Frances Ha
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273 critiques spectateurs

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Stéphane R
Stéphane R

25 abonnés 365 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 21 septembre 2023
Chronique sympathique, sous emprise nouvelle vague. Belle interprétation de Greta Gerwig.
Attachant mais cela demeure une œuvre assez mineure
Julien Vasquez
Julien Vasquez

32 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 janvier 2020
Plus que les aventures d'une chorégraphe ratée, Frances Ha est l'histoire d'une amitié å toutes épreuves.
Didier C.
Didier C.

21 abonnés 95 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 4 juin 2024
Un film qui traite de la difficulté à accepter l'âge adulte avec légèreté et loufoquerie. Frances cristallise toute cette problématique avec une énergie physique et verbale énorme qui m'a fait navigué tantôt vers l'attachement, tantôt vers l'agacement. Malgré les nombreuses qualités du film, j'ai tout de même été gêné par ce cinéma indé new-yorkais assez cliché semblant s'adresser à un public de bobos. Il en perd de son caractère universel. Dommage.
chatiment
chatiment

18 abonnés 406 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 15 juillet 2013
bein, c'était chiant, lent, lourd, j'avais l'impression que c'était des personnes qui se filmées comme ça.
soniadidierkmurgia
soniadidierkmurgia

1 226 abonnés 4 205 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 15 janvier 2014
Noah Baumbach est un cinéaste indépendant apparu en 2005 avec le très remarqué "Les Berkman se séparent". Ses deux films suivants "Margot va au mariage" et "Greenberg" déjà avec Greta Gerwig dans un rôle secondaire, passent relativement inaperçus. "Frances Ha", sa dernière production si elle reste confidentielle aux States , rencontre un franc succès critique en France lui permettant de dépasser les 200.000 entrées. Comme Woody Allen, Noah Baumbach est un juif new yorkais dont il se montre ici le digne héritier, prolongeant l'oeuvre du maître en adaptant les mêmes thématiques aux préocupations des années 2010 ce que Allen maintenant âgé de 78 ans n'est plus en mesure de faire (en vérité la veine autobiographique chez Woody Allen s'était tarie dès 1997 avec "Harry dans tous ses états") . Allen à la manière de Chaplin se mettait lui-même en scène pour exprimer ses doutes existentiels au moyen de comédies douces-amères très bavardes, rythmées allègrement par les musiques ayant bercées son enfance (Gerschwin, Cole Porter, Django Reinhardt, Sidney Bechet, Duke Ellington,...). Noah Baumbach ne procède pas autrement avec "Frances Ha" en transposant ses interrogations sur un personnage féminin interprétée par Greta Gerwig devenue sa muse et qui heureux hasard a tourné juste avant avec Woody Allen dans "To Rome with love" (2011). Si le propos et l'humour d'Allen étaient essentiellement inspirés de la communauté juive new yorkaise , Noah Baumbach enfant de la mondialisation est plus préoccupé par les moeurs d'une génération qui doit se construire dans un monde qui bascule dans l'incertitude permanente du lendemain et qui dans le cas présent doit apprendre à vivre en communauté dans les grandes métropoles aux loyers devenus inaccessibles. C'est justement les pérégrinations de Frances, jeune danseuse immature que nous suivons dans sa quête d'un chez soi bien à elle qui lui permettra d'enfin affirmer sa personnalité quitte à devoir sacrifier comme nous le montre la scène finale, les dernières lettres de son patronyme pour faire entrer l'étiquette qui marque sur la boîte aux lettres de son nouvel appartement l'affirmation de son existence propre. Il était temps pour Frances qui semblait s'être endormie seule dans l'adolescence alors que ses colocataires successifs et notamment sa meilleure amie Sophie, filaient tous à grand train vers leur vie d'adulte. C'est cet abandon des oripaux de l'enfance, plus long et douloureux pour certains dont nous parlent Baumbach et Gerwig. Mais qu'on se rassure, le parcours de la jeune femme somme toute très saine et équilibrée sera fait d'embûches jamais très graves comme chez Allen, parsemé de petites saynètes tour à tour drolatiques ou émouvantes qui nous réchauffent le coeur. Greta Gerwig, actrice issu du mouvement mumblecore qui fait la part belle à l'improvisation, est confondante d'une spontanéité et d'une naïveté dont elle nous apprend qu'elles n'arrivaient souvent qu'à la trentième prise réclamée par le réalisateur, quand la fatigue lui otait toute possibilité d'intellectualisation de la scène. Baumbach amoureux du cinéma français y fait souvent référence notamment à la musique de Georges Delerue. La photo en noir et blanc fait à nouveau penser à Woody Allen ("Manhattan") dont l'ombre tutélaire bienveillante semble planer sur tout le film. Si Baumbach a trouvé en Greta Gerwig sa Diane Keaton ou sa Mia Farrow, quelques jolis films inspirés sont à venir . Personne ne sans plaindra.
Arthur Debussy
Arthur Debussy

165 abonnés 706 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 11 août 2017
Cela faisait longtemps que je voulais voir ce film. Son affiche et sa bande-annonce m'intriguaient, et puis ce nom : Frances Ha, comme quelque chose d'insaisissable, de charmant et maladroit à la fois. A l'image de ce film, parfois profondément énervant, et parfois profondément touchant. « Frances Ha » c'est l'histoire de loosers magnifiques, aux premiers rangs desquels les deux héroïnes principales : Frances et sa meilleure amie Sophie. Incapables de grandir, approchant la trentaine, elles vivent ensemble en colocation et de manière complètement fusionnelle. Bien que très différentes, elles ont les mêmes « trips », le même goût pour des choses qui paraîtraient ridicules ou infantiles pour d'autres personnes de leur âge. Elles sont vraiment faites l'une pour l'autre, et leur « adulescence » semble vouée à durer toute leur vie... Jusqu'au jour où Sophie décide d'emménager avec une autre amie dans un quartier plus huppé. Frances vit cette décision comme une trahison, et alors que Sophie semble enfin prendre sa vie en main et devenir adulte, Frances, en comparaison, paraît s'enfoncer toujours plus dans l'infantilisme et rater sa vie, de malentendus en maladresses, de choix absurdes en amitiés passagères. Personne ne peut remplacer Sophie, et mieux comprendre Frances, ce qui la désespère vraiment. Pendant un certain moment, on assiste ainsi à l'errance de Frances, à sa vie qui part complètement à vau-l'eau, à un point tel que ça en devient agaçant. Le film devient un condensé de loosers, de moments de loose totale, de loose esthétisée pourrait-on dire. Mais deux choses viennent contrebalancer cet aspect pour le moins horripilant : la fin, lumineuse, et Greta Gerwig, l'actrice qui joue Frances. Son jeu très physique, plus vrai que nature, étonne et envoûte. Comment ne pas s'attendrir devant ses tentatives répétées – et ratées – de viser la lune ? Elle est vraiment l'âme de ce film, et le réalisateur ne s'y est pas trompé : tout tourne autour d'elle. L'esthétique et le ton du film, à la croisée de la Nouvelle Vague française, de Woody Allen et même de la tendre maladresse de « The Shop Around the Corner » de Lubitsch, viennent sublimer le personnage de Frances, et s'il y a beaucoup de pose mi-bobo mi-hipster, s'il y a un verni intello névrosé passablement agaçant, « Frances Ha » est au fond l'histoire d'une fille qui veut vivre ses rêves jusqu'au bout, mais pas une histoire de conte de fées ou de carte postale, juste une histoire humaine, terriblement humaine, joyeusement et bordéliquement humaine. Et qui, tout bien pesé, vaut le coup d'être suivie.
BeatJunky
BeatJunky

158 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 janvier 2015
P'tit film agréable même si pas passionnant.... Pourtant, j ai suivi les péripéties de cette jeune fille marrante qui doit se trouver sa propre voie, grandir et trouver sa propre identité a partir du moment où sa meilleure amie décide de casser leur relation fusionnelle.... Une histoire pas forcément passionnante mais sincère et finalement très touchante grâce à essentiellement à une Greta Gerwig parfaite pour ce rôle...
Alolfer
Alolfer

140 abonnés 1 230 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 26 mai 2024
il est assez difficile de retranscrire à l'écran, la mélancolie d'un ou personnage. Frances Ha de Noah Baumbach a réussi ! Entre autre, avec une Greta Gerwig très talentueuse en tant qu'actrice. Atypique, film indépendant américain, Frances Ha réussit à sortit du lot. 1h20 suffit pour s'attacher au personnage de Frances. Un très bon film
THE-CHECKER
THE-CHECKER

113 abonnés 713 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 22 février 2014
Réalisé dans le plus pur style New Yorkais propre aux films de Woody Allen, Frances Ha raconte les (més)aventures d'une jeune femme enfant acceptant difficilement l'idée de devoir grandir comme tout le monde, confortablement vautrée au sein d'une amitié quasi fusionnelle (à la limite de l'ambiguïté) propre à entraver toute initiative d'émancipation.
Transcription Ricaine de la Bobo Parisienne, le film brosse le portrait très "matériellement comblé" d'une succession de personnages visiblement trop préoccupés par leurs petites personnes pour pouvoir saisir l'ampleur du gouffre abyssale caractérisant la vacuité de leurs dilemmes existentiels, laissant fatalement de marbre tout individu ayant une expérience du réel un peu plus piquante que cette fable moderne sur l'oisiveté narcissique érigée en mode de vie à part entière.
Ainsi donc, à moins de s'extasier devant une meuf courant les rues de New York sur fond de David Bowie (agrémentés de quelques pas de danse au passage pour le style), pas grand chose à se mettre sous la dent avec ce film tout juste bon à entretenir une douce fascination pour le spectacle sociologique désolant qu'il propose malgré lui...
brunocinoche
brunocinoche

101 abonnés 1 114 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 29 novembre 2013
En tant que cinéaste new-yorkais indépendant, Baumbach me fait plus penser à un Hal Hartley, disparu aussi vite qu'il apparut qu' à un Jim Jarmush qui devint très vite et à juste titre un cinéaste majeur. Filmer son actrice favorite au quotidien dans un New York en noir et blanc ne suffit pas pour s'imposer en cinéaste crédible.
kevinsolstice
kevinsolstice

63 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 3 octobre 2014
oh la belle surprise, tout est extra, les acteurs, la bande son, l'histoire, les dialogues, j'en redemande
stormlord
stormlord

24 abonnés 47 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 25 juillet 2013
Une petite perle d'insouciance, de sentiments vrais, de légèreté et de naturel...
Caroline C
Caroline C

29 abonnés 386 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 22 août 2013
Dans la droite ligne des films indépendants américains, ce Frances Ha ne surprend guère par son histoire d'une looser en quête d'indépendance. C'est très bavard, un peu cucul, et quelques situations sont assez improbables (le voyage à Paris). Mais au diable ces défauts, ce film est l'occasion de découvrir la trombine et la dégaine de Greta Gerwig, tornade blonde et souriante, agaçante mais attachante. Rien que pour elle, Frances Ha vaut le déplacement !
Orno13
Orno13

16 abonnés 677 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 17 octobre 2024
Un bon film indépendant américain de la part de Noah baumbach filme en noir et blanc mettant en scène deux jeunes filles colocataires dans un New York superbe.
Frances l une des colocataires joue admirablement par greta gerwing, pétillante et par moment insupportable mais tellement attachante, si attachante qu on est captivé par cette jeune femme qui se laisse aller, et accueille tous ses péripéties avec une grande désinvolture qu au final on en reste qu admiratif.
Jean Francois L
Jean Francois L

15 abonnés 600 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 7 août 2013
On a certainement tous une copine qui nous fait penser à ce personnage qu'est Frances..., attirante, exubérante, ennervante. On suit ses aventures avec plaisir dans cette atmosphere noir et blanc qui nous fait perdre la notion du temps, de l'époque, à travers un New York et un Paris façon Woody Allen. Des seconds roles qui retiennent aussi l'attention. Sont ils vraiment incasables ou veulent ils seulement rester le plus longtemps possible sans contraintes, sans responsabilités, et profiter de la vie comme des adolescents. Ca se laisse donc suivre, découvrir, mais je me dis aussi en sortant, mise à part de belles lumières pour rendre ce noir et blanc agréable à regarder, qu'il parait facile de faire un film...
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