainsi les phases de rémission et de mal-être comme le montre très justement le film. Au passage, le réalisateur dénonce une situation dramatique aux Etats-Unis, puisque la drogue devient un fléau qui emporte la jeunesse du pays depuis maintenant plusieurs années sans que les pouvoirs publics ne semblent s’en alarmer. Le film est très dur, mais il n’oublie jamais de rester digne en décrivant davantage le calvaire de l’entourage des drogués plutôt que l’enfer de la drogue en elle-même. Profondément désespérant, mais beau et salvateur.
    bzuk15 .
    bzuk15 .

    5 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2019
    Un sujet passionnant : adolescence, difficulté à accepter la réalité, perte de soi... comment aider ? est-ce que l'on peut aider ? Des scènes poignants et réalistes. Mais le film manque de rythme, il traîne vraiment en longueur, d'où les 3 étoiles.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Nous allons plonger ici dans le quotidien dramatique d'un père américain divorcé qui va tout tenter pour essayer de sortir son fils de 18 ans de la dépendance d'une drogue dure, la méthamphétamine.
    Le thème est bien sûr lourd et difficile, mais la réalisation soignée et les deux comédiens principaux très inspirés (Steve Carell et le jeune talentueux Thimotée Chalamet) rendent cette histoire touchante et terrible à la fois.
    Peut-on réellement aider quelqu'un contre son gré ?
    Toute la question est posée dans ce drame qui vaut vraiment le coup d'oeil malgré quelques longueurs.
    Tragique.
    --> Site CNEMADOURG
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 février 2019
    Une excellente surprise: Une plongée incroyable dans le monde sombre mais aussi peut-être "ordinaire" de la drogue aux États Unis. Les acteurs sont excellents et émouvants. Je suis ressorti de ce film bouleversé.... J'ai adoré et recommande à tous les yeux fermés.
    Sylwish
    Sylwish

    9 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2019
    Tout était réuni pour faire de Beautiful Boy un film poignant et mémorable : un casting quatre étoiles, un sujet fort, un réalisateur très à l'aise dans le style dramatique (comment oublier l'immense The Broken Circle Breakdown, déchirant de bout en bout ?). Triste constat, ici : Beautiful Boy tourne en rond. L'émotion n'est jamais que suscitée, elle ne prend jamais à la gorge. Les scènes se répètent et se ressemblent. On peut juger un film par la qualité de ses scènes, parce que ces dernières sont essentielles au film, parce que chacune d'elles résonne et trouve sa place au sein de l'oeuvre. Ici, les scènes sont interchangeables, voire supprimables. On a l'impression de voir les mêmes scènes, tournées à des moments, à des endroits différents. Timothée Chalamet est sublime, de beauté, de talent, de présence, mais ne parvient pas à sauver le film. Beautiful Boy est convenu, attendu et parfois bien lisse. Manque de profondeur, manque de personnalité, manque de feu. Notons cependant une bande-sonore géniale (Nirvana, Neil Young, Zola Jesus, Massive Attack, David Bowie...) et, je le répète, mais il le faut, un Timothée magnifique. The guy is out of this world...
    Gabriel W
    Gabriel W

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    L'enfer de la drogue dure dépeint avec réalisme et qualité de réalisation. Ils ont fait le choix (discutable) de centrer l'attention quasi seulement sur la famille, leur relation et leur combat. Manque un peu de contextualisation, d'où vient l'argent ? Peu ou rien sur l'entourage (amis influents ? Dealers) Peu ou pas d'histoires périphérique ce qui provoque longueurs et redondances. Ça ns laisse un peu sur notre faim. Dommage
    Alice025
    Alice025

    1 683 abonnés 1 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Un drame assez triste et réaliste sur la relation d'un père démuni face à son fils drogué. Comme un spirale infernale, les rechutes vont s'accumuler et il va être de plus en plus difficile de sortir Nicolas de sa dépendance, l'aider à combler ce trou noir qu'il porte en lui. Le film repose essentiellement sur ses acteurs comme atouts majeurs : Thimothée Chalamet et Steve Carrel.
    Concernant la mise en scène, elle peut paraître un peu confuse car il y a beaucoup de retours dans le passé qui surgissent d'un coup avant de revenir dans le présent etc. Ce n'est pas le meilleur film sur ce thème que j'ai vu, mais il reste tout de même assez bon, triste, et il est également intéressant de voir la détresse psychologique des proches et pas seulement du fils.

    cinephile-critique.over-blog.com
    Delph I
    Delph I

    131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Un film magnifique qui ne tombe pas dans le pathos tout en racontant l’histoire des dégâts de la drogue et du tourbillon sans fin de ce fléau qui peut pourtant paraître comme une bouée de sauvetage à des jeunes pour qui l’adolescence est vécue comme un moment insurmontable. La réalisation est fine et montre des parents désarmés qui font leur chemin vers cet enfant qu’ils ne peuvent sauver malgré lui. Un film fort et nécessaire.
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Qui a vu naguère "La merditude des choses", admirable exemple d'humour belge, truculent, insolent mais aussi émouvant, et qui voit aujourd'hui "My beautiful boy" a du mal à admettre qu'il s'agisse du même réalisateur. C'est que Felix Van Groeningen a quitté sa Flandre si pittoresque et si brueghelienne pour aller tourner dans une Amérique qui a ses codes et ses conventions cinématographiques. En tout cas, le film se laisse bien voir ; mieux il offre un beau modèle de réalisation à l'américaine. Soit donc un père qui vit loin de son ex et qui a la garde d'un fils qu'il chérit par-dessus tout. Or le fiston chéri se drogue et a recours à des substances dures et dangereuses. Il faut donc sauver le fils en perdition qui certes aime son père, mais se révèle être un habile manipulateur. C'est le récit du combat que mène le père, avec le concours de son ex mais aussi de la femme qu'il vient d'épouser en secondes noces, qui nous est livré tout au long de ce film. Ajoutons que le scénario est tiré d'une histoire véridique relatée tant par le fils (le vrai) dans un livre-témoignage que par son père, journaliste, qui ont évoqué l'un et l'autre cette descente aux enfers avec la menace de la mort au bout du chemin. Les personnages sont bien campés : Steve Carell incarne un père aimant et attentionné, tandis que Timothée Chalamet, nouvelle coqueluche du cinéma américain, joue à la perfection le rôle du jeune homme tiraillé entre ses sentiments familiaux et ses désirs jusqu'au-boutistes qui l'amènent à mettre sa vie en jeu. Toutefois on regrettera le registre franchement mélodramatique où se complaît le cinéaste. On eût aimé une plus grande distance par rapport au sujet et une plus grande sobriété dans la narration. Il n'empêche que l'image est impeccable et que la direction d'acteurs - et d'actrices - est toujours parfaitement maîtrisée. Et puis le film est traversé par une référence littéraire de qualité : un poème de Charles Bukowski, grand maître comme on sait de tous les excès possibles, et qu'on entend lu intégralement par Timothée Chalamet lors du générique de fin. Il s'agit du poème "Let it enfold you", un des textes les plus représentatifs de son auteur. Une bonne raison de ne pas quitter la salle trop tôt...
    Mathias M.
    Mathias M.

    23 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2019
    Tragique, désespérant et magnifique. Timothée Chalamet est parfait
    On vit avec lui sa descente aux enfers, ses mensonges, le désespoir et finalement la fatalité qui envahit ses parents
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2019
    "Plus que tout..."
    Nul besoin d'un "Je t'aime" superflu entre David Sheff et son fils Nic, ces quelques mots prononcés à chacune de leurs séparations suffisent à résumer un amour père-fils présent depuis toujours. Même l'échec d'un premier mariage dont Nic est issu et le cap forcément difficile à accepter de la nouvelle vie de famille de David (il est le père de deux autres enfants avec sa deuxième femme mais a conservé la garde de Nic) ne sont pas parvenus à affaiblir le lien si spécial qui les unit. À un tel seuil d'idéal et de réciprocité, leur relation avait tout pour demeurer immuable face aux aléas de la vie mais, lorsque Nic se met à expérimenter les paradis artificiels avec un goût hélas plus prononcé pour les méthamphétamines, elle est dévastée par un ouragan d'incompréhension.
    Le film avance intelligemment quelques pistes sans les souligner autour des causes de l'addiction de Nic : la pression induite par la réussite professionnelle de son père avec laquelle il se doit rivaliser dans ses études, un manque à la fois d'autorité et de mises en garde sur la brèche ouverte par la consommation de drogues douces de la part de David qui n'hésite pas à partager un joint avec son fils ou, tout simplement, la douleur refoulée d'un adolescent face à la séparation de ses parents qu'il n'a jamais su exprimer mais, au-delà de la facilité de trouver une réponse concrète aux raisons de sa dépendance, Nic le dira d'ailleurs lui-même, il y a un trou sombre et abstrait en lui que seule la drogue permet de combler grâce à ses effets euphoriques synonymes d'échappatoires à la réalité. Devant son propre enfant piégé dans un engrenage qui le pousse à consommer toujours plus afin de retrouver cette sensation de bien-être artificielle de la première prise, David est sonné et même quelque part trahi, lui qui pensait n'avoir aucun secret avec Nic. L'amour est bien entendu toujours là, indéfectible, mais David ne comprend tout simplement pas ce qui pousse son fils à agir ainsi, cherchant sans cesse des réponses auprès de professionnels ou allant jusqu'à expérimenter lui-même une drogue dure pour ressentir, partager et comprendre le mal qui emporte peu à peu son enfant.
    Le fossé dans lequel leur relation s'effrite ne fera que s'agrandir en véritable gouffre. À chaque fois que Nic paraît se ressaisir, une nouvelle chute de plus grande ampleur suit, laissant son père désemparé, à court de solutions pour raviver la force de leur lien qui pourrait peut-être sauver son fils. Tel un cancer, les conséquences de l'addiction de Nic s'étendent toujours plus en entraînant dans leur spirale David bien sûr, convaincu qu'il existe bel et bien un moyen pour son enfant de s'en sortir, mais aussi son ex-femme et sa nouvelle famille fatalement mobilisées autour des problèmes de l'adolescent. Le meilleur exemple s'incarnera en Karen, le personnage de Maura Tierney et deuxième femme de David, constamment en retrait durant la majeure partie du film dans un rôle de soutien sans faille à l'épreuve traversée par son époux, la femme explosera lors d'une scène bouleversante en partant littéralement à la poursuite de celui qui vampirise sa vie familiale depuis des mois avant de réaliser qu'elle n'y peut également rien. À force de subir le comportement destructeur et inarrêtable de Nic, la résignation et le fatalisme gagnera d'ailleurs tous ses proches, isolant encore un peu plus l'adolescent dans sa spirale infernale jusqu'aux pires extrémités...

    Habitué à nous retransmettre avec un sentiment de vérité invraisemblable l'émergence d'un mal faisant voler en éclats un bonheur familial depuis le sublimissime "Alabama Monroe", Felix Van Groeningen se sert intelligemment d'un va-et-vient temporel narratif permanent pour se faire fracasser la perfection d'instants de jeunesse entre David et Nic contre la chute aux enfers insurmontable que le fils est désormais en train de vivre. À l'impact émotionnel recherché par le réalisateur avec ce procédé, se rajoute le regard d'un Steve Carell encore une fois extraordinaire de justesse, traduisant sans peine le désarroi grandissant de ce père face à la perdition de son fils incarné par un décidément très prometteur Timothée Chalamet.
    "My Beautiful Boy" est tout simplement une véritable histoire d'amour d'une famille pris dans la tourmente, une petite merveille de fragilité humaine où la sobriété du ton et la mélancolie de l'atmosphère renforcée par une bande-originale formidable (et qui confirme une fois de pus l'adage "s'il y a du Sigur Rós, le film ne peut être que bon") ne peuvent que nous toucher. La force émotionnelle qui se dégage du long-métrage n'a que pour égal celle du lien père-fils en son coeur et c'est sans doute le plus beau compliment que l'on puisse lui faire.
    Nirina
    Nirina

    120 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Poignant, bouleversant! Le jeune papa que je suis est complètement chamboulé par cette histoire tellement attachante de ce papa prêt a tout pour son fiston! J’aurais aimé que mon père ait été autant là pour moi que ce papa la, et j’espère que je serais ce papa là pour mon fils!
    virnoni
    virnoni

    102 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2019
    Drame oppressant sur la toxicomanie. Comme l'un de ses films Alabama Monroe, le réalisateur belge n'y va pas par 4 chemins et nous livre une vision très dure d'un phénomène pourtant bien réel. C'est même là tout l'intérêt, loin de la vision de Ben is back, bien rose à côté! Le casting est merveilleux. Sobre, fin, puissant même dans des scènes extrêmement difficiles parfois. Thimothée Chalamet excelle dans ce rôle où il semble y livrer son âme. Steeve Carell décidemment brille dans ce type de rôles plus nuancé et grave. Leur lien est bien amené avec des dialogues percutants.
    Les ravages de ce fléau est parfaitement bien narré : sur le consommateur même, comme sur l'ensemble de la famille.
    Bémol : la musique, même si magnifique entre reprise de standards bien choisis et musique additionnelle somptueuses, elle est excessive le plus souvent, semblant manipuler les émotions du spectateur.
    La réalisation est vraiment sublime avec des plans frôlant le parfait, notamment les plans sur la plage, dans le jardin. La caméra plonge dans le désespoir et la crasse, comme dans l'amour que porte ses parents à leur enfant perdu.
    Un choc cinématographique qui prend aux tripes du début à la fin, manquant parfois de subtilité, emporté par son élan.
    spoiler: Les explications avant le générique de fin sont inutiles et viennent juste alourdir un propos déjà bien démontré.
    lara cr28
    lara cr28

    75 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2019
    Ce film relate la relation d’un fils accro aux drogues dures et d’un père accro à son fils. Il se déploie sur un mode assez répétitif- je m’en sors, je rechute-. On ne sombre jamais dans le pathos et l’on suit au plus près du personnage le mal-être dans lequel on reconnaît un des modes de l’adolescence, sa quête d’absolu, son envie d’ailleurs dont le seul moyen d’y arriver est ici la consommation de méthamphétamine…… Rien ne sera épargné au spectateur : les séances d'injection, le vomi, les bras troués, les overdoses,… une relation de proximité s’instaure avec Nic dans tous ses méandres. Mais si le film a voulu échapper à la didactique, ll n’y est pas complètement parvenu, le poids de l’institution et du discours moralisateur viennent parfois s’échouer sur l’excellent jeu de Thimothée Chalamet - découvert dans Lady Bird et dans le lumineux Call me by your name- qui confine au génie.
    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2019
    « My Beautiful Boy » met en évidence une relation extrêmement douloureuse et compliquée entre un père et son fils, dont la drogue sera l’ennemi à abattre, celle par qui il faudra lutter chacun à sa façon !
    Si ce scénario a un montage assez déconstruit dans sa narration et son déroulement, c’est sans doute pour mieux entrer dans cette terrible réalité, et toute la confusion qui en découle...
    Celle où tout se superpose et se mélange, les instants sombres et présents avec tous ces moments heureux de la petite enfance, mais aussi ceux finalement bien plus récents, que partageaient encore il y a peu, cet homme et ce premier fils issu d’une première union !
    Le cinéaste Félix Van Groeningen met ainsi en lumière toute la problématique d’un parent face à la descente aux enfers de son enfant, sujet à des addictions dues à l’alcool ou aux drogues diverses.
    Un parent qui tout à coup perd pied, à qui tout lui échappe jusqu’à devoir se protéger aussi face à son impuissance à quelquefois aider et aimer, plutôt que de se détruire lui aussi...
    C’est bien là où le film mérite toute notre attention et notre bienveillance, et ce malgré les défauts inhérents à ce type de réalisation, à savoir ici peut-être le côté un peu mélo que reprocheront certains.
    En effet par le jeu de Steve Carell, étonnamment humble et sincère, juste et émouvant, on rentre intensément dans la douleur de cet être meurtri au plus profond de son âme et de sa chair, et on comprend très bien les limites et l’ambivalence de son action, la difficulté de mesurer ses décisions pour venir en aide à ce fils englué dans un processus sans fin, tel un cercle vicieux et infernal qui le détruit inexorablement à petit feu...
    À ce niveau, Timothée Chalamet étonne aussi par sa composition difficile en tant que jeune homme complètement chaviré, et nous bouleverse ainsi plus d’une fois.
    Et encore dans cette histoire, il y a malgré la séparation de ses deux parents, énormément d’amour à donner, à partager de tous côtés, énormément d’écoute et de compréhension, et on chercherait même à trouver et à expliquer la faille qui a conduit à une telle dégringolade dans le marasme de cette addiction abominable...
    Bien sûr pour ce faire, le cinéaste a sans doute un peu trop recours à des effets de style, à l’emploi de musiques ciblées pour adoucir son récit, sans doute pour insister sur le contraste de l’insouciance heureuse du bonheur avec ce cauchemar sans nom, insidieux et sournois, qui surgit sans qu’on s’y attende !
    Mais malgré ce côté un peu trop descriptif, il n’en reste pas moins un magnifique et terrible témoignage sur l’enfer inqualifiable que créent tous ces infâmes produits stupéfiants en dévastant parfois jusqu’à la mort celles et ceux qui les consomment, ainsi que leur entourage souvent plus que démuni !
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