Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) le film ne se déploie vraiment qu'avec les histoires que la mère raconte à son fils pour le consoler. Une manière de le placer sous le signe mythique des origines, de l'enfance (...), de l'homme (...) et du cinéma (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Tout se passe comme si, pour montrer le Maroc tel qu'il est, il fallait avoir un autre but, comme si le simple enregistrement ne suffisait pas - et l'erreur de Smihi est de préférer le livre d'images à la mise en place d'un dispositif.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Chronic'art.com
par Elysabeth François
A force d'empathie, Chroniques marocaines ne parvient pas à prendre le recul nécessaire pour traiter son sujet. Sa mise en scène un peu trop ingénue en est une des principales conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Télérama
par Louis Guichard
La première histoire promet (...). Ensoleillé et noir, ce sketch social se termine comme une fable de La Fontaine, en beaucoup plus pathétique. Hélas, les deux contes suivants manquent d'énergie et de chair.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
(...) le film ne se déploie vraiment qu'avec les histoires que la mère raconte à son fils pour le consoler. Une manière de le placer sous le signe mythique des origines, de l'enfance (...), de l'homme (...) et du cinéma (...).
Cahiers du Cinéma
Tout se passe comme si, pour montrer le Maroc tel qu'il est, il fallait avoir un autre but, comme si le simple enregistrement ne suffisait pas - et l'erreur de Smihi est de préférer le livre d'images à la mise en place d'un dispositif.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Chronic'art.com
A force d'empathie, Chroniques marocaines ne parvient pas à prendre le recul nécessaire pour traiter son sujet. Sa mise en scène un peu trop ingénue en est une des principales conséquences.
Télérama
La première histoire promet (...). Ensoleillé et noir, ce sketch social se termine comme une fable de La Fontaine, en beaucoup plus pathétique. Hélas, les deux contes suivants manquent d'énergie et de chair.