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Le voile de l'ambiguïté est (...) levé : des deux côtés, c'est l'impasse. Et le cinéaste se tient là, au milieu, porte-voix d'une génération pratiquant l'auto-scarification. La caméra virtuose au poing. Et la rage au ventre à l'idée de ne savoir où aller.
Fight Club est un film ouvertement homo. Fight Club n'a rien d'un film homo. Fight Club est un film facho. Fight Club est un film libertaire. Fight Club se termine mal. Fight Club se termine bien. Et, surtout, il débouche sur une impasse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cette satire est parfois très drôle, plutôt bien interprétée, par moments brilllamment mise en scène, sauf qu'elle retombe comme un soufflé. 10/11/1999
(…) au-delà des malaises qu'elle provoque (…) , c'est une œuvre impressionnante et dont on sent qu'elle annonce peut-être une réalité qui, déjà, frappe à nos portes. 12/11/1999
(...) David Fincher ne possède pas les moyens de son ambition. Son film est un objet étrange et assez antipathique, très proche de Tueurs Nés d'Oliver Stone, qui lui aussi ressemblait à ce qu'il voulait dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) David Fincher ne fait que fantasmer sur Tyler, son reflet idéalisé. Il aimerait être un agitateur, un trouble-fête, sauf qu'il n'agite pas grand chose au final, excepté du vent et "quelques effets mode".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Film raté (...), mais peut-être aussi film dangereux, qui abandonne le spectateur à la violence assez malsaine de certaines scènes et aux délires fascistes de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Fincher adore la décomposition, le sordide, le sombre. Dans Seven, dans The Game, il filmait les têtes coupées, les recoins obscurs, la crasse intime avec un talent évident. Dans Fight Club, ce talent même retourne le film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) un film déroutant, étouffant, oppressant, révulsant, déstabilisant, parfois même écoeurant(...). On a toutes les chances de sortir intellectuellement diminué d'une telle épreuve. Mieux vaut être prévenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Il y en aura encore certains pour trouver ce film inventif et drôle (à condition de supporter un spot publicitaire de 2h15 et le cabotinage de Brad Pitt), mais ils n'oseront pas dire que Fight Club est "objet gentil".
L'assommant Fight Club ne sait tout bonnement pas se battre, ce qui tombe mal pour un marathon de 2h15 de bourre-pif supposé. Les perdants de cette mêlée d'idées creuses sont les vedettes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cplanet.com
Corrosif, incisif, résolument "fin de siècle", Fight Club est le film événement de cet automne Un film-culte en puissance.
FHM
Une oeuvre brillamment mise en scène, un film coup de poing qui laisse K.-O.
Lenouveaucinema.com
Le voile de l'ambiguïté est (...) levé : des deux côtés, c'est l'impasse. Et le cinéaste se tient là, au milieu, porte-voix d'une génération pratiquant l'auto-scarification. La caméra virtuose au poing. Et la rage au ventre à l'idée de ne savoir où aller.
Première
Fight Club est un film ouvertement homo. Fight Club n'a rien d'un film homo. Fight Club est un film facho. Fight Club est un film libertaire. Fight Club se termine mal. Fight Club se termine bien. Et, surtout, il débouche sur une impasse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Cette satire est parfois très drôle, plutôt bien interprétée, par moments brilllamment mise en scène, sauf qu'elle retombe comme un soufflé. 10/11/1999
Le Monde
Cette satire est parfois très drôle, plutôt bien interprétée, par moments brillamment mise en scène, sauf qu'elle retombe comme un soufflé.
Le Point
(…) au-delà des malaises qu'elle provoque (…) , c'est une œuvre impressionnante et dont on sent qu'elle annonce peut-être une réalité qui, déjà, frappe à nos portes. 12/11/1999
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) David Fincher ne possède pas les moyens de son ambition. Son film est un objet étrange et assez antipathique, très proche de Tueurs Nés d'Oliver Stone, qui lui aussi ressemblait à ce qu'il voulait dénoncer.
Chronic'art.com
(...) David Fincher ne fait que fantasmer sur Tyler, son reflet idéalisé. Il aimerait être un agitateur, un trouble-fête, sauf qu'il n'agite pas grand chose au final, excepté du vent et "quelques effets mode".
Fluctuat.net
Film raté (...), mais peut-être aussi film dangereux, qui abandonne le spectateur à la violence assez malsaine de certaines scènes et aux délires fascistes de ses personnages.
L'Obs
Fincher adore la décomposition, le sordide, le sombre. Dans Seven, dans The Game, il filmait les têtes coupées, les recoins obscurs, la crasse intime avec un talent évident. Dans Fight Club, ce talent même retourne le film.
Le Figaroscope
Fight Club n'est pas plus "nazi" que "fasciste", tout bonnement anarcho-nauséabond. Débectant, dangereux car porté par le talent.
Le Parisien
(...) un film déroutant, étouffant, oppressant, révulsant, déstabilisant, parfois même écoeurant(...). On a toutes les chances de sortir intellectuellement diminué d'une telle épreuve. Mieux vaut être prévenu.
Les Inrockuptibles
Il y en aura encore certains pour trouver ce film inventif et drôle (à condition de supporter un spot publicitaire de 2h15 et le cabotinage de Brad Pitt), mais ils n'oseront pas dire que Fight Club est "objet gentil".
Libération
L'assommant Fight Club ne sait tout bonnement pas se battre, ce qui tombe mal pour un marathon de 2h15 de bourre-pif supposé. Les perdants de cette mêlée d'idées creuses sont les vedettes.
Positif
Se voulant l'Orange mécanique de cette fin de millénaire, Fight Club n'est en fait qu'un produit "chic et choc" (…)N°467, janvier 2000
Télérama
Fight Club se contente de délayer une mélasse sub-nietzschéenne épicée de violence gratuite.
Cahiers du Cinéma
Globalement, Fight Club rend nécessaire la création du concept culinaire, esthétique, moral, de "film dégueulasse". N°540, novembre 1999
Libération
L'assomant Fight Club ne sait tout bonnement pas se battre, ce qui tombe mal pour un marathon de 2h15 de bourre-pif supposé. 10/11/1999