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    Frances Ha
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    3,8
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    271 critiques spectateurs

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    officiel76
    officiel76

    39 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 juillet 2013
    j'ai envie de hurler. à l'imposture, contre tous ces critiques qui encensent des films de spoiler: merde
    , ou il ne se passe rien, où il n'y a pas scénario, où les héroînes sont spoiler: connes
    à vomir, où l'histoire- mais d'ailleurs y'a t'il une histoire - montre une pétasse qui décide de partir passer un week end à paris parce qu'on lui prête un appartement dans le VIème (naturellement) après qu'elle ait épuisé toutes les situations possibles, cohabité avec tout le monde possible, bu tout ce qui était possible, créant ainsi des historiettes toutes plus inintéressantes les unes que les autres, bref, tous les clichés bobos, la mentalité avachie, de ces gens qui passent leur temps à faire les mauvais choix parce qu'ils ne valent pas mieux, qui ne ressemblent à rien et qui n'ont rien à nous apprendre ni rien à montrer. ce film est une bouse, et fort heureusement, il n'y avait pas grand monde dans la salle pour regarder cette daube. il y a des gens payés pour écrire ce genre de trucs ? c'est tellement navrant....et la critique française encore plus. A fuir !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    Tout est tellement antipathique qu'on se demande qui peut sincèrement apprécier. Ce personnage de petite nana new-yorkaise restée grande ado mais qui doit s'assumer aurait de quoi séduire s'il n'était aussi faux que le noir et blanc vidéo dans lequel c'est filmé. Une des arnaques majeures de l'année. Crispant!!!
    pierrepp
    pierrepp

    13 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    un vrai film indé US, passionnant par son héroine atypique et attachante, dans un new york en noir et blanc que n'aurait pas renié woody !
    velocio
    velocio

    1 184 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2018
    "Kicking and Screaming", le premier film de Noah Baumbach, n'est jamais sorti dans les salles de cinéma françaises. Il date de 1995. Même punition pour les 2 suivants. Ce n'est qu'à partir de son 4ème film, "Les Berkman se séparent", sorti en 2005, que les distributeurs français s'intéressent à ce réalisateur new-yorkais. Depuis, une certaine critique française s'est emballée sur le cinéma de ce proche de Wes Anderson. Cette quasi hystérie est-elle vraiment justifiée, avec ses références à Woody Allen et à la Nouvelle Vague de Godard et de Truffaut ? La réponse est malheureusement négative et quand on sort d'un film en ayant l'impression d'avoir perdu son temps sur toute la ligne, on est partagé entre frustration et colère. Davantage encore quand on espérait se retrouver face à une œuvre qui, avec le recul, pourrait prétendre occuper une place importante dans le cinéma des années 10. Il est malheureusement (ou heureusement!) probable que ce film particulièrement creux, snob et prétentieux sera rapidement oublié.
    Thierry M
    Thierry M

    135 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    je n'ai pas du tout adhérer à cette histoire , c'est super désagréable.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 juillet 2013
    A croire que les critiques "intellos" fument regulierement la moquette avant de se payer une toile avec leurs billets dithyrambiques... Ca vaut a peine pas plus que 2 etoiles juste comme une carte souvenir de la nouvelle vague et du nouveau roman... Mais justement qu en reste t il?
    Jmartine
    Jmartine

    151 abonnés 654 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 juillet 2013
    Film en noir et blanc dommage qu'il ne soit pas muet ...film irritant, bavard, j'ai failli sortir de la salle !!
    Clingo
    Clingo

    48 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juillet 2013
    Let's Dance !!

    spoilers, ne surtout pas lire pour ne rien se gâcher

    Jamais la fin d'un film n'aura produit cette sensation, étrange, d'être partagé entre deux émotions, de ne pas savoir quoi choisir entre la joie et la tristesse qui s'offrent à nous. Peut-être ne faut-il simplement pas choisir, et se laisser submerger par la bouleversante vague qui emporte le spectateur alors que le dernier Noah Baumbach se termine. spoiler: Quand Frances trouve enfin son chez-soi
    et clôt ainsi une étape de son passage à l'âge adulte, on est content pour elle, parce que son inadaptation au monde s'est quelque peu réduite entre le moment où on l'a découverte et celui où on la quitte. Frances a grandi, mais subtilement grandi, par petites touches successives, sans que le film ne surligne les choses et sans que de grandes leçons sur la vie ne nous soient assénées. Il y a bien une quête initiatique dans Frances Ha, mais l'intelligence du film tient principalement dans sa capacité à ne pas créer d'emphase, à jouer sa partition sans y privilégier ça et là un quelconque exploit de mise en scène ou de scénario ( on peut opposer à cette idée la séquence reprise de Mauvais Sang, mais elle découle d'un choix de mise en scène intelligent plutôt que d'une volonté d'en mettre plein la vue ). Quand Great Ha Gerwig part pour Paris, c'est magique. Là encore les effets sont absents : aucun discours sur l'identité parisienne ( la Tour Eiffel y est vaguement décorative, tout comme l'Arc de Triomphe, Frances passe devant le Café de Flore sans y lire du Sartre et rencontrer un charmant français, " piège " que n'aurait pas évité Woody Allen par exemple ). L'escapade parisienne ne sert à rien, spoiler: aucune aventure amoureuse n'y naîtra
    , sinon à dessiner un peu plus les traits de la psychologie de son personnage principal. Le voyage en France est un coup de tête qui n'a aucune arrière-pensée complaisante. Paris a bien une valeur fantasmatique - comme souvent, mais c'est une ville qui le mérite -, seulement, cette veine n'est pas creusée et Frances n'est jamais sacrifiée sur l'autel de l'action. Effet purement baumbachien, pour qui le déroulement de l'intrigue a moins d'importance que la personnalité de ses personnages. Il s'agit d'un cinéma délicat, qui fait l'amour au lieu de baiser, qui dit les choses avec juste ce qu'il faut pour qu'on les comprenne, et le début du film par exemple, succession rapide de scènes entre les deux meilleures amies, dit tout de leur relation complice et fusionnelle et anéantit toute trace de surexplication. C'est une preuve par ailleurs qu'il est possible de faire des films bavards tout en sachant mettre en scène, de faire parler les personnages aussi bien que les images.

    Dans le même ordre d'idées, il faut voir la manière dont le film construit sa narration, classique dans les grandes lignes, mais dont l'intérêt réside dans un certain décalage jusqu'au-boutiste. Plusieurs scènes montrent ce décalage entre Frances et les autres - en premier lieu, avec Sophie, qui grandit sans elle - et se concluent par une chute qui ne ressemble pas à la conclusion " normale " d'une scène de cinéma. Quand Frances se bat pour jouer, Rachel ne le supporte pas parce qu'elle n'est plus une enfant, et si Frances s'arrête au bout de quelques réprimandes, elle ne semble pas pour autant saisir la portée de son acte et son côté étrange ne disparaît pas à la fin de la scène, mais contamine encore plus le film. Dans son entier, le dernier Noah Baumbach est parcouru par de petites bizarreries qui rebutent un peu avant de séduire, et le vecteur principal en est le personnage central, à l'opposé du Ben Stiller de Greenberg. Là où ce dernier était contrit et n'exprimait pas beaucoup de choses, Frances est au contraire plus expansive, légère, pétillante, surtout grâce à son actrice, sublime Greta Gerwig qui donne toute sa beauté au personnage qu'elle incarne. L'immédiat attachement du spectateur au personnage naît de sa loufoquerie, sa maladresse, son charme exquis de fille qui ne sait jamais où elle va et qui n'est pas trop à sa place où qu'elle soit. Les appartements où vit Frances se succèdent, et avec eux les chances de réussite professionnelle. Mais malgré les échecs répétés, Frances tient debout et garde son optimisme. Le film est traversé d'un bout à l'autre par un éclat ravageur, certes peu souligné, mais étonnamment puissant. Le côté Nouvelle Vague du Baumbach ne naît pas d'une éventuelle utilisation de la grammaire du septième art ( jump-cut et autres adresses au spectateur sont quasiment absents du film ), sinon d'une vitalité qui déborde de l'écran. Tout semble improvisé, pris sur le vif, joué comme bon semble aux acteurs. Les dialogues sont des dialogues de tous les jours, d'un naturel qui force l'admiration, et le quotidien est sublimé. L'impression que laisse le film est que ce que nous voyons appartient moins à un cadre cinématographique qu'à la vie. La tristesse évoquée plus haut, justement, naît de là. De cette sensation que Frances va continuer à vivre sa vie, mais sans nous, et que le précieux témoignage biographique qui nous a été offert pendant 1h25 s'arrête bel et bien. Et derrière la peine se cache la satisfaction, avec cette idée que Frances a suffisamment pris son indépendance pour ne plus avoir besoin de quiconque pour continuer son expérience. Parce que ça n'est pas que du cinéma et qu'au-delà du film, Frances danse encore et toujours.

    Dans ce film d'amitié et d'amour, dans cette quête initiatique qui n'est rien d'autre qu'une magnifique célébration de la vie et où le noir et blanc donne naissance à une oeuvre lumineuse, on ne sait pas toujours où l'on va ni comment on y va. Mais une fois arrivés, on se dit que le voyage en valait bien la peine et on est heureux d'être entré dans la danse avec Frances. Bouleversant, tendre, généreux, drôle, émouvant, intelligent, sensible, délicat et joyeux : le plus beau film au monde.
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 juillet 2013
    Un film (et un personnage) fort agaçant, énervant, crispant, voire idiot... on a très vite envie de la laisser tomber à ses délires narcissiques inutiles... à fuir !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 juillet 2013
    ce film malhonnete invente un nouveau genre : le narcissisme du scenario. A tout moment, le texte semble se regarder dans le miroir pour se contempler et se demander si l'effet de la phrase, du bon mot, de la pensee profonde est bien reussi. Consequence : les personnages sont irritants et ne laissent aucune place a la projection du spectateur puisqu'ils occupent toutes les places... et en fin de compte aucune.
    Film a fuir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 juillet 2013
    On nous a un peu vendu ce film comme la "comédie de l'été", drôle, rafraîchissante, et patati patata... Bon eh bien le résultat est assez loin de ça. Ce que je regretterais surtout, c'est un mauvais équilibre trouvé, entre d'une part toute la fixation sur l'héroïne, sa vie, avec de longues scènes de dialogues (parfois drôles parfois moins) et de l'autre un metteur en scène qui essaie de se trouver sans y parvenir, à part la séquence référence à Mauvais Sang le reste est plutôt moyen, pour ne pas dire mauvais : tous ces moments où se superposent des éléments de vie de l'héroïne (comme au tout début) avec une musique derrière pas vraiment enivrante, m'ont clairement emmerdé. Le choix du noir et blanc, je me demande encore si c'est aussi judicieux que ça. Surtout que ce choix laisse présumer une opposition dans le récit, entre un côté drôle et un triste, or ce-dernier, je l'ai jamais trouvé... Car soit le film est drôle, et dans ce cas on rigole (quoique), soit c'est désespérant, mais il y a tellement d'ironie là-dedans que jamais je n'ai trouvé ça triste, déprimant, comme si l'héroïne savait qu'elle allait se rattraper et que tout irait bien. Enfin sur le côté de l'humour, là-aussi je suis partagé. Car c'est de l'humour assez risqué. Ce genre d'humour décalé, soit on en fait tout un film (donc un truc totalement barré, déjanté, fou - ce qui n'est pas le cas ici) soit on le dose de temps à autres, mais à côté de ça on a une vraie base. Or ici, la base, c'est ça justement, et cet humour marche 1 fois sur 2 ou 3, et quand le côté "décalé" tombe à plat, ça en devient ridicule... Bref au-delà de ça c'est surtout l'absence de réel style du metteur en scène qui m'a énervé, car l'histoire tient plutôt la route, les interprétations sont de haute volée (l'héroïne est majestueuse, il faut le dire), mais le tout est rarement beau, jamais émouvant, très peu passionnant, trop léger pour être sincère.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 juillet 2013
    Ni drôle ni touchant et encore moins magnifique contrairement aux mots de Télérama exhibés sur l'affiche du film, laquelle ne représente en rien le film, ni le mauve de la photo ni le néon pop de la typographie du titre "frances HA" ! Un film qui cite Gainsbourg, Proust et Jean-Pierre Léaud pour faire "bobo français", un film américain certe qui n'appartient pas au monde des blockbusters mais qui rame pour atteindre le niveau que nous laisse espérer sa bande annonce. Car ce film qui se veut très probablement dans la mouvance de ceux de la nouvelle vague est inachevé, presque soporifique... Un bon brouillon tout de même pour travailler une matière pourtant présente : une danseuse anti-héro qui perd l'équilibre de sa vie et des personnages maussades sans grand charisme... décevant
    Christoblog
    Christoblog

    748 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    Présenté à Berlin dans la section Panorama et à Totonto en compétition, Frances Ha arrive en France précédé d'une flatteuse réputation, matérialisée par exemple par les soutiens de Télérama et de France Inter.

    J'attendais donc beaucoup de ce film, d'autant plus que j'ai aimé le précédent film de Noah Baumbach : Greenberg. D'ailleurs, pour ceux qui ont vu ce film on pourrait dire que Frances est la version énergique et féminine d'une dépression dont Greenberg serait la face mélancolique et masculine.

    A 27 ans, Frances voudrait être une adulte mais... la suite ici :
    Laurent C.
    Laurent C.

    239 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juillet 2013
    Ce film présente New York avec délicatesse et tendresse. Le personnage est attachant et sensible enfin à contre-pied de l'image du héros américain. Un joli film qui montre un personnage féminin réussi et touchant.
    landofshit0
    landofshit0

    253 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2014
    De Noah Baumbach je n'avais vu que greenberg qui m'avait sérieusement ennuyé. Frances Ha est un tout autre film,mélancolique il l'est comme greenberg mais il est surtout truffé de petite scène follement amusantes. Baumbach n’évite pas les clichés du film indépendant américain mais il l'enveloppe si bien que tout les petits défauts passent sans problème.
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