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Alexarod
287 abonnés
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4,5
Publiée le 20 novembre 2016
Aucune critique ? Pourtant il parait que c’est devenu connu comme OAV. C’est le film qui annonce le renouveau de DBZ, rien que ça, pas mal comme pitch non ? Avec des graphismes plus modernes et un scénario soigné ça envoie du lourd. J’ai bien aimé le résumé de la série au début en plus. Malheureusement c’est un peu gâché par le narrateur pas inspiré et trop vieux (dans la VF). De toute façon les voix sont affreuses et ne conviennent pas aux personnages. Ceux-ci sont d’ailleurs trop insouciants je trouve, un Dieu de la destruction près d’eux ils s’en fichent et plaisantent, c’est nimp. Sinon les dessins sont améliorés par rapport à la série (période Bou), on voit qu’on est passé plutôt du côté DBZ Super. Le problème c’est qu’ayant vu la « Résurrection de Freezer » d’abord je sais à quoi m’attendre, comme dans chaque OAV me direz-vous, mais là non. En effet, le méchant n’est pas un Sayen et ne vient pas d’un vœu fait auprès de Shenron, donc ça diffère des ¾ des OAV déjà. Non là c’est un chat, ouais c’est abusé mais on sait qu’ils représentent le mal et qu’ils veulent dominer le monde donc pourquoi pas ? Bon puis niveau dieux les chats étaient déjà représenté en Egypte, et vu ce qu’il dort... A côté de ça la 3D était évitable tant elle ne sert à rien, les autres persos de la série sont tous là et ont grandi (le chien de Boubou par exemple, Videl qu’on reconnait à peine), on a aussi des clins d’œil à d’autres films de DBZ (frère de Végéta), les FX sont magnifiques, les combats dantesques, la musique passe encore malgré qu’elle soit très moyenne, les bruitages et l’humour demeurent comme d’habitude, ils contribuent même à l’équilibre de l’ensemble, formant un film très agréable et familial avec un fin sympa. Le souci c’est qu’on commence à trop voir que Gokou et Végéta ne vivent que pour se battre, progresser toujours plus dans ce domaine et seulement dans celui-là, et qu’en grandissant, des combats incessants avec juste un épisode entre eux ça finit par lasser. Je conclurai en signalant que c’est la seule OAV ou presque qui trouve un écho dans la série, entre la transformation en Sayan divin et le retour de Pilaf (enfin il sera plus actif dans la prochaine OAV), ainsi que spoiler: l’arrivée annoncée de Pain , pas mal hein ? Sans aucun doute le meilleur film de la série, le renouveau a du bon parfois.
De nombreuses années après la fin du manga et de son adaptation TV, on nous sort une nouvelle histoire issue de l’univers culte Dragon Ball. Bien que la plupart de nos anciens amis se trouvent ici réunis, le résultat est globalement décevant. Il y a des incohérences avec l’œuvre originale (la planète du Kaio du Nord réapparue, Dende rajeuni, Shenron effrayé,…). L’utilisation de 3D donne souvent lieu à des scènes hideuses, notamment pour les combats qui ont perdu toute leur intensité. Même les musiques sont mauvaises, alors qu’elles étaient épiques dans la série et résonnent encore dans la tête des fans de la première heure (elles sont même reprises par des artistes d’aujourd’hui comme Kavinsky). Inutile de continuer à lister tous les défauts et les mauvaises idées, ce film n’est pas le renouveau qu’on espérait.
J'ai apprécié retrouver l'univers DBZ dans cet OAV. Par contre, ne vous attendez pas à des combats en permanence : comme pour "Son Gokû et ses amis sont de retour", on mise ici sur l'humour, quoiqu'un peu moins que celui que je viens de citer. Les dessins sont vraiment réussis. Dommage que le vieux Kaio Shin ait changé de voix française (entre autre, mais cela ne concerne que les personnages secondaires, heureusement).
Mmmhh... Ok... Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même, j'ai vu la suite, j'ai détesté, mais je voulais quand même voir celui-ci "pour ma culture". Je savais avant de le lancer que je devrai m'abstenir... Mais bon... On ne se refait pas. Je ne sais pas si c'est pire que la résurrection de F, mais c'est vraiment nulle aussi... Là on a quasiment pas de combats, on a des gens qui se tiennent la main en hurlant "aahhhhhh", sans doute le pouvoir de l'amitié qui se transmet par les ongles...
Cependant j'ai trouvé ça un peu moins pénible que "F" par moments, sans doute car Berus ou je sais pas quoi est un peu plus intéressant comme méchant que Freezer qui est une sorte de caricature du grand méchant qui rigole tout seul.
Je pensais trouver des réponses à la transformation bleue vue dans "F", mais non... Bon ben... tant pis... En fait j'ai vraiment vu ça pour rien, tout ce qu'il y avait à savoir sur les personnages se déduisait en voyant la suite. Sans doute car il n'y a rien de bien palpitant...
C'est incroyable cette volonté de faire passer toute l'intensité des combats dans de la musique un peu nulle et dynamique au lieu de travailler la mise en scène... Toujours aussi nulle et peu intéressante, ne rendant absolument pas bien à l'écran le peu de combats qu'il peut y avoir.
C'est un peu l'ennui... Tu regardes ça comme tu regardes fasciné n'importe quelle merde autrichienne doublée vite fait en français sur les chaînes hertziennes un samedi après-midi... à la limite de la léthargie...
Ce qui est pénible c'est que dans cet épisode il n'y a que Goku qui sert à quelque chose, ses potes, dont Vegeta dont de la figuration... Mouais...
Bref c'est nul... Et j'ai le cerveau en compote...
Avec ce long métrage, la franchise sombre un peu dans la farce. Certes, c'est assez drôle, mais côté intensité dramatique ou combats captivants on repassera.
Dragon Ball Z : Battle of Gods se place quelques année après la défaite de Boo vaincu par Sangoku. C'est, si je ne m'abuse, également le premier OAV depuis Janemba et Tapion en 1995. Dix-huit ans d'attente ! L'ennemi est à la hauteur question puissance. Le dieu de la destruction. Rien que ça. Et, paraît-il, il n'est pas le seul. Il n'en est qu'un parmi tant d'autres. Si sa puissance a l'air démesuré, à tel point que même Sangoku ne peut lui tenir tête, sa goinfrerie et sa fainéantise font qu'il est difficile à prendre au sérieux. En la matière, il faudra aussi compter sur les facéties de Monsieur Satan, Tortue Géniale, Oolong et les pitreries de Pilaf et sa bande. Un peu lourdes, ces dernières. Pilaf n'apporte rien si ce n'est de rajouter quinze minutes à l'animé. Quant à la baston de fin qu'on attendait tous, c'est à dire Sangoku face à Beerus, elle tient toutes ses promesses si on tient compte encore une fois de l'écrasante supériorité de Beerus apparemment loin de son potentiel maximum ! Sangoku ajoute une nouvelle transformation à sa panoplie, Vegeta devient toujours plus humain, l'apparition des Saïyens divins et des dieux de la destruction ouvrent une nouvelle ère. C'était nécessaire d'évoluer et d'un autre côté on retrouve certains personnages secondaires un peu oubliés comme Chaozu, Tenshinhan, Yamcha et on garde les voix françaises emblématiques de la série. Celles de Patrick Borg pour Sangoku, Eric Legrand pour Vegeta, Céline Monsarrat pour Bulma. Une manière de réunir l'ancienne et la nouvelle génération. Pour ma part, sans être à fond dans l'univers comme avant, je ne m'interdirai pas de le suivre de loin.
Ça faisait un petit moment qu'il n'y avait pas eu de nouveau film Dragon Ball Z,alors cette "Battlestar of gods" est accueillie avec bienveillance. Malheureusement,on déchante vite tant l'univers de la saga se réduit ici à des plaisanteries typiquement japonaises(le méchant toujours en train de manger,les danses improbables,les amourettes niaiseuses). Chrono en main,sur 85 minutes,il doit y avoir a peine 10 minutes de véritable combat. Bills -Sama est décrit comme la terreur de l'univers,mais au final ce n'est qu'un chat violet avec une allure d'égyptien! Le plus insupportable ici,c'est qu'un gars sans concessions comme Végéta soit craintif et blagueur. Une insulte au personnage. Enfin,l'arrivée du super Saiyen gold(qui ressemble à un gros kaioken...) est vraiment tirée par les cheveux.
Les films « Dragon ball Z » n'ont jamais brillé par leur originalité. Mais bon sang, qu'a-t-il pris aux auteurs de celui-ci ? Ils semblent s'amuser à torpiller chacun des éléments et des personnages secondaires qui ont rendu la saga si célèbre. À l'image d'un méchant sans charisme tout y est tourné en ridicule et il n'y a pas le moindre souffle épique.
Cette bataille des dieux nous fait l'honneur de nous convier à table avec tous les anciens copains de Goku, réunis pour les 32 printemps de notre chère Bulma et pour un bref passage sur grand écran. Shenron est bien évidemment lui aussi convié à la fête et une nouvelle évolution de Goku ne tardera pas à faire son apparition... pour le dessert sans doute; Enfin un nouveau personnage incommensurable... avant le prochain; À la fois tendre et terrifiant ce qui le rend des plus intéressants; D'un appétit demesuré comparé au notre; Lui aussi s'invite à leur table. Le deuxième point intéressant sera ce combat aérien final (et oui, il faudra être patient...), qui évolue dans un décor moins désertique et virevolte avec une certaine rigueur et élégance.
L'esprit de Dragon Ball est là. Il y a quasiment tous les personnages mais la plus part sont plus là pour faire plaisir que par utilité à l'histoire ! Il y a beaucoup d'humour, quasiment que ça, mais au niveau des combats on reste sur notre faim ! Il y a beaucoup de spoiler: courts combats contre le dieu "invinsible" Bills , des combats assez décevants, et même avec le grand combat spoiler: San Goku en dieu contre Bills on reste sur notre faim, surtout spoiler: qu'il n'y a pas de vainqueur, juste un San Goku qui dit qu'il a perdu !! Et le scénario n'est pas terrible ! On est loin des grandes saga de DBZ avec des combats épiques ! Alors c'est beau visuellement, c'est très drôle, mais pour un DBZ, on s'attendait à beaucoup mieux !!
Situé chronologiquement entre la fin de Boo et Dragon Ball GT ?!, ce Battle of Gods est écrit entre autres par Toriyama lui-même.
La réalisation est soignée. Les dessin sont plus fin et les effets 3D ne sont pas désagréables, même si on peu douter de leurs utilités... Faire abstraction de l'aspect "fait maison" de l'époque est difficile.
Battle of Gods est un film à double tranchant. On y voit d'abord un hommage appuyé, mais émouvant à cet univers, un film invoquant la nostalgie, puis de l'autre côté, un drôle d'objet marketing, censé lancer une nouvelle franchise. On traverse le film avec nostalgie, mais on le finit avec une certaine frustration...
Après l’horreur américaine de Dragon Ball Evolution, on pouvait penser que cela en été finis de façon définitive pour la saga Dragon Ball. Mais avec la vague années 80 que traverse les mangas, il n’a pas fallut longtemps avant que Dragon Ball Z revienne pour une nouvelle aventure. Pour ce nouvel animé, on se retrouve peu de temps après la défaite de Boo et bien avant Dragon Ball GT. On retrouve, dans ce manga, l’esprit des premiers dragon ball ou presque car ce qui est le plus dommage c’est que voulant touché un public très jeune, la version de Dragon Ball Z : Battle of Gods est très édulcoré par rapport aux origines de la saga, c’est même plus édulcoré et censuré que la version du club Dorothée. De plus, on tente de retrouver l’humour du manga, mais cela tombe complètement à plat à chaque fois. Malgré quelques défauts évidents, on est tout de même heureux de retrouver un vrai Dragon Ball même si on est loin de la qualité d'autre fois.
Premier film Dragon Ball Z depuis très, très longtemps, réalisé d’après un scénario que l’on nous annonce comme écrit par Akira Toriyama, Battle of gods n’a au final rien d’autre de réjouissant que de nous faire faire retrouver tous les personnages de la série culte (l’histoire se déroulant après la fin mais tenir compte des évènements de DBGT). Mais la fameuse bataille des dieux n’est en réalité qu’une vaste plaisanterie, d’un humour typiquement japonais, et sur un schéma scénaristique déjà vu mille fois, et donc sans suspense, faisant suivre l’arrivée d’un ennemi à priori invincible contre lequel tout le monde va perdre jusqu’à ce qu’arrive Sangoku, qui entre temps s’est entrainé, et ne trouve comment le battre… enfin bref, vous connaissez la chanson. S’il est à noter que l’écriture fait en sorte de se dérouler lors d’un événement prétexte à réunir un maximum de personnages autre qu’un sempiternel tournoi d’arts martiaux (en l’occurrence l’anniversaire de Bulma), il est dommage que beaucoup d’entre eux soit à ce point sous-exploité au point de ne faire de la figuration ou, comme ce pauvre boubou, paraissent si faible. Pour ce qui est des combats, il n’y en a que trop peu, et manquent de coordination et de lisibilité. C’est dommage, le méchant de l’histoire est un nouveau tout à fait original, monstrueusement méchant mais attachant, que nos héros n’auront pas eu l’occasion d’affronter de façon crédible.
Seize ans sans les derniers OAV (qui étaient en fait deux moyens-métrages compilés), voilà que sort enfin un premier VRAI film, d'une durée d'1h20, avec un scénario original et supervisé par Akira Toriyama en personne. Réalisé pour les fans avec un soin inouï, le film profite des nouvelles technologies pour nous livrer une animation jamais vue où la texture de la 3D, réaliste, se mélange à une 2D de qualité, renvoyant les épisodes de la série TV au rang d'animation archaïque. Ici, les combats sont immersifs, violents, mis en scène avec une élégance rare où la caméra virevolte comme jamais, nous plongeant au cœur de l'action. Imaginez juste le combat final de Man of Steel mais dans l'univers de DBZ. Voilà. Quant au scénario, Yûsuke Watanabe (scénariste du diptyque Gantz) nous a concocté du lourd, du très lourd. Quelques années après l'affrontement contre Boo, nos héros voient la visite du Seigneur Bills, Dieu de la Destruction qui a décidé avec malice d'annihiler la Terre. Ce nouveau personnage, accompagné d'un sidekick aussi raffiné que glouton, s'avère très sympathique et n'est pas du tout l'ennemi terrifiant qu'on le pensait. Bien au contraire, il est drôle, déjanté et vite attachant. Autre nouveauté, le fameux Super Sayan God qui, malgré sa courte présence à l'écran, fera avoir une érection à tout bon fan de la saga. Pour le reste, l'humour du manga est très présent et les références à la société contemporaine japonaise est de mise pour un cocktail détonant qui manque cependant légèrement d'émotion (la première place revient au bouleversant "L'Attaque du Dragon") mais qui gagne en action et en petites séquences vraiment inédites, notamment concernant Vegeta. À noter qu'il est préférable de regarder auparavant le court-métrage "Son Goku et ses amis sont de retour !" pour plus de compréhension dans certaines situations. En bref, faisant fi de "Dragon Ball GT" et renouant avec la puissance inébranlable du manga original, Battle of Gods est une réussite tout ce qu'il y a de plus magique qui nous balance en pleine poire notre tendre jeunesse pour un émerveillement supplémentaire.
A vrai dire je suis assez déçu de cet OAV. J'espérais peut-être quelque chose de plus profond et une vraie surprise quant au fameux personnage Super Saian God (ceux qui ont vu auront compris).J'ai été simplement content de retrouver les personnages de mon enfance dont certains en particulier originaire de Dragon Ball. Bref pas de surprise mais de la nostalgie ;)