Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Bouleversant.
CNews
par La rédaction
Un drame à l’issue duquel on ressort la larme à l’œil.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Timothée Chalamet livre une belle performance.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur d’Alabama Monroe signe son premier film américain, lumineux malgré la noirceur, où il relate l’histoire d’un père face à l’addiction à la drogue de son fils.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On est touché aux larmes par la confrontation poignante, mais jamais déprimante, entre ces deux êtres qui s’aiment mais n’arrivent plus à se comprendre.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le duo père-fils est formidablement porté par un Steve Carell poignant et un Timothée Chalamet à fleur de peau. Un long-métrage parfois dur, intense et militant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Un mélo puissant et parfaitement incarné.
Première
par Christophe Narbonne
Les fans d’Alabama Monroe seront peut-être un poil déçus de voir FVG s’assagir à ce point, mais force est de reconnaître que le fond prime ici sur la forme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Samuel Regnard
(...) une réalisation d'une extrême tendresse signée Van Groeningen (...) On n'est jamais mieux épaulé et protégé que par ceux qui nous ont conçu.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce récit d’un calvaire que la mise en scène ne cesse de déconstruire, montrant sous forme de lambeaux ces allers-retours entre passé et présent, douceur et douleur, espoirs et rechutes, est porté par des comédiens subtils (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Un récit bouleversant et authentique, par le réalisateur de Belgica.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
A 23 ans à peine, Timothée Chalamet continue de prouver qu'il est un acteur sur qui compter.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(…) un film d’auteur sincère, destiné à un public large, qui émouvra les parents de par l’effet miroir qu’il produira, et attirera, de surcroît, la bienveillance de la jeunesse qui trouvera en Timothée Chalamet le héros romantique bouillonnant de rébellion, et foisonnant d’intelligence poétique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le cinéma de Van Groeningen n’a rien perdu de son identité en traversant l’Atlantique, même si My Beautiful Boy s’assagit un peu trop vers sa fin.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Pour son premier film américain, le réalisateur belge d'"Alabama Monroe" filme une fois encore le chemin de croix d'une famille post-hippie dans un entrelacs, longuet et parfois confus, de flash-back. C'est sa franchise vis-à-vis du sujet et ses acteurs, en tête desquels le jeune prodige Timothée Chalamet, qui font le prix de cette production indépendante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
La jeune coqueluche de Hollywood, Timothée Chalamet, incarne un garçon accro aux drogues face à son père, interprété par Steve Carell. Un duo qui touche au cœur sur une intrigue ingrate.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Première incursion US pour van Groeningen, qui délivre un mélo de bonne facture, mais quelque peu empêché par son souci de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Taillé pour les Oscars, et donc édulcoré notamment par un agaçant happy end, "My Beautiful Boy" contient cependant d'incroyables moments de grâce qui tiennent autant à ses acteurs [...] qu'à une mise en scène procédant par petites touches délicates.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
[...] cette éprouvante chronique d’une double addiction (le géniteur est accro à son rôle de super-héros) souffre d’une mise en scène parfois discutable (montage en flashback, musique omniprésente) mais impressionne lorsqu’il s’agit de raconter le combat d’une famille ravagée. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le film cherche une sorte de sophistication formelle (entrelacs temporels du début, joliesse des plans, moments musicaux) qui tient plus du bel emballage que d’une idée de mise en scène. (…) Mais il est parfois émouvant.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Si le film jouit de quelques beaux moments – notamment grâce aux interprétations de Steve Carell et de Timothée Chalamet –, le récit ne parvient pas à se libérer de ses intentions didactiques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film déçoit en associant une litanie de clichés pathétiques et une narration ostensiblement déconstruite.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Monté comme une succession de jolis clips en mode shuffle pour masquer la banalité de ce qui s’y joue (replongera, replongera pas ?), le film ne semble exister que pour nous ouvrir les portes de la luxuriante collection de disques de Felix Van Groeningen. Next track, please.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Malgré un bon duo d’acteurs, l’histoire de ce père qui lutte pour sauver son fils héroïnomane souffre d’un manque flagrant d’inspiration derrière la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
[...] un film larmoyant, sinueux et sans véritable point de vue.
Culturopoing.com
par Julien Rombaux
La spontanéité - la naïveté peut-être - de ses premiers films semblent s’être ici totalement évaporées. Plus le cinéaste avance, plus les coutures de son art sont apparentes. Sans inventivité aucune, la formule gagnante de ses deux succès est balancée au bazooka, plaquée artificiellement sans être remise en question.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Télé Loisirs
Bouleversant.
CNews
Un drame à l’issue duquel on ressort la larme à l’œil.
Femme Actuelle
Timothée Chalamet livre une belle performance.
La Croix
Le réalisateur d’Alabama Monroe signe son premier film américain, lumineux malgré la noirceur, où il relate l’histoire d’un père face à l’addiction à la drogue de son fils.
Le Journal du Dimanche
On est touché aux larmes par la confrontation poignante, mais jamais déprimante, entre ces deux êtres qui s’aiment mais n’arrivent plus à se comprendre.
Le Parisien
Le duo père-fils est formidablement porté par un Steve Carell poignant et un Timothée Chalamet à fleur de peau. Un long-métrage parfois dur, intense et militant.
Ouest France
Un mélo puissant et parfaitement incarné.
Première
Les fans d’Alabama Monroe seront peut-être un poil déçus de voir FVG s’assagir à ce point, mais force est de reconnaître que le fond prime ici sur la forme.
Rolling Stone
(...) une réalisation d'une extrême tendresse signée Van Groeningen (...) On n'est jamais mieux épaulé et protégé que par ceux qui nous ont conçu.
Sud Ouest
Ce récit d’un calvaire que la mise en scène ne cesse de déconstruire, montrant sous forme de lambeaux ces allers-retours entre passé et présent, douceur et douleur, espoirs et rechutes, est porté par des comédiens subtils (...).
Télérama
Un récit bouleversant et authentique, par le réalisateur de Belgica.
Voici
A 23 ans à peine, Timothée Chalamet continue de prouver qu'il est un acteur sur qui compter.
aVoir-aLire.com
(…) un film d’auteur sincère, destiné à un public large, qui émouvra les parents de par l’effet miroir qu’il produira, et attirera, de surcroît, la bienveillance de la jeunesse qui trouvera en Timothée Chalamet le héros romantique bouillonnant de rébellion, et foisonnant d’intelligence poétique.
CinemaTeaser
Le cinéma de Van Groeningen n’a rien perdu de son identité en traversant l’Atlantique, même si My Beautiful Boy s’assagit un peu trop vers sa fin.
L'Obs
Pour son premier film américain, le réalisateur belge d'"Alabama Monroe" filme une fois encore le chemin de croix d'une famille post-hippie dans un entrelacs, longuet et parfois confus, de flash-back. C'est sa franchise vis-à-vis du sujet et ses acteurs, en tête desquels le jeune prodige Timothée Chalamet, qui font le prix de cette production indépendante.
Le Figaro
La jeune coqueluche de Hollywood, Timothée Chalamet, incarne un garçon accro aux drogues face à son père, interprété par Steve Carell. Un duo qui touche au cœur sur une intrigue ingrate.
Les Fiches du Cinéma
Première incursion US pour van Groeningen, qui délivre un mélo de bonne facture, mais quelque peu empêché par son souci de délicatesse.
Marie Claire
Taillé pour les Oscars, et donc édulcoré notamment par un agaçant happy end, "My Beautiful Boy" contient cependant d'incroyables moments de grâce qui tiennent autant à ses acteurs [...] qu'à une mise en scène procédant par petites touches délicates.
Paris Match
[...] cette éprouvante chronique d’une double addiction (le géniteur est accro à son rôle de super-héros) souffre d’une mise en scène parfois discutable (montage en flashback, musique omniprésente) mais impressionne lorsqu’il s’agit de raconter le combat d’une famille ravagée. Bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Le film cherche une sorte de sophistication formelle (entrelacs temporels du début, joliesse des plans, moments musicaux) qui tient plus du bel emballage que d’une idée de mise en scène. (…) Mais il est parfois émouvant.
Critikat.com
Si le film jouit de quelques beaux moments – notamment grâce aux interprétations de Steve Carell et de Timothée Chalamet –, le récit ne parvient pas à se libérer de ses intentions didactiques.
Le Monde
Le film déçoit en associant une litanie de clichés pathétiques et une narration ostensiblement déconstruite.
Les Inrockuptibles
Monté comme une succession de jolis clips en mode shuffle pour masquer la banalité de ce qui s’y joue (replongera, replongera pas ?), le film ne semble exister que pour nous ouvrir les portes de la luxuriante collection de disques de Felix Van Groeningen. Next track, please.
Libération
Malgré un bon duo d’acteurs, l’histoire de ce père qui lutte pour sauver son fils héroïnomane souffre d’un manque flagrant d’inspiration derrière la caméra.
Positif
[...] un film larmoyant, sinueux et sans véritable point de vue.
Culturopoing.com
La spontanéité - la naïveté peut-être - de ses premiers films semblent s’être ici totalement évaporées. Plus le cinéaste avance, plus les coutures de son art sont apparentes. Sans inventivité aucune, la formule gagnante de ses deux succès est balancée au bazooka, plaquée artificiellement sans être remise en question.