encore un film nul qui ne montre aucune vérité ! je pense hélas qu'il faudra un épisode des experts pour qu'enfin des américains décérébrés arrivent à comprendre l'ineptie de la magic bullet et de son pauvre bouc émissaire qui n'est pour rien dans l'assassinat de JFK ; certe pas un communiste tout blanc , certe un assassin mais au moins trois tueurs et rien dans le film à part zappruder en train de prendre de l'argent en tant que juif pour son film , pas joli joli pas un mot sur tous les témoins dont les dépositins n'ont jamais été enregistrés , pas un mot sur les témoins assassinés , pardon accidentés, suicidés par dizaine, pas un mot sur kennedy contre le lobby des armes , contre l'armée, contre l'apparhteid , contre la prohibition, sur marilyn couchant avec les deux frères assassinés comme elle, pas un mot sur le cadavre trafiqué de JFK pour masquer les impacts de balles dérangeants, pas un mot sur ruby assassinant le bouc émissaire harvey avant qu'il ne parle alors oui un film pour rien d'une commission warren qui ne tiendrait pas deux minutes aujourd'hui devant des experts français ou meme des gens de bonne volonté.
film poignant, j'ai aimé le mélange d'images d'époque et les scènes avec les acteurs, les jeux d'acteurs sont égaux, et ils jouent tous très bien, le réalisateur a bien retranscrit cette période importante dans la vie américaine. L'émotion est constante du début à la fin du film, j'aurais voulu qu'il dure plus longtemps. A signaler une erreur dans le générique, la mère de Lee Harvey Oswald n'est pas décédée en 2011 mais en 1981. Je recommande ce film il faut aller le voir
Petite déception.. pas mal de scènes trainent en longueur. Et surtout, (ou ai-je dormi ?).on ne nous parle pas de l'autopsie de Washington complètement contraire aux souvenirs tout récemment révélés du jeune interne de Parkland en 63, du cercueil différent..etc !
Le drame qui a frappé l'Amérique le 22 novembre 1963 a déjà fait l'objet de très nombreux films ambitieux. Pour son premier long métrage le réalisateur Peter Landesman a choisi pourtant de revenir sur l'assassinat de Kennedy et la stupeur qui a suivi les jours d'après. Y a t'il pourtant encore quelque chose d'inédit à dire sur cette tragédie ?
Parkland est le nom de l’hôpital de Dallas dans lequel JFK a été emmené dans l'espoir d'être encore sauvé malgré la gravité de sa blessure. A l'occasion du cinquantième anniversaire de cette tragédie, Peter Landsman a choisi d'adapter le de Vincent Bugliosi intitulé Four Days In November : The Assassination Of Président John F. Kennedy. Si le réalisateur a trouvé utile de faire un nouveau film sur le sujet, on pourrait penser que c'est peut être pour apporter de nouveaux élèments pour tenter d'élucider le mystère qui plane autour de cet assassinat. Il n'en est malheureusement rien.
Peter Landesman ne s'est même pas foulé à reproduire la visite du Président ni la tragédie préférant pour cela diffuser les images d'archives que tout le monde a déjà vu et revu même pas passé au même format que le long métrage. Effet de style, le drame n'est montré à l'écran que de façon indirecte via le reflet dans les lunettes ou en off. Il y a pourtant un acteur dans le film pour jouer JFK, il s'agit de Brett Stimely, un sosie du Président qu'on a pu déjà voir dans le rôle dans Watchmen et Transformers 3 et qu'on ne verra ici qu'allongé sur un brancard inanimé au point qu'on aurait pu croire à un simple mannequin. Si on voit plus l'actrice qui incarne Jackie Kennedy (l'inconnue Kat Steffens), elle jouera la tragédie totalement muette.
Alors que l'équipe médicale s'affaire autour du Président, on se croirait presque dans un épisode d'Urgences. Il y a l'interne plein de doute (Zac Effron) et l'infirmière autoritaire mais rassurante (Marcia Gay Harden). On se prend au jeu et on aimerait voir JFK sauvé mais le film raconte la réalité et il n'y a donc rien à espérer. Puis le film s'interresse par la suite à Abraham Zapruder (Paul Giamatti), le pauvre homme qui a filmé malgré lui les images chocs de l'assassinat qu'on voit trimballer par les agents spéciaux mené par Billy Bob Thornton et se faire harceler par la presse.
Le film s'intéresse par la suite à la famille Oswald mais plutôt que de se centrer sur l'assassin présumé Lee Harvey Oswald, c'est son frère Robert Edward Lee qui est au centre du film. Il est interprété par James Badge Dale vu dans Iron Man 3. Il a fort à faire pour essayer de comprendre ce qui a pu passer dans la tête de son frère pour commettre ce crime et tenter de calmer sa mère (Jacki Weaver) qui prone une théorie du complot que beaucoup de gens continue de croire encore aujourd'hui.
On sort de la salle avec l'impression de vraiment n'avoir rien appris de nouveau sur l'assassinat du président mais sans pour autant s'être ennuyé. Parkland est en fait une galerie de personnage attachés à cet événement sans vraiment avoir marqué l'histoire. En ne s’intéressant qu'au trois jours qui ont suivi, le réalisateur ne nous apporte même pas une bribe d'explication sur l'événement et laisserait même croire que Lee Harvey Oswald aurait agit seul contrairement à tout ce que l'on sait maintenant.
L'assassinat de Kennedy est un évènement qui a été vu et revu sous toutes les coutures depuis qu'il a eu lieu et voilà que Peter Landesman décide de l'aborder d'une manière assez originale en nous montrant les conséquences directes qu'il a eu sur quelques personnes dont des agents des services secrets, certains du FBI, des médecins, la famille de Lee Harvey Oswald et sur Abraham Zapruder, l'homme qui a tout filmé et à qui l'on doit ces images qui restent encore d'une violence inouïe même aujourd'hui. Si "Parkland" a le mérite de ne pas s'engager dans les théories du complot (ce qui aurait été maladroit tant le "JFK" d'Oliver Stone est un chef-d’œuvre), il reste alors beaucoup moins intéressant car au final, on aurait pu se passer de la moitié des personnages du film. En effet, si voir les médecins réagir face à l'arrivée du Président dans l'hôpital est intéressant et qu'il était nécessaire de voir Zapruder, le scénario insiste trop sur ses personnages qui se révèlent soit ternes soit maladroits. La partie la plus intéressante devient alors celle centrée sur le frère de Lee Harvey Oswald (joué par un très bon James Badge Dale) qui doit subir les conséquences de l'acte de son frère alors qu'il n'a rien demandé. Mais le sujet ne s'est pas révélé assez fort pour tenir sur un seul film.
C’est filmé d’une façon (pour moi) nouvelle. J’entends par la que cela ne fait pas Biopic, ni même reportage, ni documentaire mais cela nous donne simplement cette sensation d’y être. D’être là ce jour là. D’être là avec le service de sécurité, d’être la avec sa femme, Jacky Kennedy qui tient dans ses mains des morceaux de la cervelle de son mari. D’être là avec l’équipe médicale à Parkland qui fait tout son possible pour sauver Kennedy le Président des Etats Unis, la tête explosée, qu’on vient d’assassiner d’une si atroce façon.. Filmé sans parti pris, c’est vraiment juste comme si nous étions en direct et que l’on assistait à ce terrible drame.
Avec une ambition beaucoup trop importante pour un tel projet, Parkland se perd très vite dans le trop plein de personnages et d’histoires parallèles. En plus, la réalisation est particulièrement lourde et ne fait rien pour sauver le film. Si le projet n’était pas bête, la mise en œuvre n’est pas réussie…
Dommage cela commençait bien. Mais la superficialité que fait régner le nombre de protagonistes, ôte toute analyse détaillée et nouvelle de cette grandiose énigme du XX eme siècle. Malgré tout, les scènes à l’hôpital sont bien réalisées et pleines d'émotions. On devine quand même que cet assassinat n'est pas net et que le complot n'est pas loin. La tension qui règne dans les services secrets, n'augure rien de naturel ni d'honnête. Après 50 années, des montagnes de films et de livres, nous sommes encore à se poser des questions sur cet événement extraordinaire. Ce petit film aurait pu aller plus loin dans son investigation; c'était l’occasion. Raté!
En novembre prochain, l’Amérique commémorera les cinquante ans d’un triste anniversaire : celui de l’assassinat du président Kennedy. Un moment charnière de son histoire. Puisqu’il a sans doute scellé le destin guerrier du pays (certains pensent que Kennedy n’aurait pas déclenché la guerre du Vietnam). Mais sa mort et tout le mystère qui l’entoure ont également hanté toute une génération, développant les germes de la fameuse théorie du complot.
Aujourd’hui encore, ce jeune président est l’objet de tous les fantasmes. Il est presque devenu un objet de fiction à lui tout seul. JFK, Forrest Gump, la série Mad Men, Le Majordome ou encore 22/11/2013, le livre de Stephen King… Kennedy fait partie de l’inconscient collectif. Avec Parkland, Peter Landesman ne tente pas de revisiter le mythe. C’est au contraire la vérité qui l’intéresse. Plus exactement, la vérité de ces anonymes qui ont vécu le drame de plein fouet. Du cinéaste amateur qui a capturé les images de l’assassinat, au membre des services secrets qui avait Lee Harvey Oswald dans son bureau quelque jours plus tôt, au docteur qui a tenté de ranimer le Président ou encore au frère du célèbre tireur… tous ont participé à ce moment de l’Histoire.
Le cinéaste adopte une mise en scène minutieuse, presque clinique, faite essentiellement de plans serrés ou de gros plans sur les personnages. L’image par moments légèrement saturée rappelle le grain des caméra super 8 de cette époque. Cette approche quasi documentaire a le mérite de prendre le recul nécessaire sur l’événement, sans en faire trop dans l’affect. Mais cette neutralité empêche également le film de vraiment décoller. Il se contente d’être une démonstration élégante sur les coulisses « administratives » du drame.
Heureusement, pour redonner chair à cet univers, Parkland s’appuie sur un casting impeccable : Billy Bob Thornton (The Barber), Paul Giametti (The Amazing Spider Man 2), Jacki Weaver (Happiness Therapy, Stocker)… On notera en particulier la prestation de Zac Efron (Paperboy, bientôt dans At Any Price) qui s’éloigne définitivement de son statut de « Teen Star Disney ». Et surtout celle de James Badge Dale (Iron Man 3, Lone Ranger, Flight), éternel second rôle qui gagnerait vraiment à incarner un héros. Avis aux directeurs de casting hollywoodiens…
Le trauma engendré par la mort de Kennedy avait déjà été mis en scène dans JFK, de façon assez remarquable. Là où le film d'Oliver Stone proposait d'apporter une réponse à l'enquête et aux mystères entourant l'assassinat du président américain, Parkland se charge de reconstituer la tragédie et les deux jours qui ont suivi, à travers les yeux (et la caméra) des protagonistes qui y ont participé.
La grande différence entre les deux films réside dans leurs durées respectives. Près de 3h pour la version longue de JFK contre 1h34 pour Parkland. Le travail fourni dans le premier laisse loin derrière le second et il est malheureusement difficile de ne pas faire un comparatif.
Autant certaines scènes comme l'arrivée du président à l'hôpital, encadré par un service secret ensanglanté et complètement dépassé par les événements, constituent une reconstitution assez effarante et terriblement angoissante (le cœur de Kennedy continuait de battre à son arrivé aux urgences ?!?), autant certaines scènes concernant la police locale ou la famille Oswald sont assez bâclés. La réalisation, enchaînant reconstitution et vrais documents de l'époque est assez foutraque, déjà vu, voire paresseuse. Parkland n'est donc pas un mauvais film mais il aurait eu le mérite d'être un peu plus fouillé et moins brouillon dans sa confection. On aurait aimé un peu plus de conviction.
Sans intérêt. Mal fait, il n'y a pas sujet à scénario. On saura le verité dans 50 ans, quand les archives seront de classifiées. Sinon cela a permis aux studios de sortir leurs voiture d'il y a 50 ans pour le tournage. C'est le seul intérêt de ce machin ennuyeux.
Parkland est le type même du film qui a plus une valeur pédagogique que cinématographique. Son but est de montrer les évènements de Dallas à des personnes qui ne les connaitraient pas. Toutefois, quand on connait un peu l'histoire, on n'apprend hélas pas grand chose bien qu'une piqure de rappel n'est jamais mauvaise. De plus, la volonté d'être le plus objectif possible fait qu'aucune thèse n'est abordée (Oswald unique coupable ou bien bouc-émissaire d'un complot ?) et on se limite à la description des évènements se déroulant dans les 4 jours suivant l'assassinat, le tout filmé sans véritable intérêt cinématographique ou scénaristique. Sur le même sujet, il vaut mieux voir le JFK d'Oliver Stone, peut-être plus contestable sur le plan historique mais beaucoup plus excitant cinématographiquement parlant.