Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot
(...) l'actrice Larissa Sadilova a choisi un noir et blanc magnifiquement grumeleux et dérangeant. Un "blanc et blanc", plutôt, tant la luminosité des carrelages, des murs, des draps et des teints est aveuglante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Une jolie fiction, récompensée au Festival de Créteil en 1999, tout en noir et blanc, et qui sourit à la vie.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par François Forestier
Un champ de bataille qui n'a rien à voir avec le rose poupon et sur lequel Sadilova a choisi de témoigner en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Aden
par Philippe Piazzo
Ça aurait fait un très joli court métrage. C'est un long. Mais de une heure dix seulement. Qui paraît bien long quand même.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) cette oeuvre bon enfant (c'est le cas de le dire) s'apparente au réalisme poétique le plus artificiel : non seulement les voix sont postsynchronisées et un leitmotiv musical de Rachmaninov rajoute une emphase romantique déplacée, mais les personnages ne sont que des stéréotypes sociaux aux traits appuyés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce panel sociologique rappelle soudain la propension d'un certain néoréalisme italien à tomber dans un populisme confinant au réalisme poétique. Ou comment faire du toc en partant d'un réel substrat documentaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) l'actrice Larissa Sadilova a choisi un noir et blanc magnifiquement grumeleux et dérangeant. Un "blanc et blanc", plutôt, tant la luminosité des carrelages, des murs, des draps et des teints est aveuglante.
Zurban
Une jolie fiction, récompensée au Festival de Créteil en 1999, tout en noir et blanc, et qui sourit à la vie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Un champ de bataille qui n'a rien à voir avec le rose poupon et sur lequel Sadilova a choisi de témoigner en noir et blanc.
Aden
Ça aurait fait un très joli court métrage. C'est un long. Mais de une heure dix seulement. Qui paraît bien long quand même.
L'Humanité
(...) cette oeuvre bon enfant (c'est le cas de le dire) s'apparente au réalisme poétique le plus artificiel : non seulement les voix sont postsynchronisées et un leitmotiv musical de Rachmaninov rajoute une emphase romantique déplacée, mais les personnages ne sont que des stéréotypes sociaux aux traits appuyés.
Les Inrockuptibles
Ce panel sociologique rappelle soudain la propension d'un certain néoréalisme italien à tomber dans un populisme confinant au réalisme poétique. Ou comment faire du toc en partant d'un réel substrat documentaire.