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Loskof
388 abonnés
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4,0
Publiée le 19 juillet 2010
Ce film m'avait mis une grande baffe en pleine figure lorsque je l'ai vu. Finalement en y réfléchissant bien, je trouve la critique de la société de consommation un peu facile ce qui empêche fight club de récolter la note maximale. Cependant, la réalisation sans faille, le suspens haletant et un casting brillant rendent ce film culte sur biens des points! Depuis, je vais au fight club tous les soirs....
Film que j'avais prévu de regarder depuis très longtemps, enfin visionné, je peut dire que j'en sors vraiment bluffer. Le scénario est original et même avec toutes les grosses productions d'aujourd'hui, je n'avais jamais rien vu de tel. Il y'a un bon lot de scènes mythiques (je pense surtout à celle avec la graisse humaine). J'ai trouver la fin vraiment excellente, vu que tout était confus on ne s'attend pas une seule seconde à ça. David Finsher signe une fois de plus un grand film.
"La première règle du Fight Club, c'est qu'on n'en parle pas. La seconde règle du Fight Club, c'est qu'on n'en parle pas" David Fincher frappe un grand coup avec "Fight Club", provocateur, viril et intelligent. Il nous pousse jusqu'au malaise et rend banal n'importe quel évènement étrange. Edward Norton joue le narrateur, torturé par le néant de sa vie de bureaucrate et qui participe à un groupe de thérapie de soutien pour éprouver quelque chose. Il va peu à peu rencontrer Marla, elle aussi à ses groupes, puis Tyler Burden, dangereux et farouche type avec qui il va créer le Fight Club. Le scénario est excellent et très bien construit, l'atmosphère est nauséabonde, noire, crade et flippante, les personnages sont bien écrit et en deviennent attachants et enfin la mise en scène de Fincher est excellente. Certaines scènes et répliques sont superbes et mythiques et le couperet final est aussi inattendus que génial. Brad Pitt crève l'écran, Norton et Bonham Carter sont impeccables. Un grand film, original, envoutant et surtout fascinant !
L'un des meilleurs scénarios de tous les temps, des acteurs de génie, une réalisation magnifique, des réflexions sur notre société d'une justesse sans pareille, un final extraordinaire. N'avez vous jamais rêvé de tout envoyé en l'air, vos acquis, votre boulot, vos amis, votre monde, votre vie ? Pour découvrir quelquechose de nouveau, pour mieux interpréter ce qui nous entoure, pour vivre notre existence au jour le jour. En voila un aperçu, un ovni qui contredit tout ce qu'on nous a appris, la vision d'un monde ou tout est remis en question, un bijou pronant la liberté et le retour aux fondemments de notre humanité.
Un chef d'œuvre signé David Fincher qui nous avait déjà mit sur le cul avec Seven et The Game, ses 2 précédents films, mais là il va encore plus loin et nous fout une énorme mandale dans la tronche dont on a du mal à s'en remettre, Brad Pitt et Edward Norton sont flippant.
"Fight club". L'un des films les plus adulés de ces dernières années, sans doute grâce à la grande agressivité contenue dans sa critique de la société de consommation, à son scénario délicieusement tordu et à sa réalisation très stylisée. Mais on est tenté de dire: ça s'arrête là. Non, "Fight club" n'est pas une oeuvre extraordinaire. Fincher a beau marteler sa critique avec force, son audace ne reste que relative. Quant au film en lui-même, on ne peut pas dire qu'il réserve tant de surprises que ça: on se souviendra du coup de la schyzophrénie, assez prévisible et même un peu lourd ... ceci dit, le film est loin d'être raté, ne serait-ce que pour l'image intéressante de la société qui nous est montrée ou encore (et même surtout) pour les prestations birllantes des acteurs (oui, même celle d'Helena Bonham Carter). Mais si ça reste un bon film, il n'en demeure pas moins ultra-surestimé ...
Un film bizarrement très apprécié par ma génération (je suis né en 91). Le film n'est pas foncièrement mauvais, mais grandement surestimé. Le propos du film qui consiste à dénoncer notre société consumériste a déjà été vu cent fois au cinéma. D'ailleurs, sous ses faux airs de brûlot anarchiste, Fight Club est lui même un pur produit de consommation, dont la mise en scène racoleuse (bien que rythmé) dessert totalement le propos du film au profit du divertissement pur (les scènes de bastons notamment). N'allez pas croire que je déteste ce film, qui est bourré de qualité (à commencer par les deux acteurs), et David Fincher est un grand réalisateur. Mais j'en ai marre des gens qui se gargarise de regarder du cinéma d'auteur engagé devant "fight club" qui est rappelons le, produit par la 20th Century Fox.
David Fincher est un cinéaste surdoué. Il l'a prouvé dès le début de sa carrière avec Alien 3 avant de marqué le 7ème Art avec Seven et The Game. Mais comme si cette filmographie ne lui suffisait pas, en 1999 il marque définitivement une génération avec Fight Club. En adaptant le roman de Chuck Palahniuk, Fincher signe un film beaucoup plus contemporains et plus sombre ses films précédents. Avec ce film David Fincher poursuit sont exploration des dérives de la société : système consumérisme, perte de repères et d'émotions. Il est donc dans la parfaite continuité de ce qu'il a commencé avec The Game. D'ailleurs comme The Game, Fight Club comporte son twist final qui change notre vision du film et du héro. En plus des ses thèmes hyper noir, Fincher continue de parfaire sa mise en scène : des mouvement de caméra virtuelle qui ne font qu'initié ce qu'il fera avec efficacité dans Panic Room. Résultat Fight Club ne manque vraiment pas de style. En alliant scénario en béton, premier et second degré et une mise en scène élevé et innovante le réalisateur nous fais passé son message avec beaucoup d’efficacité. Les comédiens contribuent également à cette efficacité du propos. Tout d'abord Edward Norton qui est parfait. On sent sa détresse, son besoin de ressentir quelques chose par tout les moyens possibles. C'est son jeux d'ailleurs qui fait qu'on ne se doute pas du twist final (même si il y a plusieurs indices qui y mènent). Ensuite après le phénomène Seven, Fincher rappelle Brad Pitt, comme d'habitude, Brad Pitt va allé à l'encontre de son image de beau gosse en endossant le rôle d'un personnage salle, machiavélique, qui ce révélera plus tard être un terroriste. Troisième étoile du casting et sans aucun doute la plus belle : Helena Bonham Carter. Jusqu'alors inconnue elle développe avec ce film une notoriété qui explosera plus tard dans les films de Tim Burton. Il faut rajouté à cela une BO parfaitement dans le ton du film et on notera également le fameux Where Is My Mind des Pixies qui conclut le film d'une manière magistral. Conclusion : Un thème fort sur une société malade, des personnages paumés, des acteurs parfaits une mise en scène remarquable et un scénario révolutionnaire. Dès le départ Fight Club ne pouvait être qu'un film culte ce qu'il est aujourd'hui.
L'un des meilleurs films de tous les temps tant les acteurs, le scénario, l'histoire et surtout les dialogues sur la vie de tous les jours et qui a un sens aujourd'hui.
Adaptation du roman éponyme de Chuck Palahniuk, Fight Club est l'exemple même du film dépassant le livre d'origine dont il s'inspire. Réussissant à faire converger ses thématiques du moment avec celle du bouquin (sens de l'existence à la The Game, perversion du système à la Seven...) Fincher brosse une fois de plus le portrait au vitriol d'une Amérique ayant sacrifié son utopie sociale (le rêve Américain) au profit de la marchandisation des corps et des âmes. Exploitant à la perfection tous les codes sociaux de son époque pour mieux les tourner en dérision, le film suit le parcours quasi messianique d'un personnage (Edward Norton) dont l'absence de perspective existentielle l'empêche de trouver le sommeil dans une vie pourtant rangée au possible et qui, ironiquement, se voit refuser une prescription médicamenteuse propre à entretenir sa condition de consommateur léthargique (les somnifères). Contraint d'affronter ses démons intérieurs, le personnage (qui n'a pas de nom) se trouve finalement confronté à sa frustration incarnée en une figure émancipatrice (Brad Pitt), celle-ci l'amenant bien malgré lui aux confins de la raison, quelque part entre rêve et réalité...
Véritable plaidoyer pour toute une génération d'incompris(es) refusant de toutes leurs âmes cette soumission à la logique ultra libérale mortifère, Fight Club est probablement l'une des dernières tentatives honnêtes de subversion envers un système produisant en réalité plus de Tyler Durden que de gens "normaux" ! Poussant les limites du politiquement correct, Fincher expose sans complaisance l'absurdité d'une existence réduite à la stricte consommation, où le culte de soi est la norme et où la seule alternative ne semble résider que dans la mise en place d'une opération visant à renvoyer la société moderne à l'âge de pierre (projet Chaos).
Illustration du désespoir humain, Fight Club évite de justesse de tomber dans le glauque (difficile de faire l'apologie du suicide jusqu'au bout, la question spirituelle ayant été évacuée lors de la séquence de brûlure chimique!) malgré les quelques révélations glaçantes sur les rouages d'un système faisant peu état de la vie de ceux là même qu'elle dépouille (le travail d'Edward Norton), Tyler Durden ne caractérisant au final que la finalité d'une sensibilité bafouée littéralement "radicalisée" (et c'était bien avant la guerre à la terreur!!
Et si le film a tant suscité l'indignation générale pour sa violence supposée (de la part de ceux là même qui en sont à l'origine c'est l'hôpital qui se fout de la charité!), c'est certainement parce que d'une certaine façon, à exposer tous les carcans idéologiques asservissant la masse( et ceux qui en tirent profit), il rappelle simplement à toutes et à tous à quel point les dirigeants de tout bord craignent la révolte des dirigés...
A la première vision, « Fight Club » m’est apparu tellement glauque et décalé que je me suis franchement demander ce que la majorité des critiques pouvaient bien lui trouver d’aussi exceptionnel. Deux possibilités se sont alors offertes à moi : retenter l’expérience une seconde fois ou laisser carrément tomber. Fort judicieux fut mon choix. Oubliez tout ce que vous avez déjà vu et laissez-vous imprégner par une oeuvre aussi innovante que déstabilisante, dingue, unique, culte. Et dire que j’ai failli passer à côté d’un grand David Fincher. Depuis, je n’hésite pas à en enfreindre la première règle : en parler. Et en très bien évidemment.
Une fois de plus, David Fincher nous signe un excellent film qui nous plonge dans une ambiance sombre qui allie combat et philosophie de vie, ce qui amène une certaine réflexion sur notre société de consommation. Fight Club est en effet un film très imprévisible. Doté d'un casting vraiment parfait - Brad Bitt et Edward Norton, deux grands du cinéma américain - ce film est constitué d'un scénario intelligent alliant dialogues extraits d'une profonde réflexion, et combats sanglants où les combattants se lâchent un peu. Car oui, le principe du Fight Club est de faire venir n’importe quelle personne, n’importe quel individu se mettre en scène, afin qu'il puisse lâcher ses émotions, ses peurs, les douleurs de sa vie. Le narrateur fait parti de ce club si particulier. Ce film nous entraîne dans un monde très contrasté entre la vie que l'on doit subir et les relâchements dans les combats pour exprimer la haine qui nous envahi. La fin est juste mythique, et nous laisse bouche bée face à ce que l'on a pu voir durant ces deux heures. Corrosif, jouissif, Fight Club est un vrai bijou de Fincher qui mérite son très grand succès. Ambigu et diaboliquement troublant, ce film vous restera en mémoire.
Fight Club que dire: Un film totalement déjanté, dark, très violent, avec une ambiance de malade, un humour noir vraiment excellent et une mise en scène des plus magistrale. Ce film est une pure merveille. Un film devenu culte et incontournable. De part sa réalisation qui est juste énorme signé par le talentueux David Fincher qui est vraiment un génie en la matière : une mise en scène créatif et stylé avec des effets saccadé, des images subliminale (ça j'adore), des plans de caméra magnifique, vraiment c'est du grand art. L'histoire est très captivant mais aussi complètement malade, très violent et donc très chaotique : une image et une vision de notre société très intéressant et fascinant. Et surtout un twist final des plus explosif, bluffant et inattendu, vraiment c'est assez impressionnant, un coup de maitre. Les acteurs sont juste exceptionnelle et parfait dans leur rôle: Brad Pitt est vraiment excellent, très délirant et piquerai même la vedette a Edward Norton qui est pourtant incroyablement juste dans sa performance. Il y a aussi Helena Bonham Carter qui est génial dans son rôle. La BO est mémorable et colle parfaitement a l'ambiance. Voila ce film est a voir absolument mais ne plaira pas a tout le monde : il faut accrocher mais ce film fait tout pour.
David Fincher est entré dans la légende avec Fight Club qui est parvenu à séduire une génération entière à la recherche de sensations fortes. Le long métrage est un portrait élégant et prétentieux d'un trouble comportemental fantasmé. Via une mise en scène ostentatoire et esthétiquement irréprochable Fincher tient un scénario complet, efficace et sans faille pour amener à son twist final devenu complètement culte. Une œuvre sans précédent, un classique intemporel porté par le talent démesuré de Brad Pitt et Edward Norton.
Un Véritable Ovni. Aprés les Prodigieux Seven et The Game, le cinéaste révolutionnaire David Fincher revient en grande force avec son nouveau Chef D'Oeuvre qui s'inspire du roman de Chuck Palahniuk et qui est parvenu a diviser a sa sortie en salles mais qui au fil des années est devenue un véritable Film Culte. Grace a une Mise en Scène Éblouissante qui possède un Générique sublimement réaliser et qui est servi par une BO électrisante dont le morceau Where Is My Mind conclut d'une manière audacieuse le long métrage. Ensuite le Scénario est quand a lui Brillant et Captivant en étant reflétant d'une façon assez troublante notre Société de Consommation tout en regorgeant de Twist Scénaristiques tétanisantes dont le Dénouement Final nous laisse totalement sans voix avec un rythme frénétique amplement soutenu au cours des 2h15 de film, ajouter a cela une multitude de Séquences Cultissimes qui regorge d'un Humour Destructeur et Cynique rempli de Dialogues savoureuses mais aussi une Tension permanente qui monte littéralement en puissance sans oublier quelques Scènes d'une Violence inouïe ainsi que quelques passages assez Crue et Explicites a déconseiller aux plus sensibles. Enfin la Distribution est quand a elle Parfaite avec en tete d'affiche le talentueux Edward Norton qui est époustouflant dans la peau du mystérieux Narrateur sans nom qui forme un duo détonnant avec l'acteur Brad Pitt qui excelle quand a lui a merveille dans la peau de l’énigmatique et charismatique Tyler Durden un vendeur de savon qui fondent a eux deux un étrange lieu clandestin aux sombres projets, a leurs cotés nos deux protagonistes sont rejoint par d'inoubliables Seconds Roles qui est composer de Héléna Bonham Carter,Jared Leto et Meat Loaf qui y apporte leur édifice au long métrage. En Conclusion, Fight Club est une oeuvre incassable mais aussi l'une des Expériences cinématographiques les plus stimulantes de ces dernières décennies et qui s’avère a la fois Hypnotisant,Dérangeant,Violent et Jouissif qui rentre sans hésitation au panthéon des plus grands films des années 90 ainsi qu'au rang des plus grands Chefs D'Oeuvre de l'histoire du cinéma qui confirme le talent intact de David Fincher qui fait partie des Réalisateurs inestimables et prodigieux dont ce Film mérite amplement d'être vu ou revu en le possédant d'urgence dans sa vidéothèque.