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    My Beautiful Boy
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    4,0
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    168 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    434 abonnés 4 769 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2021
    Un drame familial bouleversant qui parle d’addiction avec justesse, sensibilité et sans pathos, porté par l’interprétation brillante du duo Steve Carell/Thimothée Chalamet.
    Alasky
    Alasky

    293 abonnés 3 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2020
    Malgré un scénario pauvre et une narration déconstruite, c'est un film qui se suit agréablement. Les acteurs sont impeccables, Steve Carell et Timothée Chalamet sont excellents tous les deux, comme les seconds rôles féminins d'ailleurs. Un film d'une maturité qui fait plaisir à voir. Belle photo et belle bande son.
    Nirina
    Nirina

    98 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2019
    Poignant, bouleversant! Le jeune papa que je suis est complètement chamboulé par cette histoire tellement attachante de ce papa prêt a tout pour son fiston! J’aurais aimé que mon père ait été autant là pour moi que ce papa la, et j’espère que je serais ce papa là pour mon fils!
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    109 abonnés 2 183 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2021
    MON BEAU CERVEAU BRISE. Se détruire et grandir à en crever. Quand sacrifice rime avec méthamphétamine. Les désespérés sous les assauts répétés. Une âme torturée pour chercher l'air. Déchirant et inspirant pour expirer.
    tupper
    tupper

    120 abonnés 1 318 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 août 2021
    Aussi touchant que nécessaire. My Beautiful Boy décrit avec sobriété les mécanismes de l’addiction, ses ravages sur ceux qui en sont directement ou indirectement victimes. La déconstruction chronologique est déroutante au premier abord mais elle nous rapproche de l’état mental de ses protagonistes : confusion, désarroi, absence de maîtrise du présent et de l’avenir. Le film est dur, d’autant plus qu’il est quasiment dénué de tout espoir, si ce n’est celui qu’autorise l’indéfectible amour d’un père pour son fils.
    shindu77
    shindu77

    76 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2019
    Film qui ne laisse pas de marbre. Beaucoup d’émotion tout au long du film. Tristesse, émotion pression tout au long du film. La mise en scène est intéressante mais ce n’est rien comparé au jeu des différents acteurs, référence surtout aux deux acteurs principaux qui sont vraiment excellent dans le rôle respectif. Toutefois, le casting globale est aussi de qualité.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2021
    Malgré quelques scènes attendues et un montage achronologique qui n'éclaire pas systématiquement la relation entre ce père et ce fils, l'essentiel des liens se faisant comprendre sans nécessité d'explicitation, la sincérité de la narration nous permet de croire à cet amour, d'autant que le casting brille par sa justesse et son pertinent minimalisme, Steve Carell et le bouleversant Timothée Chalamet en tête. Un drame aux propos intelligents.
    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2021
    David (Steve Carell) rencontre de gros soucis avec son fils, Nic (Timothée Chalamet), accro aux drogues.
    L’interprétation des acteurs est très juste, que ce soit le père de famille qui combat désespérément l’addiction de son fils et essaye de comprendre ce qu’il traverse, ou le fils complètement dépassé, alternant entre les phases d’euphorie, de manque, à la fois volontaire et désespéré.
    Le sujet est glaçant d’autant plus quand on sait qu’il s’agit d’une histoire vraie. La descente aux enfers est très réaliste.
    Petit bémol, surtout en première partie de film : la narration était un peu décousue.
    Finalement le film est un éternel recommencement mais qui traduit sans doute la réalité.
    djams
    djams

    30 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2019
    Film extrêmement parlant sur les ravages des drogues sur les jeunes. On suit la relation d'un père et de son fils au plus près ce qui les rend très crédibles et attachants. On y apprend également beaucoup d'informations scientifiques très utiles. Seul bémol, le film est construit sur un rythme relativement lent. A voir par tous les jeunes qui pourraient être tentés !
    Malo M.
    Malo M.

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2019
    My beautiful boy, adaptation des mémoires de Nic et David Sheff narre le soutient indéfectible d'un père pour sauver son fils de son addiction à la drogue.
    En plus de dialogues et de certaines situations du long métrage qui se révèlent être tracés d'avance, le film avec Timothée Chalamet possède une répetition d'actions qui certe, amène un réalisme propice à la narration, mais qui s'essoufle vite avec de nombreux stéréotypes que possèdent les films américains (lueur d'espoir qui jaillit à la fin, répliques écoeurantes de lyrisme, et plans solaires inutiles). Les liens familiaux et amicaux (sauf celui qui unit le père et le fils) sont pour la plupart survolés sans jamais réellement être approfondit (la relation de Nic avec son « parrain », ainsi que celle avec sa mère) .
    En outre, un montage alternant passé / présent, moments heureux / moments mélancoliques embrouille l'esprit du spectateur qui ne sait plus dans quelle temporalité ni même dans quel état d'esprit il se doit d'être.
    Cependant, le film de Félix Van Groeningen, à la fois préventif et permettant la portée d'un message fort renseigne les moins à même de maitriser le sujet et amène sur ceux-ci une portée éducative qui est la bienvenue.
    Le casting, notamment les deux acteurs principaux, Timothée Chalamet et Steve Carell permet de lustrer My Beautiful Boy, déjà peu étincelant sur bien des plans.
    La réalisation de Van Groeningen est un divertissement aux allures teen qui décevra bon nombres de fans d'Alabama Monroe.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 192 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Dans « My beautiful boy », Steve Carell est le père de Timothée Chalamet remarqué dernièrement dans « Call me by your name ». Ce dernier est un adolescent tombé dans la drogue dès son plus jeune âge. Son père essaie tant bien que mal d'aider son fils à remonter la pente, quitte à se faire détester. Le récit alterne les scènes douloureuses et les flash-backs explicatifs de cette dépendance. Bien que Steve Carell soit étonnant dans son rôle de père qui s’épuise au point de s’oublier, la mise en scène est trop linéaire pour ressentir une quelconque émotion. C’est une déception d’autant plus grande quand on sait que ce long-métrage est signé Felix Van Groeningen, qui a réalisé le plus beau film de 2013, « Alabama Monroe ».
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Alain D.
    Alain D.

    507 abonnés 3 212 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2023
    Ce drame de Felix Van Groeningen nous livre une très belle démonstration d'amour, avec de rares moments de joie dans un film difficile à "vivre". Un film sobre et intense, avec des scènes très dures mais aussi d'émouvants flashbacks, images de David avec son fils plus jeune du temps des jours heureux, avant la descente aux enfers.
    La réalisation nous fournit une admirable BO, une superbe incrustation de Neil Youg avec "Heart of Gold" (et non "The Needle And The Damage Done" comme on aurait pu s'y attendre). Elle nous offre également un joli casting : un superbe duo de premiers rôles avec Steve Carell et son fils Nicolas interprété par un excellent Timothée Chalamet.
    Le pitch : Nicolas, 18 ans se drogue pour "s'éloigner de la réalité stupide du quotidien". Il a commencé par des joints, puis est passé à la méta-amphétamine, la drogue la plus dangereuse. Son père très cool l'engage pour une cure de 28 Jours dans un hosto spécialisé ...
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2022
    Rares sont ces films qui traitent d’un sujet aussi sensible et qui entrevoient d’explorer l’ensemble des individus concernés, avec justesse. Le rapport à une addiction touche notamment la personne atteinte, mais les proches sont souvent mis à l’écart, victimes de leur impuissance. Mais pour le réalisateur belge Felix Van Groeningen, il existe un consensus dans la lecture d’un combat qui est peu traité au singulier. Après « La Merditude des Choses » et l’excellent « Alabama Monroe », il se propose de briser certains clichés afin que le récit génère pleinement ses doses sentimentales et psychologiques, vis-à-vis de comédiens sur qui tout repose. Bien que le tourment se résume à une spirale de déchéances et de schémas d’une famille recomposée, l’intrigue nous invite avant tout à relativiser cette notion.

    Nic Sheff (Timothée Chalamet) est jeune, créatif mais instable dans une forme de dépendance accrue. La drogue finit par le séparer de sa famille, déjà en bien piètre état, car le divorce de ses parents peut être un catalyseur dans sa conduite. Il s’évade donc de point en point, laissant son passé derrière lui et un père qui tient au garçon qu’il a élevé, encouragé et protégé. David (Steve Carell) s’implique alors dans une course-poursuite contre la peine et la haine. La drogue est synonyme d’addiction et ce mal frappe essentiellement la victime qui en consomme. Or, David, lui fait de son fils la substance qui le maintient éveillé et attentif. Il apprend ainsi à se familiariser avec les pulsions qui dictent la vie de son enfant perdu. La voie de la guérison est donc la seule issue possible pour ce dernier, mais il n’y a pas de traitement de faveur. La profondeur des deux hommes est exposée dans leur intimité et dans leur isolement mental, là où chacun cherchera, en vain, à convaincre sa moitié à la rédemption.

    Par ailleurs, derrière le vice, il existe une certaine cohérence avec le combat d’une vie, dans une époque où il faut se détacher corps et âme afin d’avoir un avenir. Nic en est l’exemple. Ne manquant pas d’opportunités, il est cependant influençable et sombre dans la facilité. Il peine à évoluer dans le sens voulu par ses parents et peine également à trouver une identité. Il s’abandonne alors dans un cimetière mental, où la violence et l’amour n’auront pas leur place. C’est un havre de paix pour cette créature trop fragile, trop peureuse et pas assez courageuse pour renaître de ses cendres. En adoptant le point de vue remarquable du père, il ne sera pas surprenant d’évoquer un parcours tourmenté, car ce dernier est tiraillé entre le passé et le présent. Cela sacrifie la structure du récit qui piétine sur une répétition de faits, mais ce sera dans la psyché des personnages qu’on trouvera le réconfort et la force de caractère de l’œuvre.

    Sensoriel à souhait, le réalisateur opte pour une approche très humaine dans ce mélodrame. En suivant David, qui doit surmonter et d’adapter aux obstacles qui le séparent de son fils, on assiste à une bonne sensibilisation pédagogique. Mais « My Beautiful Boy » peut aussi dévoiler des maladresses d’un point de vue technique ou de mise en scène, car le final suggère une destinée que l’on justifiera avant tout au montage. David et Nic sont comme ange gardien et démon intérieur. Ils sont indissociables comme la douceur et la douleur, on ne peut jamais totalement s’affranchir de l’autre.
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2021
    Le sujet de la dépendance au cinéma est une matière dramatique solide. Malgré tout, afin d'éviter le conventionnel, il faut aller chercher autre chose pour nous happer. Cela passe par le jeu des acteurs, et par la qualité d'un scénario. Paradoxalement, j'apprécie le côté fataliste de My Beautiful Boy. C'est avant tout un film sur la résignation, après avoir tout tenté, en vain. Le film inflige une morale assez glaçante, celle que malgré un bon soutient familial, le vice de la drogue est un fléau quasi immuable. Du moins, tant que le principal intéressé ne décide pas, de lui-même, d'arrêter l'hémorragie. Félix van Groeningen a déjà prouvé avec Alabama Monroe et Belgica que ces caractères marginalisés l'intéresse fortement. Mais, assez curieusement, j'ai toujours l'impression qu'il veut me faire tirer des larmes à outrance. Cinéaste sensible, indéniablement, mais manque de nuance et de subtilité.
    bladgik
    bladgik

    84 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2019
    Film très touchant sur un fléau « la drogue « 
    Le jeune timothée joue très bien son rôle de junkie face un steve carrel en père démuni par la descente de son fils . Il est difficile de pas être touché plus le film avance plus le jeune sombre .
    Une épreuve pour la famille face à ce poison qui risque de faire du mal à tout le monde .
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