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    Captives
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    219 critiques spectateurs

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    lsnico
    lsnico

    29 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Ryan Reynolds tient la route dans ce thriller mais j ai trouvé dommage que les scènes passées / présents ne soient pas plus transparentes, on s y perd. Le scénario est correct mais la filière du réseau n est pas bien creusé, dommage.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    415 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Intrigue simpliste, personnages caricaturaux, plans grotesques, le Captives d'Atom Egoyan cumule les défauts et pourrait être intégrer dans le parfait manuel de ce qu'il ne faut pas faire dans un film. Les acteurs impliqués ne suffiront pas à sauver un spectateur se demandant encore ce qu'il fait là. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète:
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    110 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2015
    Du dernier film d’Atom Egoyan, Captives, nous pourrons en garder aussi bien du positif que du négatif. Alors que son derniers long, Devil’s Knot, n’avait pas eu l’honneur d’une distribution en salles, le retour du réalisateur semble marqué par un sursaut populaire d’intérêt, du fait notamment de la présence du réalisateur et de son film sur la Croisette en mai 2014. Malgré cela, Captives aura peiné à convaincre les festivaliers, et quelques mois plus tard, les premières critiques spécialisées lors de sa sortie internationale. Pour cause, un manque de rythme, de vitalité, criant, un découpage parfois hasardeux ou encore une ambition clairement surestimée n’ont pas permis au réalisateur de redorer son blason. Livrant un thriller se voulant psychologique, envoutant ou encore intriguant, Atom Egoyan ne parvient au final qu’à remplir son petit contrat d’artisan du cinéma, vendeur d’images et d’une narration mais jamais de rêves ou d’émotions.

    Pour autant, en dépit d’une faiblesse d’intensité évidente, d’une narration anachronique discutable, d’un manque de volonté de sortir du cadre de l’académisme, le cinéaste parvient à faire ressortir quelques-unes de ses qualités, ou celles d’autres protagonistes de son entreprise. Pour ce qui est du metteur en scène, nous pouvons louer sa volonté de toujours exploiter le drame policier en prenant les détours non-imposés, tentant de donner une profondeur psychologique à des faits divers par toujours très captivant. Certes, ici, tout n’est pas parfait, de loin pas, mais de cette dramatique histoire d’enlèvement, de séquestration, de pédophilie, Atom Egoyan essaie d’en tirer un maximum. Autre atout de Captives, l’interprétation de quelque uns de ses comédiens. Si Mireille Enos, Rosario Dawson, Scott Speedman et j’en passe font le travail sans sourciller, la prestation qui étonne est celle de Ryan Reynolds. L’acteur, souvent mis à mal par des choix de carrière douteux, trouve ici matière à démontrer un savoir-faire dramatique presque insoupçonné. Si le film n’est pas un vif succès, il n’en reste pas moins un formidable tremplin pour un acteur qui mérite de meilleures dispositions.

    Pour en revenir au film en lui-même, tourné en intégralité entre le Canada et les Etats-Unis, à proximité des fameuses chutes du Niagara, il se caractérise par le froid glaçant et ambiant qui enveloppe cette sordide affaire. Ce cadre lisse, blanc, rappelant le phénoménale Fargo des frères Coen, n’en reste pas moins que peu exploité par le cinéaste. Ce dernier ne semble d’ailleurs que peu s’intéresser à son décor, aux variations que les pleines enneigées pourraient offrir en regard à l’urbanisme des faubourgs de Niagara Falls. Pour tout dire, les personnages évolent lassivement dans un univers neigeux mais pourraient tout aussi bien vivre la même mésaventure sous le soleil des tropiques. A l’image de ce qui fît Atom Egoyan sur Devil’s Knot, le lieu, le cadre, n’est finalement que peu mis à contribution. C’est l’humain qui captive le metteur en scène. Ce n’est pas un défaut, mais il s’agirait alors de faire un sans-faute du drame psychologique narrer, ce qui n’est pas le cas ici.

    Parfois distordu, jamais spectaculaire, on pense à une plus récente réussite dans le genre, le somptueux Prisoners de Denis Villeneuve, le dernier film d’Atom Egoyan ne laissera personne complètement ravi. Inégal, mou, curieusement monté, mais aussi intriguant, bien interpréter, Captives est de ces nombreux films que l’on voit, pour lesquels on peut réfléchir quelques instants mais qu’on finit inexorablement par oublier. Il serait franchement temps, pour le réalisateur, de sortir de sa boîte pour enfin livrer un film qui ferait parler de lui en bien. 09/20
    Tiger V.
    Tiger V.

    95 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2015
    Un thriller qui me semble être du déjà vu. Scénario d'un simple enlèvement d'enfant sans surprises et pas très évident à suivre en fonction des années. Casting assez moyen dans l'ensemble qui m'ont un peu ennuyé. Difficile à rentrer dans la peau du personnage principale quand cela commence d'une année à une autre ou à droite et à gauche. Ce film ne rentre pas dans tous les détails de l’enlèvement et des personnages du film qu'on reste incompris. Les beaux décors de la région Niagara et de ses chutes ne rapportent rien au film. Bref, un film où on ne peut pas tirer grand chose.
    gnomos
    gnomos

    54 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    J'ai lu les mauvaises critiques concernant ce film, et j'ai remarqué que la la plupart des internautes le comparaient négativement à Prisoners. Moi, je n'ai pas pensé une seconde à Prisoners en visionnant Captives, pour la bonne et simple raison que j'avais complètement oublié le film de Denis Villeneuve, mais puisqu'on y est, autant en dire deux mots; quand nous avons regardé Prisoners, nous avons bien rigolé, et pourtant, le film n'est pas censé être drôle, mais nous avions à l'esprit tout le battage qui avait précédé sa sortie, les louanges le portant au niveau du Silence des agneaux et autres Seven, et on en était si loin, et de plus nous nous sommes limite ennuyés, à aucun moment je ne me suis sentie mal à l'aise, comme cela a été le cas lors du visionnage de Captives, que j'ai trouvé assez glauque et franchement malsain, et que j'ai bien aimé, malgré certains détails qui m'ont rebutée, comme ces flashbacks et flashforwards incessants, auxquels j'ai mis du temps à m'habituer, et la fin un peu facile et un peu expédiée. Mais mis à part ces défauts, ce films sans grandes vedettes n'est pas mal du tout, et ce qui s'y passe existe, avec plus ou moins de variantes, et c'est cela qui m'a mise mal à l'aise. Alors je peux tout à fait comprendre que les gens préfèrent voir des têtes connues, Hugh Jackmann, Terence Howard, et autres Jack G( désolée, la flemme d'aller vérifier l'orthographe de son nom ), mais j'ai trouvé que Kevin Durand, dont je ne connaissais pas le nom, mais souvent aperçu dans divers films, avait bien la tête de l'emploi, et ce type est une des raisons qui m'ont fait trouver ce film bien glauque. Bref, pour ma part, je l'ai préféré à Prisoners, si hautement surestimé.
    Jérémy J.
    Jérémy J.

    14 abonnés 732 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2021
    Commençant par le positif, les acteurs sont tous crédible, bien que parfois difficilement supportables (je pense notamment au flic ou à la mère). Cela est plus dû à leur rôle écrit de manière non nuancé. La réalisation, tout comme ses cadrages et ses musiques sont tout à fait classiques. Le scénario aussi n'est pas forcément des plus originaux, même si ce dernier est bien écrit. En revanche je trouve que la manière dont le film est monté, la manière dont le scénario est construit, rendent très difficile la lecture du film. Comme si l'on essayait de rendre difficile un film simple ou pire encore essayait d'effacer les moments de vide, qui sont bien présents. Bref, il rentre complètement dans cette série de film, non marquant mais pas mauvais pour autant.
    Slone
    Slone

    5 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Ce film réussit un tour de force : évoquer le scandale des réseaux pédophiles, sans jamais sombrer dans le sordide, à nous faire éprouver la souffrance des victimes et des familles sans sombrer dans le mélodrame facile. Le film sonne juste. Le montage à la Nolan n'apporte pas forcément grand chose, a priori, déroute au début, mais participe à l'horreur et au vertige quand on finit par comprendre ce dont il s'agissait réellement. Les acteurs sont tous très convaincants voire au-delà. Mais le piège du film se referme sur lui-même : à trop prendre son temps, pour nous imprégner des différentes personnalités, à nous faire subir le drame, l'incompréhension et le mystère de la situation, se retrouve un peu à court de temps et d'options quand il s'agit de conclure. Le dénouement se précipite, non sans une certaine force, mais nous laisse en plan avec des milliers de questions, ce qui n'est pas toujours un mal, mais ici, on ne ressent pas l'interrogation qui nous ait lancés, juste une sensation d'inachevé. A noter qu'il est possible que ce film ait plus d'impact sur des gens qui ont connu les joies de la parentalité.
    Fabien S.
    Fabien S.

    559 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2017
    Un très bon thriller psychologique. Ryan Reynolds incarne un père de famille. Le réalisateur canadien Atom Egoyan nous entraîne dans un film policier où des personnages s'en croisent pour comprendre l'enlèvement d'une gamine.
    Eric C.
    Eric C.

    244 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mars 2016
    Malgré un bon casting ce film d'enlèvement d'enfant est trop imprécis et flou dans son scénario pour être vraiment percutant. Beaucoup de zones d'ombres et d'incohérences nuisent à la mise en tension du spectateur et les multiples sauts de temps entre passé et présent cassent plus le rythme, déjà lent, qu'ils ne le servent. Les acteurs sont sous employés, l'intrigue pas du tout palpitante et on ne rentre en empathie avec aucun des personnages. La fin chaotique et bâclée n'arrangent pas ce film globalement peu passionnant.
    MC feely
    MC feely

    78 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2015
    Ce n'est pas mauvais,le sujet est prenant émotionellement avec toutes les alertes enlèvements qu'on peut apercevoir aujourd'hui le réalisateur met bien en avant la douleur et le deuil de son enfant impossible dans ce genre de condition et toute la paranoïa qui s'en suit qui est d'ailleurs le gros point positif de ce film,mais ça fait quand même très téléfilm avec parfois un manque de rythme ou suspens qui se fait bien ressentir et qui ôte une certaine saveur à ce film.Passable mais loin d'être surprenant ou mémorable.3/5
    Nico591
    Nico591

    47 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2015
    Un excellent thriller captivant du début à la fin, qui tout en choisissant le sujet sensible qu'est la pédophilie, choisit de raconter l'histoire du point de vue de tous les protagonistes du film.
    Que ce soit les parents, les policiers ou le pédophile lui même, ce choix de narration a pour effet de nous donner un scenario tortueux qui maintient un suspense permanent.
    Outre l'excellent casting avec notamment un Kevin Durant parfait, la mise en scène qui peut désarçonner au début avec ses multiples bonds entre passé et présent, se révèle être d'une maitrise formelle et d'une noirceur remarquable.
    Voila donc un thriller surprenant dans sa construction, et imprévisible qui n'a que seul défaut une fin quelque peu expéditive.
    Septième Sens
    Septième Sens

    86 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    Les histoires d’enlèvement d’enfants sont en ce moment légion au cinéma. Prisoners, excellent thriller psychologique marchant sur les pas de Seven, aurait pu montrer la voie à Captives¬. Mais la nouvelle création d’Egoyan, maladroite et loupée, n’en fera rien. Huit ans après s’être fait enlever leur petite fille, un couple détruit découvre de nouveaux indices sur cette affaire.

    Au départ, on découvre un récit plein de bonnes attentions, comme cette photographie glaciale mettant en valeur un climat anxiogène. Mais on s’aperçoit vite que le réalisateur égyptien s’attaque à un genre éculé qu’il n’arrive pas à renouveler. Le montage, non linéaire, aurait pu être une bonne idée s’il avait un réel intérêt. Mise à part quelques hypothèses (la vision du temps qui passe de manière chaotique quand on attend quelque chose de toutes nos forces), on ne cerne pas trop pourquoi le cinéaste a opté pour ce choix, puisqu’il n’apporte pas d’utilité artistique ni narratif à son film.

    Reynolds, en interprétant un père de famille désabusé ne se pardonnant pas ce qu’il s’est passé, s’en sort plutôt bien, mais ne parvient pas à sauver un épilogue des plus laborieux. Attendue et convenue, cette fin ne convainc guère et ne prend même pas la peine de résoudre toutes les pistes. Un scénario bancal, une écriture des personnages maladroite, des sous-intrigues superflues… Bref, ce polar qui se voulait racé et lancinant ne tient pas toutes ses promesses, loin de là.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 février 2015
    Huit ans après la disparition de Cassandre, des indices troublants semblent monter qu'elle est toujours vivante. C'est le récit que présente Atom Egoyan dans ce thriller où la réalisateur tente de sortir de l'ordinaire et de s'éloigner du genre. Le problème, c'est qu'il prenait un risque énorme en voulant se démarquer des thrillers précédents, et résultat : il nous livre un film dramatique mais qui n'angoisse pas, où l'on ne ressent peu ou pas d'émotions, et où le suspense est quasi-absent. De plus, le jeu d'acteurs, principalement de Ryan Reynolds qui est toujours aussi fade, n'a quasiment rien à envier. Le scénario reste simple et banal, sans surprise mais utile. L'intrigue se perd au fur et à mesure que le film progresse, vers un dénouement dès plus prévisible et décevant. Entre temps, beaucoup de longueurs viennent brisé l'intrigue et le très peu de suspense qui sont les légers atouts de ce film. Décevant, fade, chiant et prévisible, "Captives" n'a absolument rien à envier aux précédents films du genre, à commencer par le récent et excellent "Prisoners".
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Captives, le dernier film d’Atom Egoyan flirte autant du côté du thriller autant que du côté du drame psychologique, emmenant Rosario Dawson et Scott Speedman dans les bas-fonds terrifiants du commerce pédophile. A coté de l’enquête se déroule le drame familial porté par Mireille Enos et Ryan Reynolds, tous deux bouleversants en parents désemparés et profondément détruits.

    Matthew (Ryan Reynolds) sort cinq minutes de sa voiture pour aller acheter une tarte, comme chaque semaine. Il laisse sa fille, Cass (Alexia Fast) à l’arrière. Lorsqu’il revient, elle a disparu. Débute alors pour lui et sa femme Tina (Mireille Enos) une terrible attente tandis que l’enquête de la Police s’enlise.

    Captives aborde un thème très dur sans fard, sans concessions, sans pour autant verser dans l’exploitation graphique de l’horreur, lui préférant une ambiance malsaine entretenue par une bande son aérienne et une luminosité blanche s’étendant sur la neige comme un jour nuageux. Ce traitement froid et distancié est régulièrement battu en brèche par les dialogues parfois très violent sur le plan symbolique tels Cass disant à son ravisseur Mika (Kevin Durand) qu’il pourrait la laisser partir maintenant que jeune adulte, elle ne l’intéresse plus… Toute la tension est basée sur les non-dits. Kevin Durand transpire littéralement la perversité par tous les pores de sa peau. L’homme a intériorisé les aspects les plus dégoûtant de sa vie. C’est là que réside l’horreur indicible émanent du scénario d’Atom Egoyan et David Fraser. Mika, membre cynique d’un réseau de pédophilie, se délecte de la détresse émotionnelle de sa captive et pousse la perversion jusqu’à observer la mère se morfondre et perdre pied.

    À mille lieux des classiques du genre, s’étendant sur les tortures physiques ou les enquêtes policières, Captives s’étend bien davantage sur les séquelles psychologiques de ces événements affreux, se concentrant sur le couple de parents qui se délite, et sur la relation perverse et ascendante du pervers sur la jeune fille, complice à son âme défendante du réseau. Le scénario ne fait pas non plus des policiers des super-héros redresseurs de tort et s’appuie bien davantage sur les ravages que les enquêtes et une certaine impuissance laisseront dans leurs vies. Le sort réservé à l’inspectrice Nicole (Rosario Dawson) sonne comme une terrible métaphore nous rappelant que la plupart des enquêtes ne sont malheureusement jamais bouclées. Le personnage de l’inspecteur Jeffrey (Scott Speedman) est quant à lui, ambigu dans son rapport à son métier. A demi-mots, on apprend qu’il a sûrement été victime de maltraitances dans son enfance, ce qui le rend méfiant envers tout le monde, et rend très conflictuelles ces relations avec le père qu’il soupçonne constamment. Ce dernier est aussi accusé régulièrement de négligence par Tina (Mireille Enos), la mère, qui ne supporte plus de le fréquenter, bien qu’elle aime toujours.

    Sans sensationnalisme, sans gros bras, sans revanche, sans artifice, Captives offre une histoire tragique, appuyée par un traitement sobre qui rajoute à la fois de la dramaturgie du film et rend plus difficile la terrible vérité. N’ayant pas le culot malsain de se revendiquer d’une histoire vraie, Captives rappelle néanmoins certains faits divers ayant fait la une, ces dernières années. Ne voulant pas camoufler l’atrocité derrière une surenchère de moyen, Atom Egoyan livre, au contraire, une œuvre poignante et émouvante, portée par des acteurs investis et saisissants de véracité. On sort mal à l’aise et au bord des larmes de la projection, ce n’est pas la moindre réussite de Captives.

    Venez lire la suite sur Une graine dans un Pot :
    Kana57
    Kana57

    42 abonnés 941 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 novembre 2015
    Long mou chiant, en connaissant le Ravisseur d'entrée le film perd tout son attrait et intérêts, en plus en mélangeant les Années très rapproché on si perd,même sure que le réa c'est perdu lui meme dans sont recit a oublier
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