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Riwidan
3 abonnés
13 critiques
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3,0
Publiée le 3 octobre 2022
Points positifs : spoiler: - Le super saiyan God de Goku
- Pilaf, Shu et Mai
- Le principe du dieu de la destruction
- Végéta en mode furie
Points négatifs : spoiler: - Les dieux gloutons
- Végéta fait la danse du bingo
- Les combats (qui font très jeux vidéos)
- L’humour y est omniprésent et pas nécessaire
- L’absence de drama
Ayant lu quelques critiques, je les trouve relativement sévères, certes il manque un côté dramatique et sombre a cet épisode, et on y retrouve comme dans chaque OAV un côté un peu bâclé ainsi que paradoxalement des longueurs inutiles, mais pour ma part je l ai lance suite aux premiers passages que j ai vu de beerus, je ne dirais pas que c est mieux, mais accrocheur et différent, ce qui m a donné une bouffée de fraîcheur, pour une fois on goûte à un ennemi qui n en est pas vraiment un, qui n a pas juste à la bouche le fait de devenir le maître de l univers où immortel et qui n est pas fondamentalement mauvais comme tout ses prédécesseurs, avec une certaine classe et une aura de dieu que j ai pour ma part ressenti à l ecran. En croyant a chaque moment a l apocalypse qui n est pas arrivée, je n ai pas était déçu mais plutôt surpris et intrigue.Des points positifs, des négatifs, mais un changement certain, et quelques moments qui m ont beaucoup plus.
14e film Dragon Ball Z et le premier des années 2010. Film plus long que le reste de la série, deux fois plus long et la qualité des images est aussi meilleure. Mais il y a une bonne continuité dans la démesure ce qui est le principe. La cosmologie polythéiste présentée est complexe mais reste aussi dans une sorte d'humour parodique avec les caractères habituels souvent soit lucides soit hargneux ou peureux. Tout est dédié à la force ou énergie et cela reste cohérent: fête familiale, rang "galactique" et défense de la planète. Un focus est mis sur la nourriture et une sorte d'éloge de la planète terre saugrenu mais compréhensible dans l'histoire.
film qui reprend l'histoire de quelques épisode de la série dragon Ball super avec le réveil de berus le dieu de la destruction sur TOUT LES détail donc le film sert a rien même pour les fan qui ont déjà vu cette partie de la série. bah du coup le film sert a rien c'est inutile de nous pondre un film sur trois épisodes de la série avec exactement le même déroulement. ce n'est pas dragon Ball z, c'est dragon Ball super.
On n’est pas à grand-chose d’une vraie réussite. Malheureusement, c’est mal équilibré à mon goût. On démarre parfaitement avec un petit point de situation bienvenu. Ensuite va débarquer le nouveau personnage de Beerus avec toute l’explication qui va avec. On monte en puissance lors de sa rencontre rapide contre Goku. Puis, plus rien durant un bon moment. Alors qu’on attend un gros combat entre Beerus et Vegeta, on doit se contenter de la fête d’anniversaire de Bulma. Celle-ci parait durer une éternité. Le pire est qu’elle n’apporte rien du tout en valeur ajoutée. Ça va partir un peu dans tous les sens avec des tentatives pour faire rire ratées. Le rythme va en prendre un véritable coup. Heureusement, va arriver la partie baston. C’est magnifiquement bien fait. Niveau design, un vrai cap a été passé. On va sentir la puissance des attaques avec un flot de couleurs qui rend le tout artistique. C’est un plaisir à voir. De plus, le nouveau venu, Beerus, est génial. Il a un charisme naturel et une détente qui dénote du pouvoir de destruction qu’il possède. Je suis fan. Par contre, à part Goku et Vegeta, le reste ne fait quasiment que figuration.
Cette bataille des dieux nous fait l'honneur de nous convier à table avec tous les anciens copains de Goku, réunis pour les 32 printemps de notre chère Bulma et pour un bref passage sur grand écran. Shenron est bien évidemment lui aussi convié à la fête et une nouvelle évolution de Goku ne tardera pas à faire son apparition... pour le dessert sans doute; Enfin un nouveau personnage incommensurable... avant le prochain; À la fois tendre et terrifiant ce qui le rend des plus intéressants; D'un appétit demesuré comparé au notre; Lui aussi s'invite à leur table. Le deuxième point intéressant sera ce combat aérien final (et oui, il faudra être patient...), qui évolue dans un décor moins désertique et virevolte avec une certaine rigueur et élégance.
Dragon Ball Z : Battle of Gods se place quelques année après la défaite de Boo vaincu par Sangoku. C'est, si je ne m'abuse, également le premier OAV depuis Janemba et Tapion en 1995. Dix-huit ans d'attente ! L'ennemi est à la hauteur question puissance. Le dieu de la destruction. Rien que ça. Et, paraît-il, il n'est pas le seul. Il n'en est qu'un parmi tant d'autres. Si sa puissance a l'air démesuré, à tel point que même Sangoku ne peut lui tenir tête, sa goinfrerie et sa fainéantise font qu'il est difficile à prendre au sérieux. En la matière, il faudra aussi compter sur les facéties de Monsieur Satan, Tortue Géniale, Oolong et les pitreries de Pilaf et sa bande. Un peu lourdes, ces dernières. Pilaf n'apporte rien si ce n'est de rajouter quinze minutes à l'animé. Quant à la baston de fin qu'on attendait tous, c'est à dire Sangoku face à Beerus, elle tient toutes ses promesses si on tient compte encore une fois de l'écrasante supériorité de Beerus apparemment loin de son potentiel maximum ! Sangoku ajoute une nouvelle transformation à sa panoplie, Vegeta devient toujours plus humain, l'apparition des Saïyens divins et des dieux de la destruction ouvrent une nouvelle ère. C'était nécessaire d'évoluer et d'un autre côté on retrouve certains personnages secondaires un peu oubliés comme Chaozu, Tenshinhan, Yamcha et on garde les voix françaises emblématiques de la série. Celles de Patrick Borg pour Sangoku, Eric Legrand pour Vegeta, Céline Monsarrat pour Bulma. Une manière de réunir l'ancienne et la nouvelle génération. Pour ma part, sans être à fond dans l'univers comme avant, je ne m'interdirai pas de le suivre de loin.
"Dragon Ball Z: Battle of Gods" est le 18ème film d'animation japonais de l'univers Dragon Ball. Le film est sympa un trés bon début et une trés bonne fin mais le milieu du film je l'ai trouvé un peu long mais reste sympa. Dommage qui n'est pas eu plus entre des super saiyen et Bills le dieu de la destruction.
Avec ce long métrage, la franchise sombre un peu dans la farce. Certes, c'est assez drôle, mais côté intensité dramatique ou combats captivants on repassera.
L'histoire se situe entre la mort de Kid Buu par le Genkidama de Goku dans Dragon Ball Z et la fin de DBZ au moment ou Uub fait son apparition pour la première fois et qui deviendra par la suite le disciple de Goku dans Dragon Ball GT.
Ce film annoncé une nouvelle série qui s'est bien développé depuis malgré des critiques controversé mais je pense que cette animé a surtout servit de point de départ pour faire renaitre ce qui a bercé notre enfance et annoncer également l'arrivé de Dragon Ball Super, d'ailleurs le premier arc de l'animé est très similaire au film sauf que ça ne se passe pas au même endroit, Capsule Corp pour Battle of Gods et un bateau de luxe gigantesque dans DBS. C'est l'anniversaire de Bulma en même temps.
L'intrigue est centré surtout sur Beerus le Dieu de la Destruction de l'Univers 7 disant qu'il a rêvé d'un 'Super Saiyan Divin' chose totalement inconnu pour nous les spectateurs à la base étant donné que sans compter le SSJ4 dans DBGT, la forme la plus puissante du moment est le SSJ3 que seul Goku maitrise et Trunks et Goten quand ils fusionnent. Mais la le film nous montre clairement l'obsolescence programmé du SSJ3.
On découvre également qu'un SSJ2 peut largement combler son écart par rapport à un SSJ3 ce qui fut une surprise pour moi à l'époque sachant que le fossé qui sépare les deux stades en terme de puissance est juste énorme. C'est comme comparer 'Perfect Cell Full Power' et 'Majin Buu' pour vous donner un ordre d'idée sur l'échelle de puissance.
Malgré tout ce Film DB est un bon moment à passer malgré certains bémol comme le design de Videl que j'avais eu énormément de mal à reconnaitre, elle n'a plus vraiment la personnalité de la jeune au caractère impulsive avec une tendance à être trop curieuse, elle est plus préoccupé par l'arrivé de Pan et de son futur rôle de mère (Je ne spoil rien Pan est un personnage principal dans DBGT).
Gohan est vraiment loin derrière, ici il est clairement dépassé voir rouillé. C'est triste de devoir écrire ça vu comment il avait brillé face à Cell alors qu'il avait été le premier à éveiller le SSJ2 avec comme élément déclencheur la mort de C-16 ou encore de son potentiel pleinement exploité dans l'Arc Buu de DBZ en tant que 'Ultimate Gohan' face à Super Buu, mais son défaut est qu'il est arrogant lorsqu'il a trop confiance en lui malheureusement.
Vegeta est pour moi la plus grosse surprise du film autant sur le plan spirituel que en terme de puissance.
Dragon Ball Z : Battle of Gods, c’est le film qui me replonge dans mon enfance car il se deroule juste après les événements de l’arc Boo. On parlera ici de transition entre Dragon Ball Z et Dragon Ball Super, si on compte cette œuvre La résurrection de Freezer. Et il était donc logique que je me plonge dans ce long métrage avant de tenter l’experience DBS. Alors clairement, j’ai été étonné quand j’ai vu que la moyenne était ici à 5,5. En ce qui me concerne j’ai trouvé ce Battle of Gods vraiment honnête dans son ensemble. Premièrement, j’ai bien apprécié les dessins et les petites scènes en 3D que nous offre le film, car on sent vraiment que les années ont passés depuis DBZ ! Ici, c’etait vraiment un plaisir pour les yeux, et l’animation des combats est simplement des plus épiques. Pas d’animation au rabais donc, mais plutôt des partis pris agréable, par exemple lors du combat dans la ville. Tout sa c’est bien beau mais ce qui nous intéresse le plus c’est quand même l’histoire que couvre cette œuvre. Franchement, j’ai été agréablement surpris. Le fan service est cool, sans être trop présent et les nouveaux personnages que sont Beerus et Whis m’ont beaucoup plu, surtout que Whis reste très mystérieuse et que son potentiel a l’air énorme. Beerus est un antagoniste qui change vraiment de ce qu’on a connu par le passé avec Freezer, Cell etc.. Ensuite, je n’aurais pas pensé dire sa mais l’humour est mortelle ! Moi et mon pote on a été mort de rire à plusieurs reprises ! Le côté détendue ressort pas mal, ce qui est tout de même différent au final de DBZ, qui, même si il y a des gags, sont moins présent. Je comprends que sa dérange les fans, mais personnellement c’est pour moi l’un des points forts de Battle of Gods. Après le scénario en lui même ne casse pas trois pâtes à un canard mais suffit à ce que les 1h45 ne devienne pas un ennui constant, au contraire je n’ai pas vu le temps passer. On a un début , une fin et sa promet de bonne chose pour la suite de ces aventures. Même si DBZ reste mieux, bien évidemment, ce film est agréable à suivre et respecte suffisamment l’oeuvre originale de Toriyama pour s’inscrire pleinement dans son univers.
Je n'ai jamais regardé Dragon Ball, que ce soit Z, Gt, Super, rien, ça ne m'a jamais tenté, amis vraiment pas, et je connaissais l'existence de deux nouveaux films à l'occasion de la sortie de Dragon Ball Super, alors je les ai regardés, et j'ai commencé par le plus ancien, Battle of Gods, et j'ai passé un moment agréable, je suis surpris, je pensais détester, car tous mes amis se mettaient maintenant à Dragon Ball alors que moi je m'en tapais, et non, c'est divertissant, les dessins sont très soignés, les batailles contre Beerus sont impressionnantes, et même en ne connaissant que Goku, Végéta et Freezer, j'ai directement compris ce qui se passait, mais par contre le film met extrêmement longtemps a démarrer, s'en est atroce, ok veut voir Goku contre Beerus alors arrêtez de tourner autour du pot et faites les se battre. 11/20
Suite directe au manga ce long métrage n'est pas franchement indispensable. Sentant clairement le réchauffé cet animé n'existe que par souci de profit, la mise en place très fade est aussi très enfantine, mettant Végéta dans une situation peut acceptable, quant au combat, certes très impressionnant demeure court. Quelques beaux plans et une mise en scène parfois inspirée cependant !
Bon ben en bon gros fan de DBZ j'ai bien aimé hein ? Les OAV ne me dérangent pas, et puis ça permet de revoir nos héros favoris donc je suis OK. Certes là c'est une peu tiré par les cheveux de s'attaquer à des dieux et de les égaler par un procédé factice inconnu mais why not ? J'ai particulièrement apprécié les graphismes : grandement améliorés alors qu'ils étaient pas dégueu sur DBZ déjà, plus moderne aussi. Les tics, le langage et les caractères de chacun sont là, pas de fausses notes, de bons combats, une musique clean, un Dieu destructeur chat (normal), toujours des allusions à la bouffe (entre végétaux et alcools maintenant), bref la formule est respectée et ça passe toujours.