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    La Couleur de la victoire
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    169 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 août 2016
    film tres touchant mettant en relief les discriminations subies par les athlètes noirs américain lors des jeux olympiques de 1936. j'admire le scénario le décor et lappropriation du rôle par jesse owens. je regrette néanmoins que les sévices subit par ces derniers dans la team usa aient minimisees.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 août 2016
    Bon moment que ce film biographique et historique. Malgré l'ambition de reconstituer une période et des lieux fameux, c'est bien fait. Pas d'invraisemblance trop visible, c'est bien posé. L'histoire est connue mais c'est à vivre... Et quel utilité pour les jeunes générations qui doivent s'imprégner de ce qui était vrai ou quotidien dans les années 30. Bravo !
    floramon
    floramon

    80 abonnés 1 419 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2016
    J'ai apprécié le film, il y a avait beaucoup d'émotion au niveau des scènes sportives, sinon cela reste un biopic intéressant mais rien d'extraordinaire
    Chris58640
    Chris58640

    208 abonnés 755 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2016
    Stephen Hopkins et ses scénaristes ont choisi de ne pas retracer la vie de Jesse Owens mais de se concentrer uniquement sur la période 1933-1936, ce qui est à mon sens une bonne idée. On devine beaucoup de choses de la vie d’avant de Owens, sa fille née hors-mariage (à une époque où cela faisait très mauvais genre), la crise de 1929 qui plonge sa famille dans la misère, la rudesse de l’époque pour les noirs américains parfaitement illustrée par le personnage de son père, taiseux et froid, rempli d’une rage silencieuse et froide contre son époque et la façon dont l’Amérique traite sa population noire. Beaucoup de choses sont davantage suggérées que clairement montrées, ce qui est plutôt une qualité quand c’est fait avec parcimonie. Stephen Hopkins filme les scènes de sport avec intelligence et efficacité et Dieu sait que c’est difficile de bien rendre le sport au cinéma, l’athlétisme comme les autres. Il nous offre également, surtout dans sa dernière partie à Berlin, des scènes assez fortes comme l’entrée dans le Stade comble avant la finale du 100m, au milieu d’une foule qui tend le bras comme un seul homme vers son Führer : frissons (d’angoisse) assurés... Cela me donne l’occasion de souligner la qualité de la reconstitution, tant aux USA qu’à Berlin. J’étais d’ailleurs assez curieuse de voir comme le cinéma américain de 2016 allait pouvoir reconstituer ces JO pas comme les autres et son ambiance glaçante, et j’ai plutôt été convaincue par ce que j’ai vu à l’écran. Je regrette juste que la cérémonie d’ouverture ait été sacrifiée, cela aurait été l’occasion de montrer les athlètes américains refusant le faire le salut nazi devant la tribune officielle. Coté casting, Stephen James fait le job mais on peut quand même regretter son jeu un peu lisse, son petit manque de charisme, ce qui est dommage quand on interprète une légende. A ses côté, Jeremy Irons, Carice van Houten et surtout Jason Sudeikis sont très à leur affaire. Et puis je fais une petite mention à David Kross, qui fait honneur à l’athlète allemand Carl Long, dont le fair play mais surtout le courage mériterait bien un biopic à lui tout seul. En fait, le film propose en parallèle deux intrigues : d’un côté, l’ascension d’Owens, avec ses obstacles raciaux, ses déconvenues personnelles. Cette partie est traitée de façon assez conventionnelle (il gagne avec une facilité qui ne sonne pas très crédible !), les vexations racistes, les problèmes conjugaux, ses relations parfois difficiles avec son entraineur, tout cela n’est pas très original. De l’autre côté, les atermoiements du Comité Olympique américain et sa participation ou non aux JO de Goebbels et Hitler. Cet autre angle du vue n’est pas la moins intéressante des deux, je dois dire. Les arguments des « pour » et des « contre » sont parfaitement expliqués et recevables et l’on se dit qu’une légende ne tient parfois qu’à un fil. Néanmoins, le scénario est très indulgent avec les dirigeants de l’Olympisme américain de l’époque, et même avec la mentalité américaine en général. C’est aller historiquement un peu vite de dire qu’une partie importante de l’opinion publique américaine exécrait le nazisme en 1935… Non, en 1935, l’Allemagne d’Hitler n’inquiète pas vraiment, elle ne scandalise que très peu, elle fascine même quelques dirigeants américains. L’attitude cynique de Joseph Goebbels (interprété par Barnaby Metschrat qui a parfaitement intégré le personnage à en faire froid dans le dos !), le maquillage cosmétique de Berlin pour cacher les croix gammées et les étoiles de David peintes sur les vitrines, la fausse respectabilité affichée par le régime nazi le temps d’une Olympiade, tout cela est véridique et tout à fait bien rendu. En revanche, la cinéaste Leni Riefenstahl est particulièrement bien traitée par le scénario, qui la dépeint comme une nazie de circonstance, passionnée par son métier et qui transige avec l’idéologie dans le seul but de pouvoir continuer de travailler. Elle résiste même (un peu) à Goebbels dans quelques scènes, mais on la sent surtout prisonnière de sa peur. Je ne connais pas assez bien son histoire pour savoir si c’est crédible ou non, l’Histoire ne tient pas « Les Dieux du Stade » pour autre chose qu’un film de propagande nazi, tans pis pour elle… La dernière partie à Berlin donne à Hopkins l’occasion de montrer que le sport, c’est l’opposé de la guerre et de la haine de l’autre puisque sur le stade, plus de Blancs ou de Noirs, plus d’Allemands ou d’Américains (les autres nations n’existent pas dans le film d’Hopkins !) mais seulement des sportifs qui font de leur mieux et qui se serrent la main à la fin. C’est un message simple mais essentiel et plus que jamais d’actualité. Le scénario rappelle constamment, et surtout à la fin, combien la ségrégation qui sévissait aux USA était aussi scandaleuse et imbécile que les lois nazies étaient criminelles en Allemagne. D’ailleurs, lorsque Jesse Owens arrive au village Olympique de Berlin et qu’on lui explique qu’il n’y a pas de chambres spécifiques pour les Noirs, il trouve l’Allemagne d’Hitler accueillante par rapport à ce qu’il connait, comme quoi il n’y a rien de simple dans la vie… Pour conclure, « la couleur de la victoire » (merci encore une fois aux distributeurs français pour avoir choisi le titre le plus navrant possible) est un film très honorable qui, malgré quelques facilités et quelques raccourcis, rend un bel hommage à Jesse Owens, l’homme aux initiales prédestinées.
    Christophe R
    Christophe R

    29 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2016
    "La Couleur de la Victoire" est un de ces films américains sirupeux décevants alors que porteurs d'un sujet en or. Le destin de Jesse Owens méritait mieux, selon moi, que le traitement ici donné faisant penser à une énième tentative de rédemption du cinéma US devant l'incapacité de toutes époques à accepter les différences (années 30 aux USA, en Europe ou actuellement : mêmes combats vains). Finalement, le personnage même de l'athlète n'est pas assez creusé et le fond politique prend (trop) le dessus sur ce que la mémoire de Jesse Owens mérite. Vraiment dommage, un documentaire ferait sans doute mieux l'affaire.
    Florent T.
    Florent T.

    7 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 août 2016
    Dommage qu'un sujet si passionnant ait été traité de la sorte... Décors de synthèse rédhibitoires, personnages simplistes et caricaturaux (Hitler est à pisser dans son froc), intrigue traitée façon Disney pour bébés de quatre ans, fin à la gloire des States genre "indépendance Day"... Un type qui a eu le courage de marcher sur les nazis en 36 aurait mérité bien mieux au cinéma...
    TchoSensei97
    TchoSensei97

    40 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2016
    Sujet passionnant et très bien traité dans ce film. Ce biopic n'oublie aucun enjeu lié à l'histoire de Jesse Owens, et sait les rendre importants et captivants, avec notamment de nombreux dialogues très intelligents autour de dilemmes idéologiques. Dans ce contexte, le message envoyé serait-il plus fort si un noir ne participait pas au J.O, ou si au contraire il remportait tout face aux concurrents allemands ? Il y a également un bel esprit sportif montré dans ce film, qui prouve une nouvelle fois que dans une épreuve, il n'y a pas de blancs ou de noirs, d'allemands ou d'américains, mais seulement des concurrents. Le fair-play doit surpasser les différences d'idéologie, qui ne devraient même pas être un enjeu en lien avec le sport. La photographie du film est également superbe, lors de magnifiques plans où de nombreux ouvriers construisent le stade avec les moyens de l'époque, ou lorsque qu'un bateau quitte les rivages de New-York. La relation entre Jesse et son coach est très intéressante, même si on en a connu des plus fortes rien que cette année dans "Creed" ou "Eddy The Eagle". Mais on aurait pu attendre un peu plus d'intensité vers la fin, lors des épreuves sportives, qui ne réussissent pas à être aussi saisissantes que les scènes qui traitent les enjeux politiques.
    virnoni
    virnoni

    97 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2016
    On peut attendre plus de cette bio d'un grand champion malheureusement assez tombé dans l'oubli (rapidement !). Il est tout à fait juste et normal qu'il ait enfin un film à sa "gloire" (dans son sens noble), tant il a battu des records impressionnants, qui ne pourraient plus se faire de nos jours (et même si les temps, épreuves et fonctionnements ne sont plus comparables). Mais c'est surtout sur son courage et sa détermination qui sont à montrer en exemple, face au nazisme et à la barbarie. Nier que les JO soufflent selon la politique et véhiculent même d'autres valeurs qu'uniquement celles sportives, me semblent assez hypocrite. C'est ce qui pêche donc dans tout le film qui effleure ce thème (pourtant central ?!). Certes, on reste dégouté face à la "négociation" du Pdt du CIO avec les autorités nazies, mais la force de la démonstration de Jesse Owen n'est jamais bien montrée. Peu de souffle, de tension. Le film n'est en rien épique par rapport à l'accomplissement de cet athlète. Qq peu embêtant pour un tel sujet ! De plus, j'émets des sérieux doutes quand à la véracité de certains moments (le champion allemand Long a-t-il été aussi exemplaire ? La relation entre Owen et son coach aussi intense ?) : on ressent trop de "sirop" qui aseptise le propos qui aurait mérité plus de conviction et de démonstration politique. Je suis même choquée de constater que jamais Hitler ne parle dans ce film, on a l'impression d'avoir affaire à un "jeunot avec une moustache qui se cache derrière sa casquette de peur d'être reconnu" mais surtout sous l'unique influence de Goebels ??!
    Le film veut certainement trop traiter de sujets : la vie privé de Owen (gnan gnan à souhait!), sa relation avec son coach, les pressions subies par sa communauté...tout est intéressant mais tout tombe à l'eau en étant que partiellement traité au final. Il en résulte un film assez fade avec de sérieuses ellipses (la reconstitution est néanmoins assez bien faite, excepté certaines scènes à l'intérieur de stade, assez laides) mais qui endort à cause de son traitement académique. Dommage aussi à la fin de ne pas avoir plus relaté dans quelles conditions Owen a vécu, suite à ses exploits qui, comme le disait son père "n'ont servi à rien". Mais cela serait alors une autre histoire à conter : le racisme "ordinaire" aux USA, même pour les héros!
    Cet homme méritait donc un film plus complexe et riche (lui-même devait l'être un peu plus que cet homme lisse au final) mais il a le mérite d'exister et de tenter de le réhabiliter comme il se doit ! La question demeure : le sport peut-il transcender les peuples et l'histoire ?
    Dom Domi
    Dom Domi

    39 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2016
    Beau film qui se passe dans un moment de l'Histoire difficile à rendre crédible sans gros moyens. Heureusement les images de synthèse viennent aider le réalisateur. On apprend ainsi, car le film se veut précis et sans trop de concession, des choses que je ne connaissais pas. Et puis, on peut y comprendre le rôle majeur du sport lorsqu'il donne à ses acteurs un état d'esprit en rupture avec la " logique politique " du moment et du lieu. Le coureur court au plus qu'il peut pour gagner le droit à la reconnaissance de son talent et du travail effectué. Lorsque le pistolet lui donne le droit de participer à la course, son seul but est de faire au mieux de ses capacités. Et dans cette bulle, il n'a plus rien à perdre et tout à gagner. Ce film pose bien le débat suivant: Faut-il participer, en toutes occasions, à des jeux olympiques. La réponse, à l'évidence est oui.

    dom
    LeFilCine
    LeFilCine

    176 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2016
    En cette période olympique, des producteurs avisés n'ont pas manqué l'occasion de nous proposer un biopic sur un des héros nationaux américains. Et c'est donc un portrait de Jesse Owens, le célèbre athlète des années trente, que nous propose le réalisateur Stephen Hopkins. Le contexte historique de l’époque a rendu les exploits du sprinteur américain mémorables. En effet, le film présente cette période où la ségrégation raciale fait rage aux Etats-Unis et fait face à la montée du nazisme en Allemagne. Il y a donc bien des choses à raconter dans ce film : l'aspect historique et politique est vraiment ce qu’il y a de plus intéressant dans le long-métrage. Le scénario n'occulte pas, en effet, les atermoiements du comité olympique américain quant à savoir si la délégation US ne se devait pas de boycotter ces Jeux. Par contre, deux autres intrigues annexes, la vie privée de Jesse Owens et la situation de son entraîneur, ne sont pas des plus captivantes. Le personnage de Jesse Owens n'est pas assez creusé, et Stephan James, qui l'interprète, n’est guère convaincant. La reconstitution des JO 1936 à Berlin est un joli tour de force visuel, et on nous propose de belles anecdotes sur ces Jeux hors du commun restés dans l'Histoire. Jusqu'au bout le film est intéressant, mais se contente d'être une jolie leçon d'histoire et manque vraiment d'incarnation, sauf peut-être dans quelques rôles et intrigues secondaires.
    mat niro
    mat niro

    352 abonnés 1 811 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 août 2016
    L'histoire de Jesse Owens et sa détermination à participer aux JO de Berlin en 1936 sous le régime nazi. J'ai trouvé ce film assez creux avec notamment des baisses de rythme assez récurrentes. Stephen James, qui incarne ici la légende, manque de charisme et de prestance dans son rôle d'athlète qui ne doit pas céder à des manipulations géopolitiques. Ce film est cependant une bonne piqûre de rappel contre le racisme et l'antisémitisme. Cependant, au visionnage de celui-ci, je trouve que le réalisateur, Stephen Hopkins, s'est contenté de traiter ces sujets assez superficiellement et le film manque de profondeur. Les relations entre les membres du Comité Olympique et certains sportifs sous un régime totalitaire auraient pu être plus mis en avant. Un biopic sur une partie de la vie du champion assez lisse dans l'ensemble.
    Imparfaite99
    Imparfaite99

    60 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2016
    Quelle œuvre!!! Je ne peux qu'être d'accord avec toutes les éloges lues auparavant...
    Ce biopic est parfaitement joué et adapté. On frissonne à chaque courses, à chaque nouveau record, mais ce que l'on retient le plus, c'est l'aventure humaine malgré les horreurs du nazisme.
    Un film qui restera à jamais gravé dans ma mémoire. À voir ABSOLUMENT.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 août 2016
    La problématique est vraiment intéressante ainsi que la vie de Jess Owen mais je trouve que le sujet est juste survolé sans rentrer plus dans lès détails ça reste une joli histoire e avec une fin heureuse alors que ça aurait pu être plus profond
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2016
    Excellente interprétation et mise en scène. La reconstitution et le rythme sont très bons. J'ai appris des choses et je me suis amusé. Je recommande ce film.
    funkymusique f
    funkymusique f

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2016
    c est très bon film avoir et revoir c est son des film un demodable pas d action met l histoire fait mieux un film d'action bien interprètes on se croirait à cette époque c'est qu il fait un bon film à voir assauts lu men
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