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Hirokazu Kore-Eda applique le fameux précepte cinématographique de Jean Cocteau, "filmer la mort au travail". A sa manière : méditative et surnaturelle, comme un songe obsédant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Peu de mouvements d'appareil, pratiquement aucun gros plan, une volonté permanente d'inscrire les figures dans le cadre qui les fait exister, le film est d'une force et d'une beauté inouïe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'inventivité d'After Life ne se limite pas à cette étonnante mise en abyme du cinéma : une sublime trame romanesque (...) se greffe à la peinture déjà insolite de cet univers imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) un scénario qui porte à ses personnages un amour dénué de sentimentalisme et qui n'oublie pas d'être léger quand l'occasion se présente. Sobre, minimaliste, juste, After Life s'apparente à un Dogma nippon débarrassé du méthodisme radical (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Kore-Eda établit une filiation entre l'expérience des limbes et le cinéma, comme si ce dernier était en soi tout puissant, et suffisait à retranscrire la charge affective contenue dans la mémoire humaine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le grain de l'image, le souffle et les plans fixes confèrent à l'irréalité du propos les allures d'un reportage plus vrai que nature. Kore-Eda joue de la poétique du contraste et oppose l'improbable et le tangible avec majesté.
Télérama
Hirokazu Kore-Eda applique le fameux précepte cinématographique de Jean Cocteau, "filmer la mort au travail". A sa manière : méditative et surnaturelle, comme un songe obsédant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Peu de mouvements d'appareil, pratiquement aucun gros plan, une volonté permanente d'inscrire les figures dans le cadre qui les fait exister, le film est d'une force et d'une beauté inouïe.
Les Inrockuptibles
After Life est un objet très scénarisé et dialogué dans lequel la mise en scène resserre ses ailes pour se mettre au service d'une histoire.
Positif
L'inventivité d'After Life ne se limite pas à cette étonnante mise en abyme du cinéma : une sublime trame romanesque (...) se greffe à la peinture déjà insolite de cet univers imaginaire.
Première
(...) un scénario qui porte à ses personnages un amour dénué de sentimentalisme et qui n'oublie pas d'être léger quand l'occasion se présente. Sobre, minimaliste, juste, After Life s'apparente à un Dogma nippon débarrassé du méthodisme radical (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Et si l'ensemble fonctionne plutôt bien, malgré d'obscures intrigues annexes, la mise en scène, elle souffre d'une démarche trop explicite.
Chronic'art.com
Kore-Eda établit une filiation entre l'expérience des limbes et le cinéma, comme si ce dernier était en soi tout puissant, et suffisait à retranscrire la charge affective contenue dans la mémoire humaine.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Lenouveaucinema.com
Le grain de l'image, le souffle et les plans fixes confèrent à l'irréalité du propos les allures d'un reportage plus vrai que nature. Kore-Eda joue de la poétique du contraste et oppose l'improbable et le tangible avec majesté.
Critikat.com
Belle démonstration de ce qu'il se passe lorsqu'on essaie de faire un film de " petit malin " sans en avoir les moyens.