Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de «De beaux lendemains» signe un polar haletant et troublant autour d'un drame familial...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
(...) Le film tient en haleine le spectateur de bout en bout ; le montage labyrinthique du film étant une de ses facettes les plus intéressantes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Fabien Reyre
Toute la beauté de "Captives" réside dans cette indicible mélancolie qui irrigue tous les pores du scénario et que la mise en scène d’Atom Egoyan sait magnifier en ne cherchant jamais à surexploiter une intrigue pourtant plus maline que son pitch ne laisse supposer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
On ne peut que reconnaître l'impressionnante maîtrise de ce lumineux thriller, dont la noirceur saisit jusqu'à l'aveuglement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Helena Villovitch
"Captives" est un piège dans lequel on se plaît à tomber.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Atom Egoyan joue, avec habileté et beaucoup de métier, sur ce dispositif, en forme de toile d’araignée, dont les lignes bougent peu à peu, avec des rebondissements qui accroissent le suspense.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Un thriller captivant qui, derrière les rapts d’enfants, découvre un autre type de piège et de capture : les écrans.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène, aride et elliptique, intrigue, déroute et entretient le malaise en se jouant de la chronologie. Pour mieux saisir les nuances subtiles de la palette émotionnelle que déploie ce puzzle complexe, intelligent, au réalisme vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Cédric Delelée
Un retour en grâce qui promet de beaux lendemains à la carrière d'Atom Egoyan.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un thriller sophistiqué.
Positif
par Philippe Rouyer
Une nouvelle fois, Egoyan fait le lien entre rituels et nouvelles technologie, en mettant en abyme le voyeurisme du spectateur. La splendeur des paysages enneigés renforce la dimension poignante de la fable.
TF1 News
par Romain Le Vern
Le réalisateur Atom Egoyan signe son meilleur film depuis une éternité, renouant génialement avec la combinaison de mythe, d'horreur, de perversité et de drame humain, déjà à l'épreuve dans "De beaux lendemains" et "Exotica".
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une histoire simple, déroulée en une narration complexe débouchant sur des émotions limpides.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Travaillant sur des terres voisines (les recherches pour retrouver des enfants kidnappés), son compatriote Denis Villeneuve avait davantage convaincu avec "Prisoners".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Captives, sans non plus rivaliser avec Chantal Akerman (La Captive, 2000), tire sa meilleure carte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Anne Dastakian
Le scénario, comme toujours un brin tortueux chez Egoyan, narre, sous la forme d'un thriller plutôt virtuel, la désintégration d'un famille (...) Un film qui déchire.
Première
par Gérard Delorme
(...) Une sorte de thriller dégénéré impliquant une invraisemblable organisation de pornographes du chagrin, mené par l'extravagant Kevin Durand dans le rôle d'un pervers triomphal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Voici
par La Rédaction
(...) Ce drame, sur le fond, pâtit de l'inévitable comparaison avec le récent "Prisoners", de son compatriote Denis Villeneuve.
L'Humanité
par Vincent Ostria
S’il met en avant l’aspect policier, la séquestration d’une fillette et l’enquête subséquente, le thriller est miné par une mise en scène trop alambiquée pour séduire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Sandrine Marques
Le dédale narratif, imaginé par Atom Egoyan, convoite le trouble et la noirceur mais aboutit à un récit embrouillé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
En dépit de son final en film d'action, avec poursuites et suspense assez bien troussé, cette oeuvre ne perd jamais -- c'est le défaut d'Egoyan -- son caractère pesant. C'est plus fatigant que captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Dispositif artificiel et récit clichetonneux : Atom Egoyan manque son retour.
Paris Match
par Alain Spira
Chaque année, la compétition cannoise nous réserve une récréation salutaire avec un film « du dimanche soir » garanti sans prise de tête. Cette fois-ci, c’est le réalisateur canadien qui s’y colle avec un thriller qu’il a pris soin de ficeler avec beaucoup de nœuds scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Rien n’y fait : trop prudent pour être moraliste et trop consensuel pour être sadique, "Captives" n’a nulle part où aller.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) "The Captive" emprunte la voie du thriller glacé, avec construction inutilement alambiquée, rebondissements dignes d'une série Z (...).
Télérama
par Cécile Mury
Ni récit intimiste ni polar, le film patauge, entre discours vaguement paranoïaque sur la société et fascination chic pour le malheur. De bien tristes lendemains.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le réalisateur de «De beaux lendemains» signe un polar haletant et troublant autour d'un drame familial...
CNews
(...) Le film tient en haleine le spectateur de bout en bout ; le montage labyrinthique du film étant une de ses facettes les plus intéressantes.
Critikat.com
Toute la beauté de "Captives" réside dans cette indicible mélancolie qui irrigue tous les pores du scénario et que la mise en scène d’Atom Egoyan sait magnifier en ne cherchant jamais à surexploiter une intrigue pourtant plus maline que son pitch ne laisse supposer.
Ecran Large
On ne peut que reconnaître l'impressionnante maîtrise de ce lumineux thriller, dont la noirceur saisit jusqu'à l'aveuglement.
Elle
"Captives" est un piège dans lequel on se plaît à tomber.
La Croix
Atom Egoyan joue, avec habileté et beaucoup de métier, sur ce dispositif, en forme de toile d’araignée, dont les lignes bougent peu à peu, avec des rebondissements qui accroissent le suspense.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller captivant qui, derrière les rapts d’enfants, découvre un autre type de piège et de capture : les écrans.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène, aride et elliptique, intrigue, déroute et entretient le malaise en se jouant de la chronologie. Pour mieux saisir les nuances subtiles de la palette émotionnelle que déploie ce puzzle complexe, intelligent, au réalisme vertigineux.
Mad Movies
Un retour en grâce qui promet de beaux lendemains à la carrière d'Atom Egoyan.
Ouest France
Un thriller sophistiqué.
Positif
Une nouvelle fois, Egoyan fait le lien entre rituels et nouvelles technologie, en mettant en abyme le voyeurisme du spectateur. La splendeur des paysages enneigés renforce la dimension poignante de la fable.
TF1 News
Le réalisateur Atom Egoyan signe son meilleur film depuis une éternité, renouant génialement avec la combinaison de mythe, d'horreur, de perversité et de drame humain, déjà à l'épreuve dans "De beaux lendemains" et "Exotica".
CinemaTeaser
Une histoire simple, déroulée en une narration complexe débouchant sur des émotions limpides.
Franceinfo Culture
Travaillant sur des terres voisines (les recherches pour retrouver des enfants kidnappés), son compatriote Denis Villeneuve avait davantage convaincu avec "Prisoners".
Les Inrockuptibles
Captives, sans non plus rivaliser avec Chantal Akerman (La Captive, 2000), tire sa meilleure carte.
Marianne
Le scénario, comme toujours un brin tortueux chez Egoyan, narre, sous la forme d'un thriller plutôt virtuel, la désintégration d'un famille (...) Un film qui déchire.
Première
(...) Une sorte de thriller dégénéré impliquant une invraisemblable organisation de pornographes du chagrin, mené par l'extravagant Kevin Durand dans le rôle d'un pervers triomphal.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
(...) Ce drame, sur le fond, pâtit de l'inévitable comparaison avec le récent "Prisoners", de son compatriote Denis Villeneuve.
L'Humanité
S’il met en avant l’aspect policier, la séquestration d’une fillette et l’enquête subséquente, le thriller est miné par une mise en scène trop alambiquée pour séduire.
Le Monde
Le dédale narratif, imaginé par Atom Egoyan, convoite le trouble et la noirceur mais aboutit à un récit embrouillé.
Le Parisien
En dépit de son final en film d'action, avec poursuites et suspense assez bien troussé, cette oeuvre ne perd jamais -- c'est le défaut d'Egoyan -- son caractère pesant. C'est plus fatigant que captivant.
Les Fiches du Cinéma
Dispositif artificiel et récit clichetonneux : Atom Egoyan manque son retour.
Paris Match
Chaque année, la compétition cannoise nous réserve une récréation salutaire avec un film « du dimanche soir » garanti sans prise de tête. Cette fois-ci, c’est le réalisateur canadien qui s’y colle avec un thriller qu’il a pris soin de ficeler avec beaucoup de nœuds scénaristiques.
Cahiers du Cinéma
Rien n’y fait : trop prudent pour être moraliste et trop consensuel pour être sadique, "Captives" n’a nulle part où aller.
Charlie Hebdo
(...) "The Captive" emprunte la voie du thriller glacé, avec construction inutilement alambiquée, rebondissements dignes d'une série Z (...).
Télérama
Ni récit intimiste ni polar, le film patauge, entre discours vaguement paranoïaque sur la société et fascination chic pour le malheur. De bien tristes lendemains.