Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Positif
par Baptiste Roux
Rendre sensible l’ineffable, préfigurer l’histoire par l’amuïssement de ses causalités, donner corps à l’invisible et à tout ce qui excède la représentation : "Sous l’aile des anges" est un film sur le sublime.
Bande à part
par Michel Cieutat
Un premier film influencé par l’univers de Terrence Malick, mais néanmoins très singulier dans son traitement de l’enfance d’Abraham Lincoln. Un joyau honteusement écarté des écrans français depuis 2014.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par François Forestier
Poème expressionniste, ce film est le triomphe de l’image et du cinéma purs. Pour les yeux, un régal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À l’aune de Terrence Malick, un noir et blanc sublime pour une élégie édifiante sur l’édification d’un Président réputé bon et juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
« Sous l’aile des anges » se déploie doucement, semblable à une longue réminiscence révélée par cette voix off qui est de l’ordre du conte et du souvenir. Tout, ici, paraît en suspension, comme échappé d’un rêve. C’est celui d’une enfance ordinaire qui a pourtant façonné, sans que ce ne soit jamais dit, un personnage historique".
Transfuge
par Frédéric Mercier
Difficile de dire avec ce film pastoral, lyrique et inspiré si Edwards est d’ores et déjà un grand cinéaste. C’est en tout cas le plus doué des cinéastes malickiens actuels.
Télérama
par Marie Sauvion
Ne pas s’arrêter à la mièvrerie du titre : Sous l’aile des anges fait le récit, âpre et beau, d’une enfance américaine au début du XIXe siècle, un peu comme si Mark Twain rencontrait Terrence Malick.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
A.J. Edwards tombe dans le copisme, avec vent dans les arbres, mains caressant les blés et surtout une caméra portée au grand angle (...). Dommage car dès que ses cadres sont plus fixes ou plus classiquement composés, ils acquièrent une plus grande puissance d'évocation.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout ceci trahit l’influence écrasante du cinéaste Terrence Malick, qui a produit le film. A. J. Edwards, à l’origine monteur des films de Malick, se comporte en élève discipliné, reproduisant les tics et les tocs du maître.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Quête initiatique, long poème filmique cherchant à susciter chez le spectateur l’expérience sensorielle la plus immersive, Sous l’aile des anges s’avère une tentative cinématographique sincère et convaincante, dont on ressort troublé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thierry Chèze
Flirtant parfois avec l'exercice de style, le résultat n'en est pas moins captivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un biopic original, qui retrace l’enfance supposée d’Abraham Lincoln à travers ses relations familiales, dans un écrin d’images de toute beauté, qui ne parviennent pas encore à s’extraire de l’influence de Terrence Malick.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Si elle ne manque assurément pas d’éclats, la proposition d’Edwards reste en l’état trop flottante et hésitante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
La photographie noir et blanc est belle, ultra soignée, mais les mouvements brusques de caméra et les contre-plongées systématiques sont abusés et finissent par donner l'impression d'une pastorale un peu vaine, d'un roman-photo contre-productif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
La dureté de l’existence dans cette Amérique naissante (la lutte contre la maladie et la nature), la tragédie de la perte maternelle, l’arrivée d’une nouvelle épouse dans la vie de son père nous sont rapportées sur une période de trois ans en un long récit naturaliste, quasi biblique, dont la beauté cinématographique fascine au point de désincarner les personnages et de nous tenir à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
Chronique éthérée en noir et blanc de l’enfance champêtre d’Abraham Lincoln, le premier film d’A.J Edwards, produit par son mentor Terrence Malick, étouffe sous les tics et les poncifs du grand film d’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
Rendre sensible l’ineffable, préfigurer l’histoire par l’amuïssement de ses causalités, donner corps à l’invisible et à tout ce qui excède la représentation : "Sous l’aile des anges" est un film sur le sublime.
Bande à part
Un premier film influencé par l’univers de Terrence Malick, mais néanmoins très singulier dans son traitement de l’enfance d’Abraham Lincoln. Un joyau honteusement écarté des écrans français depuis 2014.
L'Obs
Poème expressionniste, ce film est le triomphe de l’image et du cinéma purs. Pour les yeux, un régal.
Les Fiches du Cinéma
À l’aune de Terrence Malick, un noir et blanc sublime pour une élégie édifiante sur l’édification d’un Président réputé bon et juste.
Sud Ouest
« Sous l’aile des anges » se déploie doucement, semblable à une longue réminiscence révélée par cette voix off qui est de l’ordre du conte et du souvenir. Tout, ici, paraît en suspension, comme échappé d’un rêve. C’est celui d’une enfance ordinaire qui a pourtant façonné, sans que ce ne soit jamais dit, un personnage historique".
Transfuge
Difficile de dire avec ce film pastoral, lyrique et inspiré si Edwards est d’ores et déjà un grand cinéaste. C’est en tout cas le plus doué des cinéastes malickiens actuels.
Télérama
Ne pas s’arrêter à la mièvrerie du titre : Sous l’aile des anges fait le récit, âpre et beau, d’une enfance américaine au début du XIXe siècle, un peu comme si Mark Twain rencontrait Terrence Malick.
CinemaTeaser
A.J. Edwards tombe dans le copisme, avec vent dans les arbres, mains caressant les blés et surtout une caméra portée au grand angle (...). Dommage car dès que ses cadres sont plus fixes ou plus classiquement composés, ils acquièrent une plus grande puissance d'évocation.
L'Humanité
Tout ceci trahit l’influence écrasante du cinéaste Terrence Malick, qui a produit le film. A. J. Edwards, à l’origine monteur des films de Malick, se comporte en élève discipliné, reproduisant les tics et les tocs du maître.
Le Figaro
Quête initiatique, long poème filmique cherchant à susciter chez le spectateur l’expérience sensorielle la plus immersive, Sous l’aile des anges s’avère une tentative cinématographique sincère et convaincante, dont on ressort troublé.
Première
Flirtant parfois avec l'exercice de style, le résultat n'en est pas moins captivant.
aVoir-aLire.com
Un biopic original, qui retrace l’enfance supposée d’Abraham Lincoln à travers ses relations familiales, dans un écrin d’images de toute beauté, qui ne parviennent pas encore à s’extraire de l’influence de Terrence Malick.
Critikat.com
Si elle ne manque assurément pas d’éclats, la proposition d’Edwards reste en l’état trop flottante et hésitante.
Le Journal du Dimanche
La photographie noir et blanc est belle, ultra soignée, mais les mouvements brusques de caméra et les contre-plongées systématiques sont abusés et finissent par donner l'impression d'une pastorale un peu vaine, d'un roman-photo contre-productif.
Le Monde
La dureté de l’existence dans cette Amérique naissante (la lutte contre la maladie et la nature), la tragédie de la perte maternelle, l’arrivée d’une nouvelle épouse dans la vie de son père nous sont rapportées sur une période de trois ans en un long récit naturaliste, quasi biblique, dont la beauté cinématographique fascine au point de désincarner les personnages et de nous tenir à distance.
Libération
Chronique éthérée en noir et blanc de l’enfance champêtre d’Abraham Lincoln, le premier film d’A.J Edwards, produit par son mentor Terrence Malick, étouffe sous les tics et les poncifs du grand film d’auteur.