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Emouvant et d'une grande beauté esthétique, La Couleur du paradis célèbre la perfection d'un monde où s'équilibrent, violemment parfois, sérénité et conflits.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) le film de l'Iranien Majid Majidi est bien plus qu'un mélo. Il ressucite avec une poésie proche de celle de Mohsen Makhmalbaf (...) les valeurs simples que sont l'amour, la famille, la nature.
(...) La Couleur du paradis est un film inspiré dont les quelques scories (...) n'altèrent pas la justesse descriptive d'un enfant mal aimé. Dans ses meilleurs moments, l'oeuvre dit l'indiscible de toute destinée humaine.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) Majidi fait en sorte de ne pas confondre pathos et précipitation. (...) Selon sa sensibilité, on pourra trouver cela simpliste ou candidement sincère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Même si les ficelles sont grosses (mais n'est-ce pas là la caractéristique principale de tout bon mélo ?), le spectateur est souvent efficacement pris en otage par le drame en train de se jouer devant ses yeux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Il y a du bon et du mauvais dans ce film iranien conformiste. Le mauvais, c'est l'utilisation d'un décor idyllique et bucolique comme arrière-plan à l'histoire (...). Le bon, c'est la manière dont ce récit évolue (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
On peut reprocher à Majidi d'alourdir sa mise en scène de contrastes édifiants, mais on peut aussi honnêtement se piquer au jeu du mélodrame naïf et de sa poésie céleste.
De cette balade à rebondissements qui vire au mélodrame, on peut préférer une précédente envolée plus légère et plus homogène du même auteur-réalisateur, les Enfants du ciel, qui fut nominé aux oscars 1999.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La couleur du paradis possède tout le charme des meilleurs contes sur l'enfance (...) mais aussi la plupart des revers qui nuisent à ce genre formaté (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Encore un insupportable film iranien, basé sur un laborieux dialogue aporétique entre le monde de l'enfance (Mohammad, le petit garçon, est aveugle) et le monde adulte (le père ne veut rien entendre).
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Aden
Emouvant et d'une grande beauté esthétique, La Couleur du paradis célèbre la perfection d'un monde où s'équilibrent, violemment parfois, sérénité et conflits.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
(...) le film de l'Iranien Majid Majidi est bien plus qu'un mélo. Il ressucite avec une poésie proche de celle de Mohsen Makhmalbaf (...) les valeurs simples que sont l'amour, la famille, la nature.
MCinéma.com
Un émouvant concentré de vie.
Positif
(...) La Couleur du paradis est un film inspiré dont les quelques scories (...) n'altèrent pas la justesse descriptive d'un enfant mal aimé. Dans ses meilleurs moments, l'oeuvre dit l'indiscible de toute destinée humaine.
Première
(...) Majidi fait en sorte de ne pas confondre pathos et précipitation. (...) Selon sa sensibilité, on pourra trouver cela simpliste ou candidement sincère.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Même si les ficelles sont grosses (mais n'est-ce pas là la caractéristique principale de tout bon mélo ?), le spectateur est souvent efficacement pris en otage par le drame en train de se jouer devant ses yeux.
L'Humanité
Il y a du bon et du mauvais dans ce film iranien conformiste. Le mauvais, c'est l'utilisation d'un décor idyllique et bucolique comme arrière-plan à l'histoire (...). Le bon, c'est la manière dont ce récit évolue (...)
L'Obs
(...) malgré quelques notes ironiques, le film bascule dans le mélo social et mystique.
Le Journal du Dimanche
On peut reprocher à Majidi d'alourdir sa mise en scène de contrastes édifiants, mais on peut aussi honnêtement se piquer au jeu du mélodrame naïf et de sa poésie céleste.
Le Monde
Toutes les ficelles du mélo sont actionnées avec la délicatesse de l'imagerie publicitaire au service d'un moralisme bigot.
Les Inrockuptibles
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin, elle se brise. Tant exploite-t-on les enfants dans les films iraniens qu'à la fin on nous les brise.
Libération
De cette balade à rebondissements qui vire au mélodrame, on peut préférer une précédente envolée plus légère et plus homogène du même auteur-réalisateur, les Enfants du ciel, qui fut nominé aux oscars 1999.
Urbuz
La couleur du paradis possède tout le charme des meilleurs contes sur l'enfance (...) mais aussi la plupart des revers qui nuisent à ce genre formaté (...)
Repérages
Encore un insupportable film iranien, basé sur un laborieux dialogue aporétique entre le monde de l'enfance (Mohammad, le petit garçon, est aveugle) et le monde adulte (le père ne veut rien entendre).
Télérama
Ni les ralentis «poétiques» ni l'enflure larmoyante n'aident à faire passer ce désagréable chantage à l'émotion.