Avis : The Voices - Page 10

Une joyeuse comédie à l'humour grinçant comme on en voit trop rarement. Casting impeccable, mise en scène agréable, on retrouve ici un peu de "dexter" et ce n'est pas pour nous déplaire. A voir mais attention car certaines scènes peuvent choquer.

Pas grand chose à dire de ce film finalement, si ce n'est qu'il ne fait de mal à personne et qu'il est assez rafraichissant, même si la lecture de son scénario est, une fois la machine en route, quelque peu prévisible. Je regrette de ne pas avoir vu des animaux plus pervers encore, plus bavards aussi, et plus attachants, car dans l'ensemble ils ne nous disent pas grand chose. Mais bon, le film fonctionne quand même et ça reste le principal.

Très bon ds l'ensemble... Comédie thriller horrifique rafraîchissant... L'histoire est prenante et l ambiance est bien décalée... Notre protagoniste est un schizophrène sous traitement qui entend des voix lorsqu'il ne prend pas ses cachets... C'est un solitaire en herbe qui parle régulièrement à son chien et à son chat... Il va commettre des meurtres malgré lui pensant faire le bien et tomber dans une spirale infernale... J'ai adoré le contraste qu'il y a entre son univers spirituelle et la réalité notamment de son appartement par ex... Les acteurs sont excellents surtout l acteur principal... La fin est sympa... Une véritable bonne surprise...

Cinéaste très reconnue en France, l’Iranienne présente des œuvres disparates mais toujours qualitatives. The Voices, sort encore du genre. A l’image de son personne schizophrène, son filme navigue entre la comédie, l’horreur et le drame. On pense un temps à Dexter, puis à Maniac ou encore à Her, mais The Voices a bien son identité. On retrouve donc Ryan Reynolds dans un rôle inattendu. Sa droiture élégente mêlée à une candide naïveté nous charme. On a envie d’être aux côtés de ce pourtant meurtrier. Sa non prise de traitement médical est caractérisé par ce qui est le plus drôle dans le film, l’intervention des animaux et des morts. Les scènes cocasses s’enchaînent et les absurdes meurtres se multiplient. The Voices est drôle et pinçant. Ses décors et costumes bonbons acidulés nous mettent dans une ambiance de confiance et de bonheur, mais l’histoire est un chocolat d’humour noir presque gore.
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" The Voices" est un bon divertissement, décalé et captivant. Un OVNI banal qui sort son épingle du jeu. C'est une réussite. Le scènario est correct, les acteurs sont bons et la mise en scène réussie. " The Voices " est à mourir de rire. Rien de terrifiant, ni trash dans ce film. Le but c'est de faire rire le spectateur pendant 1h40 pour passer un bon moment. Et c'est efficace. Un film bien écrit dans lequel les dialogues passent et c'est également un tourbillon de références cinéphiles. L'acteur principale, Ryan Reynolds, interprète un schizophrène qui se transforme en meurtrier lorsqu'il oublie ses médicaments. Il s'imagine avoir des discussions avec son chat et son chien. L'un qui le pousse à tuer et l'autre qui essaye de l'aider. Ryan Reynolds est très bon dans la peau de ce type. Et sa maladie pathologique fait beaucoup rappelé, celle de Norman Bates ( le tueur en série de "Psychose", D'Alfred Hitchcock ) qui est quasi identique dans " The Voices". Un rôle tordu pour l'acteur qui livre une prestation dès plus inattendu. Ryan Reynolds a un bon rôle. Cette OVNI est une relecture intéressante des films d'horreurs et de Thriller. Une comédie sur fond cauchemardesque et à l'humour bien décalé. Une bonne série B.

Un film original, instable, surprenant, qui retrace l'histoire de tueur en série aussi gentil que violent. Le mélange de deux genres opposés : comédie pure et dure d'un côté / film d'horreur violent et glauque de l'autre est donc réussi.

On suit l’histoire de Jerry, interprété par Ryan Reynolds, travailleur discret dans une société qui fabrique des baignoires. Victime de troubles psychologiques, il entend des voix et converse avec ses animaux.
Le scénario est extrêmement original. Vu sous un autre angle, il pourrait s’agir d’un genre de Slasher Movie avec un homme un peu étrange tuant les gens autour de lui. Or, le fait de suivre cette histoire dans la tête du personnage principal donne un point de vue inédit. L’ambiance est déjantée, particulièrement dans les séquences de délire de Ryan Reynolds. De plus, les détails ont été travaillés dans les séquences où il est lucide et celles où il se trouve sous l’emprise de sa maladie. Le décalage ne se limite pas aux dialogues avec ses animaux. spoiler: L’état de son appartement est une très bonne trouvaille.
J'estime simplement que l’histoire de Ryan Reynolds aurait pu être un peu plus développée avec davantage de révélations sur son enfance, mais le film demeure excellent.

Sur le papier le film a l'air complètement loufoque dans le mauvais sens du terme: Ryan Reynolds, un chien et un chat qui parlent, tout ça emballé dans un thriller sanglant à l'ambiance de comédie musicale. Mais ce qui pouvait être une énorme catastrophe est tout simplement génial. Ryan Reynolds d'abord, dont on commençait à entrevoir le talent depuis “Buried” et que l'on a aimé dans “Captives”. C’est lui qui s’est intéressé au projet et qui s’est proposé pour le rôle de Jerry Hickfang.gemma artenton est aussi parfaite comme d'habitude et que j'ai adorer dans Tamara drewe. Et Anna Kendrick peu connue du grand public mais que j'ai vu dans un the air et pas mal . donc the voices et un excellent film mélangeant thriller et comédie , un mélange d'étonnant .

La schizophrénie, un sujet grave traité de façon magistrale ici, après les très bons "Persepolis" et "Poulet aux Prunes" Marjane Satrapi surprend encore de très belle façon.
Un mélange des genres, de la comédie rose bonbon jusqu'au gore en passant par la réalité sombre et noir du sujet à sa réalité parfois douce amer, parfois insouciante et parfois très dérangeante..
Les différentes personnalités de Jerry (Ryan Reynolds) sont incarnés par ses animaux de compagnie(du moins au début..) avec qui il essaiera de composer au mieux...
Surprenant, original et remplies de bonnes idées, une très bonne surprise ! (mais qui ne plaira pas à tout le monde..)

La grosse surprise de ce début d'année signée Marjane Satrapi ("Persepolis") que l'on attendait partout sauf dans ce registre. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas investi autant émotionnellement dans un film pour son personnage au point de réagir pour de vrai (chose assez rare), alors qu'à priori "The Voices" ne propose rien de révolutionnaire non plus (je suis en plein dans "Dexter" en ce moment même et je me risquerais à dire que niveau impact émotionnel, on est vraiment pas loin). Si le film est si fort je pense que c'est en grande partie grâce à ses brutales ruptures de ton qui traduisent le conflit entre la vision déformée/idéalisée de Jerry (schizophrène et paranoïaque au dernier degré) traduite par une omniprésence de tons chauds (les "roses" de travail, il fallait y penser) et un environnement propre et lisse, et la réalité. Le film adopte la plupart du temps le point de vue de son personnage ce qui le rend forcément très touchant mais lorsque la réalité prend le dessus, Jerry apparaît juste terrifiant et une fois la mécanique de pensée du personnage pigé, certaines de ses actions sont d'un malsain....ce doit être aussi pour ça que j'ai trouvé beaucoup de scènes si dures à supporter alors qu'encore une fois, je me fais "Dexter" en ce moment, ce film n'est vraiment pas à mettre entre toutes les mains et le fait que la représentation de la réalité soit souvent rose ajoutée à l'affiche presque mignonne sont trompeurs. Tout dans ce film traduit un conflit: entre la réalité de Jerry et la "vraie" réalité, entre les genres (de la comédie musicale rose bonbon au thriller très trash), entre l’instinct et la morale, le désir et la raison, le chien et le chat...y chercher un sens profond ou même une leçon à retenir ne me semble pas être la bonne approche, mais "The Voices" reste un film de très très bonne facture. Seul le symbolisme religieux des dernières minutes est un peu de trop (enfin, "symbolisme" est un bien grand mot) mais tous les autres choix du film sont judicieux, les réalités superposées et le mélange des genres marchent à merveille et Ryan Renolds que personne ne tient en tête de son classement de ses acteurs préférés ("R.I.P.D.", "Green Lantern", "X-Men Origins: Wolverine", le pauvre choisit vraiment mal ses rôles) ne décollera peut-être pas avec ce film qui ne fera sans doute pas un carton monumental mais prouve avec son interprétation aux petits oignons, aussi juste dans les registres comiques et terrifiants, qu'il pourrait bien faire un bon Deadpool. Je me suis éclaté.

Une excellente comédie dramatique, une histoire très originale, des personnages attachants et dérangeants à la fois. On a une approche directe de ce qu'il se passe dans la tête d'un parfait psychopate !

The Voices est un film surprenant, dans le bon sens du terme. Il nous amène dans le monde complètement fou de Jerry. Il manie habilement à la fois le registre du comique et de l'horreur, tout en ajoutant une réelle dimension psychologique à ses personnages. Jerry est un personnage très bien écrit qui attire sympathie et l'envie de le protéger, ou tout du moins une certaine compréhension de la part du spectateur. L'histoire est prenante et le film tient toutes ses promesses, jusque dans le générique de fin.
Un film à voir absolument et qui n'a pas eu le succès mérité !

Malgré de bons acteurs un sujet a l'humour noir réussi ce film se rate tant il est pris dans des longeurs inutiles et vaines. Reconnaissant tout de même quelques idées aboutis, surtout celle avec ou sans pillules, la caméra trop molle peine a nous emballez de par son abus de silence et de mise en place. Ryan Reynolds sauve ce film du naufrage et c'est deja beaucoup.

Une comédie noire comme on aimerait en voir plus souvent. Seul bémol, un scénario un peu redondant, une idée de base excellente mais sous-développée. Dommage, il y avait matière à plus.

Lorsqu'il oublie de prendre ses médicaments, le gentil mais fragile Jerry se transforme en assassin sous l'influence de ses animaux, dotés de la parole. Ce postulat original ne tient malheureusement pas ses promesses. Le film tourne rapidement en rond et le spectateur plonge dans l'ennui.