Derniers Avis : Homefront - Page 4

On s'est laissé prendre au jeu classique d'un énième film d'action du genre à la sauce Hollywoodienne. On a passé un bon moment.

Du Statham pur jus. Alors oui le scénar tient sur un post it, plusieurs scènes invraisemblables, un James Franco en p'tite forme dans le rôle du bad guy...Mais bon en matant un film avec Statham, tu sais pertinemment a quoi t'attendre, et Homefront ne déçoit pas dans ce qu'il est sensé proposé : de l'action et du pétage d'articulations a faire chialer un kiné ! Bref un bon action movie, a regarder pour ce qu'il est.

Homefront l'un de mes meilleurs films préférés du pur Statham comme on aime sans oublier James Franco spoiler: suspense jusqu'à la fin
spoiler: et vengeance reçu pour protéger sa fille !

On a là un bon vieux film d'action avec le grand Statham, qui est encore une fois parfait pour ce genre de rôle.
Homefront n'est clairement pas un film extraordinaire qui va marquer pour son originalité et sa réalisation mais il tient son rôle de film d'action bête et méchant. Malgré quelques moments de suspens et d'hésitations, il n'y aura pas de grandes surprises... ça ne reste qu'un bon divertissement pour les fans de ce genre de films.

Statham fait du Statham, seul contre 15, il distribue les baffes comme on distribue le courrier lol.
Le film reste bon et dynamique.

Gary Fleder habitué aux films moyens.
Dans Homefront ce qui est sûr c'est que c'est pas le film de l'année.
Statham carrément bon dans son rôle car ce qui fait un bon film ce n'est pas l'acteur mais le réalisateur.
Ici c'est vraiment mal interprété, les acteurs sont mauvais, l'histoire banale et bancale.
2 étoiles pour Statham qui réalise une belle prestation...

Un scénario signé Sylvester Stallone (on retrouve toujours une certaine candeur, une honnêteté, une simplicité des sentiments dans ses récits), une mise en scène efficace et un face à face franchement prometteur entre un grand monsieur de l’action, Jason Statham, et un grand acteur tout court, James Franco. Bref, tout était réuni pour qu’Homefront s’impose comme un excellent divertissement… et au final, c’est presque le cas. On passe un bon moment, Statham fait ce qu’il sait faire, l’intrigue est prévisible mais rythmée, l’action monte en puissance et, même si le tout est convenu, on ressort satisfait du visionnage de ce film d’action classique, qui ravira surtout les fans du genre.

Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Du Statham dans la pure tradition , avec un brin d'originalité dans son rôle de père .

Une ambiance à la SOA pour les Bikers , Banshee pour le côté violence en campagne et actionners des 80s pour le côté bourrin et scenario allant droit au but avec des séquences de bastons d'anthologie et quelques répliques bien senties , un James Franco bad guy .

Oui , Homefront est un très bon divertissement qui n'a d'autres prétention que...divertir et c'est tout ce qu'on lui demande !

Ne boudons pas notre plaisir !

On est là dans le classicisme du genre, le tout est convenable et on frise le Steven Seagal. Pas de surprise, pas de déception. En le regardant au second degré, c'était même plutôt drôle et agréable.

Un film de Jason Statham est un genre cinématographique à part, à savoir du cinéma fait de castagne à tout va, un scénario maigre et un personnage charismatique. Il faut dire que dans ce rôle là, l'acteur excelle mais les films sont toujours banals, vite regardés et vite oubliés ! Toutefois, ce Homefront mérite qu'on s'y attarde un peu plus car des efforts ont été fait sur l'histoire, sur les seconds rôles (James Franco) et également sur le personnage joué par Statham plus profond que d'habitude grâce à sa fille. Ce n'est donc toujours pas un chef d’œuvre mais bien l'un des meilleurs Jason Statham tout me même.

Un film d'action bien bourrin, efficace, dans la lignée de ce que fait Jason Statham en temps normal. Pas étonnant de retrouver Stallone à l'écriture. Là, même si le scénario est assez intéressant (même si c'est du déjà vu et qu'il est rempli de clichés : l'ex-flic qui se retire pour prendre un nouveau départ dans le décor tranquille de la belle Louisiane avec sa fille unique), ce fameux Jason est tout de même beaucoup trop imbattable. Il met des roustes à tout le monde et rien ne l'atteint, il arrive même à guérir et cicatriser en moins de 2 ! James Franco est assez convaincant en bad guy. Dans le genre, Homefront remplit son rôle, si l'on cherche un film sans prise de tête.

Si vous voulez voir Jason Statham avec des cheveux, courez voir "Homefront". Et profitez-en bien parce que ça va être de courte durée. Je ne parlais pas du film, hein, mais bien de l’espérance de vie capillaire du personnage. Bon ce long métrage n’est pas bien long non plus, mais il est bien rempli, bien rythmé, aéré de quelques temps morts sans que ceux-ci ne tombent dans la longueur. Pourtant, le scénario de Sylvester Stallone a comme une odeur de déjà-vu, de classique, de pas bien original. On ne peut lui reprocher, puisqu’il s’est basé sur le roman éponyme de Chuck Logan. Par rapport à la base, le scénariste s’est permis malgré tout de prendre quelques libertés, notamment en déplaçant le lieu de l’intrigue. Une intrigue dont le point de départ nous est présenté par une sorte de mise en bouche, laquelle va définitivement accrocher l’attention du spectateur. Une entame qui sert d’introduction, de mise en place du contexte quant à la suite des événements. S’ensuit un générique de début, véritable ellipse qui nous fait traverser deux années, mais un générique qui regorge d’éléments importants pour la bonne compréhension quant à l’évolution de la situation. Je disais que la curiosité résidait dans le fait de voir Jason Statham avec des cheveux. Beaucoup de cheveux ! Mais pas seulement. Par la suite, on le voit dans un rôle de père. Un rôle tout à fait inédit pour lui, mais un rôle qui lui va bien. Cela lui donne l’occasion de montrer qu’il a un vrai talent en art dramatique, par les scènes tout en intimité que son personnage a avec sa fille, une intimité dont le point d’orgue sera atteint lorsque la fillette témoignera non sans émotion du manque produit par l’absence de sa mère. Une bien jolie séquence, conclue sur un sourire tordu par la peine partagée en lieu et place de mots vains et inutiles. Cette notion de père attentionné donne une force supplémentaire à cet homme qui n’aspire qu’à offrir le meilleur à la seule chose qui lui reste, sa fille : au sein d'une petite bourgade en apparence tranquille, lieu idéal pour reconstruire une vie calme et sereine en se posant dans une charmante maison en bois entourée de vastes espaces peuplés de magnifiques arbres pliant sous les nombreuses et lumineuses inflorescences. Tout cela rend son combat plus féroce, un combat qui démarre incidemment dans une cour d’école. Les liens privilégiés qu’il tient avec sa fille tendent à augmenter l’authenticité des divers affrontements qu’il va avoir. Certains de ces affrontements se limitent aux regards échangés, tandis que d’autres vont jusqu’à la castagne. Ah ben oui, avec Jason Statham, il faut s’attendre à en avoir. Et le spectateur va être servi, d’autant plus que les combats sont parfaitement chorégraphiés et plus percutants que jamais, sans que ça s’éternise dans d’improbables échanges de coups interminables. Il en ressort donc un film musclé dans lequel la haine et la violence montent crescendo dans une ville où les différents ne se règlent non pas par le dialogue mais uniquement à l’ancienne, pour finalement aboutir à une situation hors de tout contrôle. Les différents personnages sont mis en place chacun de leur côté, le plus souvent deux par deux. Puis les fils s’entrelacent tantôt peu à peu tantôt assez rapidement pour les amener à une confrontation directe, jusqu’à un final où tout le monde a son mot à dire, que ce mot soit petit ou grand. Ainsi, Phil Broker n’apprend qu’à la moitié du film l’existence de son véritable adversaire local, en la personne de Gator Bodine, interprété par un James Franco très inspiré avec son regard vicieux au possible ! En attendant, Broker doit composer avec la haine empoisonnée de Cassie Bodine Klum (Kate Bosworth), les intimidations timorées de Jimmy Klum (Marcus Hester), les pressions brutales exercées par les hommes de main de Gator, les conseils bienveillants de la belle Susan Hatch (Rachelle LeFevre), l’amitié de Tee (Omar Benson Miller), les soupçons de la police locale en la personne du shérif Keith Rodrigue (Clancy Brown) et bien sûr la complicité éclatante entre lui et sa fille. Se peut-il que Statham est pris autant de plaisir à jouer avec une enfant ? Il est tellement étonnant dans ce registre qu’il y a peut-être à creuser de ce côté-là, mais il faut dire que la jeune Izabela Vidovic lui donne parfaitement la réplique, apparemment pas du tout impressionnée par le statut de star de son principal interlocuteur. La construction est maîtrisée, ce qui rend ce thriller d’action agréable à suivre, malgré l’absence remarquée de l’humour (ce qui n’est absolument pas gênant) et en dépit du fait que le spectateur sait d’avance comment tout cela va se finir.

Pas mal on accroche quais instantanément... L'intrigue est intéressante... Le casting 5 étoiles avec le retour de Wynonna rider... Mais bon c'est toujours la même chose car Jason statam s'en sort à chaquz fois.. Sans parler qu'il a toujours la même expression sur son visage.... James Franco est assez credible dans son rôle... A voir mais rien d exceptionnel sans être mauvais en même temps

C'est un film, on va pas se mentir, qui est très classique. Niveau scénario, histoire, héros méchant et j'en passe, il n'y a pas beaucoup de recherche (drogue,, psychopathe, un ancien flic etc..) Mais le film marche quand même. On a quelques retournements de situations intéressantes, de bonnes scènes d'action et un casting qui est, mine de rien très sympathique et efficace pour ce genre de film. LE genre de film que si tu ne voit pas tant pis et si tu le vois et bien tu n'es pas mécontent. Bref, un film comme un autre.

Un bon film du style d'un film avec Statham , c'est à dire un père qui protège sa fille mais il comporte un scénario assez bien pour un film comme celui-là .
La façon dont l'affrontement commence n'est pas banale .
Et puis il y a aussi James Franco .