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Un visiteur
5,0
Publiée le 19 octobre 2020
Le film le plus puissant emotionnellement que je n'ai jamais vu. J'ai énormément de problèmes d'addictions et de dépression et regarder ce film m'a fait pleurer toutes les larmes de mon corps. Je conseille beaucoup.
Un très bon film qui n'est pas un enième film sur la drogue. On suit David Sheff qui tente de sauver son fils nick de la drogue et c'est très bien exploité. On comprend que David s'inquiète pour Nick et veut tout faire pour le sauver spoiler: en faisant des recherches sur la drogue , en lui parlant pour essayer de lui ouvrir les yeux spoiler: comme la scène du restaurant . Nick est aussi très bien exploité spoiler: en essayant d'arrêter de se droguer, spoiler: mais a du mal . Steve Carell et Thimothée Chalamet sont parfaits dans leur interprétation et forment un super duo ce qui fait la force du film. Car niveau émotion forte, drame... le film pédale dans la semoule, on ne ressent rien. La réalisation et la photagraphie sont excellentes mais niveau émotion c'est faible. La mère de Nick ne sert pas à grand chose etspoiler: la petit amie de nick qui a un vraie rôle que dans le troisième acte du film. Un film qui montre bien les conséquence de la drogue.
Rien à dire. Le film est juste parfait. Il est émouvant, puis de savoir que c'est une histoire vrai et que des personnes vive se genre de chose c'est encore plus émouvant. Je trouve ça bien de faire passé un message à des personnes dans cette situation, j'espère que sa aura sauvé des vies ou aider des personnes ;)
Proposant deux visions opposées face à une addiction à la méthamphétamine - celle d’un père et celle de son fils -, « My Beautiful Boy » est un témoignage fort qui résonne avec encore plus de densité lorsque l’on est soi même un parent aimant et responsable. Ce drame, première réalisation américaine du belge Felix van Groeningen, souffre néanmoins d’une répétition de scènes trop similaires ainsi que d’intempestifs flash-backs apportant de la confusion à un récit qui n’en avait nullement besoin. Loin du genre qui l’a fait connaître, Steve Carrell est impeccable face au talent inné du bouleversant Timothée Chalamet.
Un duo père-fils qui prend au cœur, tant par l'espoir que véhicule cette magnifique histoire vraie du père-courage qui porte à bout de bras son fils toxicomane, que par la sensibilité et l'amour inconditionnel que l'on sent poindre derrière les personnages, nous rappelant la vraie définition d'une famille. Tout autant aidé par sa belle-mère, sa mère et, à leur façon, par les deux adorables demi-frère et sœur, le jeune homme oscille entre bonheur pur avec ses proches, et crises emplies d'amertume et de honte lorsqu'il rechute. Dans leur binôme, Steve Carell et Timothée Chalamet sont excellents, le premier confirmant qu'il est tout aussi bon (meilleur ?) dramaturge que comique, et le second nous rappelant que la tendresse a un visage, celui devant lequel on fond lors des parties de jeux enfantines, mais aussi le dégoût de soi, qui nous fait viscéralement pitié dans les séquences de post-rechutes. Le film ayant été conseillé par les vrais Nic et David Sheff, on se lèverait presque de son fauteuil pour applaudir lorsqu'on les voit apparaître dans les bonus. La bande-originale du film est plaisante (certes, on préfère Blue Jean de David Bowie au hard-rock, mais question de goûts), et l'on n'a pas vu trace d'un temps-mort. Cette histoire vraie réchauffe les cœurs au plus profond, prouve que les parents-courage ont bien raison de s'accrocher, et méritent tous d'être applaudis.
Après le culte pour beaucoup et mondialement reconnu « Alabama Monroe », puis « Belgica », le cinéaste flamand Felix Van Groeningen a répondu aux sirènes d’Hollywood et ne s’y est pas cassé les dents comme beaucoup de ceux qui tentent une première expérience américaine. On ne pourra pas non plus dire qu’on se remémorera de « My beautiful boy » comme d’une pépite indispensable mais c’est un bon film réussi dans les grandes largeurs. Il adapte l’histoire vraie d’un célèbre journaliste américain qui va devoir se battre par amour pour son fils contre l’addiction de ce dernier à tous type de drogues. Le long-métrage se propose donc autant de nous montrer un film sur la dépendance aux psychotropes que l’amour inconditionnel d’un père pour son enfant. Sur ces deux versants c’est plutôt bien et finement vu. Mais on préfèrera le côté passionnant et touchant du combat de ce père. De voir comment cet homme va tout faire pour sauver son fils ainsi que la détresse qu’il ressent de voir sa progéniture s’autodétruire dans l’impuissance est fort et beau à voir. Les moments purement centrés sur la toxicomanie et l’addiction sont moins surprenants même s’ils évitent de sombrer dans une condamnation trop facile et en montrent beaucoup d’aspects sans jugement et de manière juste. Le dur chemin de la rédemption entre espoir et rechute attendues est balisé et attendu mais l’émotion nous étreint quand même tant la situation est triste à voir. En revanche, on n’est pas forcément ému aux moments prévus, avec musique triste à l’appui, mais durant d’autres, moins évidents, comme lors de cette poursuite en voiture entre une belle-mère à bout de nerfs et son beau-fils en fuite avec sa copine.
La construction aléatoire du récit, au début notamment avec ses retours en arrière récurrents et quelques flashbacks de l’enfance, ne s’imposait pas tout comme on peut dénoter un certain maniérisme dans la mise en scène pour faire joli et très cinéma indépendant chic. Surtout sur un sujet comme celui-là. Mais les images sont si agréables et se prêtent parfaitement au décor du film dans les paysages de campagne verdoyants et naturels de la Californie du Nord, alors on ne fait pas le difficile. A l’inverse, on ne peut que saluer les performances d’acteurs du duo principal. Steve Carell est brillant de justesse dans la façon dont il intériorise la souffrance de voir son fils se laisser mourir. Il prouve ainsi que le temps des comédies potaches est bien loin derrière lui. Quant à Timothée Chalamet, il montre (même s’il n’était plus nécessaire de le prouver), qu’il est le jeune acteur le plus intéressant et versatile du moment pour son âge. Il prend son rôle de toxicomane à bras le corps et évite tout cliché ou caricature. Il est impressionnant tout simplement. Les seconds rôles ne sont pas en reste avec ces dames incarnées par Maura Tierney et Amy Ryan, toutes deux très bien. « My beautiful boy » a la bonne idée de rester lumineux sur le fond comme sur la forme malgré son sujet lourd et douloureux et c’est aussi une de ces forces. C’est une œuvre à la fois touchante et utile qui parle autant au cœur qu’à l’esprit et portée par un duo d’acteurs au sommet.
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Sobre, pudique, mélancolique et réaliste, le film est superbement servi par ses interprètes, jamais dans la surenchère! Le combat du père et la détresse du fils, solidement ancrés dans la réalité, revêtent une forme d'honnêteté admirable qui, loin de la froideur d'abord suspectée, finit par faire surgir l'émotion de manière inattendue et d'autant plus bouleversante! Superbe!
Ce drame m’est littéralement sorti par les yeux. Je cherche mais à part la thématique qui m’a intéressé, je n’ai rien trouvé de positif. Déjà le casting ne m’enchantait guère. Je ne supporte pas Timothée Chalamet qui est pourtant adulée par beaucoup de monde. Depuis son apparition dans LADY BIRD, il m’est antipathique. À cela, on lui associe un Steve Carell que je n’ai pas du tout trouvé crédible dans ce rôle. Sa dernière prestation en Janvier dans le drame BIENVENUE À MARWEN avait pour moi déjà été un échec. Passons sur ce casting tue l’amour, on va voir du côté de l’histoire. J’aime beaucoup le thème de l’addiction à la drogue car il est complexe et va fouiller dans l’âme humaine. Ici en plus, il y a aussi le sujet de la relation entre un père et son fils. Les deux auront la même importance dans le récit pour comprendre l’impact de la spirale infernale de la drogue sur une famille. De plus, on est en dehors du cliché qui lie drogue et pauvreté. Malheureusement, je n’ai à aucun moment réussi à me plonger dedans. J’ai trouvé ça totalement brouillon dans sa mise en scène. En nous donnant du flashback dans tous les sens, ça part n’importe comment car toutes les périodes se mélangent. Au bout d’un moment, je ne savais même plus où on en était. C’est comme des brides d’histoire qui nous sont balancés comme un puzzle. Cela fait que toute cette histoire m’a laissé de marbre finalement.
Si je pouvais mettre plus d'étoiles, je l'aurais fait !! Ce film est sublime et juste. Le acteurs ont un jeu épuré. Le genre de film qui nous retourne pendant plusieurs jours. MAGNIFIQUE !!
L'histoire est très intéressante, on suit au cours du film le jeune Nicolas qui tombe dans la drogue. L'acteur qui interprète ce rôle m'a épatée, les émotions sont très bien retransmises. Sans doute un futur talent... Il manque selon moi à établir la source de cette déviance pour la drogue : quelle en est la cause ? que ce qui a pêché dans la vie de ce jeune homme ? J'ai également pu apprécié le regard de la famille sur la maladie (drogue) de leur fils, on peut alors comprendre leurs ressentis, émotions, désespoir quant à la possibilité qu'il s'en sorte. J'ai eu plaisir à découvrir Steve Carell dans un autre rôle que celui d'un personnage humoristique qu'il a l'habitude de jouer, cependant, j'ai toujours autant de mal avec le jeu de cet acteur. Selon moi, il n'a pas assez d'expressions physiques il est beaucoup trop neutre, donc il ne nous transmet pas d'émotions. Petit bémol donc. Le tout reste très appréciable.
Bien... En rapport au sujet évoqué... Je crois bien que c'est la première fois que je vois un film sur un drogué. Les acteurs sont justes... L'histoire est prenante on ne s'ennuie pas... Mais pas d'émotion pour ma part. A voir
Performance très réussie de Chalamet et Carell. Film émouvant. Malheureusement je trouve qu'il aurait pu être encore plus cru pour mieux refléter la dureté du sujet. Une tournure différente à la fin du film (quitte à ne pas respecter l'histoire vraie dont est inspirée le scénario) l'aurait probablement fait passer de bon à excellent selon moi.