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27 critiques presse
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
(...) Terry Gilliam est un grand désespéré. Mais un désespéré à l'anglaise, ne se départant jamais d'un solide sens de l'humour et d'une certaine distance qui lui permettent, au final, de ne juger personne, (...)
20 Minutes
par La rédaction
L'inventivité du réalisateur de "Brazil" (1985) est toujours aussi fertile et riche en éclats de rire qui s'étranglent parfois dans la gorge... Courez vite découvrir ce joyau sombre stimulant pour les zygomatiques et les cellules grises.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
30 ans après l'extraordinaire "Brazil" – qui dépeignait génialement une société totalitaire et absurde, tournant en boucle - Terry Gilliam livre la critique violente et stylisée d'un monde ultra-connecté soumis à ses nouveaux maîtres.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Alain Grasset
Sombre, angoissant, déjanté, c'est du pur Terry Gilliam.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TéléCinéObs
par François Forestier
(...) c'est de la science-fiction dingue, survoltée, ironique. Mais nous, on aime.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
CNews
par La Rédaction
Le film s’interroge notamment sur la solitude des hommes dans un monde ultra-connecté et contrôlé. Une vision intéressante mais un peu surannée, malgré une esthétique foutraque attachante et un casting improbable.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Arrivé comme un cheveu sur la soupe, "Zero Theorem" trouve tout de même à se démarquer en troquant l'exploit larger than life de 1985 contre une vision gentiment cartoonesque.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Thomas Gilbert
POUR : Au-delà de ses qualités visuelles, "Zero Theorem" est une oeuvre généreuse, exigeante, qui laisse la place à la réflexion. Certains diront que Gilliam ne sait pas quoi dire. Il sera le premier à s'en féliciter. Car cela signifie que le débat est ouvert.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Pas très puissant, même si on est heureux de constater que des soixante-huitards allumés comme Gilliam peuvent toujours continuer à créer en marge d’Hollywood. De tout ce barnum, on ne retiendra pas Christoph Waltz, mais la piquante Mélanie Thierry, sous-employée par le cinéma français malgré son insondable fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Mehdi Omaïs
Si ce jusqu'au-boutisme revêt un caractère touchant, son scénario schématique et ses décors constituent le talon d'Achille d'une entreprise louable.
Première
par Gérard Delorme
Certes, il y a quelque chose de démodé dans cette vision pessimiste d'un avenir contrôlé par les machines, mais Gilliam l'illustre avec son habituelle exubérance visuelle et il est difficile d'y résister.
TF1 News
par Alexandre Le Floch
Des années après "Brazil" auquel on pense beaucoup, le réalisateur Terry Gilliam compense généreusement le manque de moyens avec beaucoup d'esprit, d'humour et de malice. C'est d'autant plus attachant que les acteurs sont de bonne compagnie (...).
L'Ecran Fantastique
par Fred Pizzoferrato
CONTRE : (...) Malgré cette charge caustique virulente et une poignée de scènes mémorables, le film n'est pas la complète réussite escomptée et souffre de faiblesses parfois embarrassantes. "The Zero Theorem" signe cependant le retour à demi-convaincant de Gilliam après le décevant "L'Imaginarium du Docteur Parnassus".
L'Humanité
par Vincent Ostria
Décoratif, stylisé à mort, mais pas très consistant, ni pertinent.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Entre pensum mystico-scientifique et description d’un monde déshumanisé (…) où le lien entre les êtres semble s’être volatilisé, Terry Gilliam livre une œuvre extravagante, débordante, terriblement bavarde et, pour tout dire, fatigante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Terry Gilliam épingle notre société devenue esclave de la technologie dans une fable d'anticipation ubuesque et à l'esthétique démodée, où les acteurs semblent eux-mêmes perdus. Une sorte de version modernisée mais ratée de son génial "Brazil".
Le Monde
par Sandrine Marques
Terry Gilliam tente de renouer ici avec ses succès populaires. Pour ce faire, il travaille de nouveau la matière chatoyante de l'allégorie politique. Mais il n'en libre qu'une pâle réplique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Terry Gilliam revient se frotter au “futur” dystopique qui lui a tant réussi par le passé. Mais il le fait avec un manque d'inspiration attristant, au fil d'un récit passablement confus.
Mad Movies
par Cédric Delelée
(...) Mais la forme proche de l'amateurisme, la narration redondante et les caractères outrés font qu'on ressort de ce triste foutoir avec la nette sensation d'avoir assisté à l'autodestruction d'un auteur de plus en plus anachronique (...).
Positif
par Pierre Eisenreich
L'absurde peut être drôle et intéressant, mais uniquement s'il se mesure à la rationalité qui le génère. Ici, la raison est évitée, alors à quoi bon?
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
par Benoît Smith
À ce point d’incapacité de l’"auteur" à se sortir de l’impasse de sa propre signature, nos derniers espoirs prennent le même chemin que l’esprit du héros : vers un néant intersidéral.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Jacques Braunstein
En rejouant la formule de "Brazil", anticipation visionnaire, Terry Gilliam acouche d'une parodie embarrassante et frôle le zéro pointé.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une fable S-F lourdingue, loin de l’esprit Monty Python.
Ouest France
par La Rédaction
Le retour raté de Terry Gilliam.
Télérama
par Jérémie Couston
Les affreuses scènes fantasmées, sur une plage paradisiaque recréée dans un studio roumain, en disent long sur le naufrage de cet europudding.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Si on retrouve bien l’esprit de Terry Gilliam, marginal devant l’éternel hollywoodien, le résultat ressemble davantage aux chutes d’un ersatz de Jean-Pierre Jeunet. En résulte une dilatation ennuyeuse de l’espace-temps qui confine à l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
(...) Terry Gilliam est un grand désespéré. Mais un désespéré à l'anglaise, ne se départant jamais d'un solide sens de l'humour et d'une certaine distance qui lui permettent, au final, de ne juger personne, (...)
20 Minutes
L'inventivité du réalisateur de "Brazil" (1985) est toujours aussi fertile et riche en éclats de rire qui s'étranglent parfois dans la gorge... Courez vite découvrir ce joyau sombre stimulant pour les zygomatiques et les cellules grises.
Franceinfo Culture
30 ans après l'extraordinaire "Brazil" – qui dépeignait génialement une société totalitaire et absurde, tournant en boucle - Terry Gilliam livre la critique violente et stylisée d'un monde ultra-connecté soumis à ses nouveaux maîtres.
Le Parisien
Sombre, angoissant, déjanté, c'est du pur Terry Gilliam.
TéléCinéObs
(...) c'est de la science-fiction dingue, survoltée, ironique. Mais nous, on aime.
CNews
Le film s’interroge notamment sur la solitude des hommes dans un monde ultra-connecté et contrôlé. Une vision intéressante mais un peu surannée, malgré une esthétique foutraque attachante et un casting improbable.
Chronic'art.com
Arrivé comme un cheveu sur la soupe, "Zero Theorem" trouve tout de même à se démarquer en troquant l'exploit larger than life de 1985 contre une vision gentiment cartoonesque.
L'Ecran Fantastique
POUR : Au-delà de ses qualités visuelles, "Zero Theorem" est une oeuvre généreuse, exigeante, qui laisse la place à la réflexion. Certains diront que Gilliam ne sait pas quoi dire. Il sera le premier à s'en féliciter. Car cela signifie que le débat est ouvert.
Les Inrockuptibles
Pas très puissant, même si on est heureux de constater que des soixante-huitards allumés comme Gilliam peuvent toujours continuer à créer en marge d’Hollywood. De tout ce barnum, on ne retiendra pas Christoph Waltz, mais la piquante Mélanie Thierry, sous-employée par le cinéma français malgré son insondable fantaisie.
Metro
Si ce jusqu'au-boutisme revêt un caractère touchant, son scénario schématique et ses décors constituent le talon d'Achille d'une entreprise louable.
Première
Certes, il y a quelque chose de démodé dans cette vision pessimiste d'un avenir contrôlé par les machines, mais Gilliam l'illustre avec son habituelle exubérance visuelle et il est difficile d'y résister.
TF1 News
Des années après "Brazil" auquel on pense beaucoup, le réalisateur Terry Gilliam compense généreusement le manque de moyens avec beaucoup d'esprit, d'humour et de malice. C'est d'autant plus attachant que les acteurs sont de bonne compagnie (...).
L'Ecran Fantastique
CONTRE : (...) Malgré cette charge caustique virulente et une poignée de scènes mémorables, le film n'est pas la complète réussite escomptée et souffre de faiblesses parfois embarrassantes. "The Zero Theorem" signe cependant le retour à demi-convaincant de Gilliam après le décevant "L'Imaginarium du Docteur Parnassus".
L'Humanité
Décoratif, stylisé à mort, mais pas très consistant, ni pertinent.
La Croix
Entre pensum mystico-scientifique et description d’un monde déshumanisé (…) où le lien entre les êtres semble s’être volatilisé, Terry Gilliam livre une œuvre extravagante, débordante, terriblement bavarde et, pour tout dire, fatigante.
Le Journal du Dimanche
Terry Gilliam épingle notre société devenue esclave de la technologie dans une fable d'anticipation ubuesque et à l'esthétique démodée, où les acteurs semblent eux-mêmes perdus. Une sorte de version modernisée mais ratée de son génial "Brazil".
Le Monde
Terry Gilliam tente de renouer ici avec ses succès populaires. Pour ce faire, il travaille de nouveau la matière chatoyante de l'allégorie politique. Mais il n'en libre qu'une pâle réplique.
Les Fiches du Cinéma
Terry Gilliam revient se frotter au “futur” dystopique qui lui a tant réussi par le passé. Mais il le fait avec un manque d'inspiration attristant, au fil d'un récit passablement confus.
Mad Movies
(...) Mais la forme proche de l'amateurisme, la narration redondante et les caractères outrés font qu'on ressort de ce triste foutoir avec la nette sensation d'avoir assisté à l'autodestruction d'un auteur de plus en plus anachronique (...).
Positif
L'absurde peut être drôle et intéressant, mais uniquement s'il se mesure à la rationalité qui le génère. Ici, la raison est évitée, alors à quoi bon?
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
À ce point d’incapacité de l’"auteur" à se sortir de l’impasse de sa propre signature, nos derniers espoirs prennent le même chemin que l’esprit du héros : vers un néant intersidéral.
GQ
En rejouant la formule de "Brazil", anticipation visionnaire, Terry Gilliam acouche d'une parodie embarrassante et frôle le zéro pointé.
Le Dauphiné Libéré
Une fable S-F lourdingue, loin de l’esprit Monty Python.
Ouest France
Le retour raté de Terry Gilliam.
Télérama
Les affreuses scènes fantasmées, sur une plage paradisiaque recréée dans un studio roumain, en disent long sur le naufrage de cet europudding.
aVoir-aLire.com
Si on retrouve bien l’esprit de Terry Gilliam, marginal devant l’éternel hollywoodien, le résultat ressemble davantage aux chutes d’un ersatz de Jean-Pierre Jeunet. En résulte une dilatation ennuyeuse de l’espace-temps qui confine à l’ennui.