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    La Grande Bellezza
    Note moyenne
    4,0
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    265 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 juin 2014
    J'ai réussie à regarder 10 minutes de ce film, que je juge complètement prétentieux et inutile..
    Des personnages complètement inintéressants ! vous savez, j'ai l'impression que c'est un de ces films qui veut se rendre " cool,étrange " en montrant des scènes sans aucune logique et surtout sans aucune émotion...
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Sorrentino retrouve son univers baroque et décalé dans cette chronique romaine sarcastique qui souffre juste de quelques longueurs.
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Bon Dieu que c'était long! Voilà la première chose que je ressors de ce film. 2h20 pour parler de gens superficiels, agaçants, narcissiques, égocentriques ca fait beaucoup! Le personnage principal n'est pas du tout attachant, je n'ai absolument rien ressenti pour l'un ou l'autre des personnages. Reste une belle mie en scène et quelques paroles/discours qui peuvent amener à la réflexion mais j'ai trouvé l'ensemble bien trop bavard et prétentieux.... un film mondain.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    57 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2014
    Les images sont de toute beauté, on a l'impression de vivre dans un musée, le film est un brin long, les acteurs le font oublier
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 juin 2014
    Sublime tout simplement. La ville de Rome, la musique de Kronos Quartet, les soirées hautes en couleurs et les personnages rendent ce film exceptionnel. On croirait à une sorte de Gatsby en bien meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Un très bon film sur la vie, sur la "haute classe" italienne, sur les fêtes démesurées (avec le morceau electro "Far l'Amore" de notre cher Bob Sinclar) qui rit ment la vie du vieil homme, qui arrivant vers la fin de sa vie, se pose beaucoup de question, et commence à vraiment montrer ce qu'il est. Le film a un côté métaphysique et scène qui ne sont pas là pour rien qui est plaisant. Malheureusement, je trouve qu'il se perd et ça n'est arrivé de décrocher plusieurs fois. J'adore pourtant l'atmosphère du film, avec ce film de fêtes, de pouvoir et de fin de vie quand on se demande ce qu'on a fait par le passé, si notre passage, notre vie a été bien remplie. La mise en scène est par contre vraiment exceptionnelle et la photographie juste magnifique. Les acteurs sont plutôt bons et la bande originale est parfaite. Mais je crois que ce film mérite un deuxième visionnaire pour être pleinement apprécié.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juin 2014
    le cinéma c'est l'imaginaire "c'est ce qu'il y a au delà de la vie". ce film est un vrai choc émotionnel me concernant c'est là toute la puissance que j'attends d'un film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 novembre 2014
    Excellent dans son genre, ultra-féllinien, esthétique à souhait et doté d'une BO et d'une exécution impeccables. Sous ses dehors luxueux, ce film nous propose une vision sur la superficialité et nous exhorte à ne pas oublier nos racines, notre personnalité profonde, toujours présente, résiliante au temps, dissimulée souvent sous les apparats et les apparences.
    Un voyage onirique et symbolique à l'italienne.
    Akamaru
    Akamaru

    3 096 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2014
    Paolo Sorrentino paye son tribut aux grands maîtres italiens que sont Fellini et Visconti avec cette satire étourdissante de la vanité et de l'ineptie de la jet-set romaine. "La Grande Bellezza" s'ouvre sur une longue-séquence électrisante et survoltée d'une fête où le grotesque,le baroque et la décadence sont de communes invitées. Sorrentino fait le portrait frictionnel de Jep Gambardella,65 ans,écrivain primé pour le seul roman qu'il ait jamais écrit 40 ans auparavant. Revenu de tout,d'une extrême lucidité sur le vide qui l'entoure,il distille quotidiennement son cynisme depuis sa terrasse face Colisée tout en regrettant avec mélancolie un passé qui aurait pu être différent. Toni Servillo pourrait facilement rendre ce personnage antipathique,mais c'est tout le contraire qui se produit. On a pitié de lui,on voudrait qu'il ait une seconde chance. Peut-être arrivera t-elle en laissant ses excès derrière lui? La description de la fauve romaine et de ses freaks rappelle forcément "La Dolce Vita",avec la touche virevoltante d'un auteur sabordant l'Italie berlusconienne,tout en s'ébahissant devant la Rome éternelle. Esthétiquement sublime. Grand Prix du Jury Cannes 2013 . Grand film.
    MC4815162342
    MC4815162342

    398 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mai 2014
    Bon bah je le sentais, de toute façon quand j'ai pas envie de voir un film je fais bien, j'arrive à l'avance à savoir si un film va me plaire ou pas, la plupart du temps j'ai juste dans mes prédictions et des fois je me trompe et bien là je ne me suis pas trompé, je m'attendais à un truc mauvais et bien j'ai été servi.
    Merde quoi, pourquoi c'est tout le temps, enfin très souvent des nazeries qu'on récompenses ? Je repense à Cannes l'année dernière, "oh la grande bellezza ce bijou, cette merveille etc", mais sans dec, je comprendrais jamais moi ces sélections de film chiant et vide, mais bon si ça plait à certains tant mieux, y'en faut pour tout le monde.
    De mon coté à part la réalisation très réussie et les décors j'en retiens rien, et encore ça me fais mal de voir d'aussi magnifiques décors dans un film si vide, creux et inintéressant, franchement un pur ennui, je demande pas grand chose, une histoire avec un début, un milieu et une fin mais non apparemment c'est trop, ce film n'a aucun but, si ce n'est de voir Toni Servillo se la péter sur de la très bonne musique.
    Car oui ce film renferme une superbe bande son, de sublimes décors et une réalisation soigné, manquait plus qu'un scénario, dommage...
    Catherine V.
    Catherine V.

    56 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2014
    Ceux qui aiment les films d'action et surtout qui détestent les films lents ne pourront que trouver cette réalisation épouvantable, décousue, incompréhensible même. Personnellement, j'ai trouvé le film intéressant car il m'a rappelé les belles heures du cinéma italien (Fellini en particulier pour celui-ci). Si j'y ai trouvé moi même quelques longueurs, j'ai surtout trouvé l'interprétation brillante et les images de la ville éternelle sublimes.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2016
    La jet set romaine a depuis longtemps déserté les bars et cabarets de la via Veneto chers à la dolce vita de Fellini, désormais elle danse en rangs serrés, le nez truffé de coke au rythme saccadé de "Mueve la colita" mixée par El Gato DJ. Jep Gambardella écrivain d'un seul livre à succès devenu journaliste est un des princes de ces nuits endiablées qui se succèdent sur les terrasses des beaux appartements. A plus de 60 ans, il se regarde vivre et vieillir entouré de ses compagnons du petit matin. A 26 ans, débarquant à Rome de sa province natale il s'était fait la promesse de ne pas seulement participer aux soirées, mais aussi d'avoir le pouvoir de les gâcher. Pari tenu, son sens de la répartie, la froide lucidité de ses jugements et aussi l'aura conférée par son seul et unique roman plébiscité en son temps, lui ont donné ce pouvoir tant convoité de donner le là. Désormais il en use avec parcimonie pour inviter ses hôtes ou convives à faire comme lui le constat du néant de leurs vies passées dans une sorte de bovarysme qui les a amenés, pantins désarticulés aux abords de la vieillesse. Aussi quand une de ses amies, écrivaine ayant cédé aux sirènes de l'écriture facile pour assurer son train de vie, se cherche des faux-semblants pour maquiller sa cupidité, il lui retourne un portrait sans concession qui n'est pas s'en s'adresser à lui-même. Non décidément, Jep ne va pas bien, même si en grand seigneur et conscient de sa réputation, il n'affecte de rien n'en laisser paraître. Pourtant les clefs de la ville lui sont données et il a accès aux plus beaux endroits que le commun des mortels que nous sommes ne verra jamais. Une Rome déserte de la nuit ou du petit matin que Paolo Sorrentino filme avec une majesté digne de celle de Visconti. Sorrentino qui filme Toni Servillo comme le maître filma Dick Bogarde dans "Mort à Venise" (1971) réussit grâce à son acteur fétiche et à la musique de Lele Marchitelli, l'impossible réconciliation entre Fellini et Visconti, les deux maîtres du cinéma italien que tout opposait en apparence. Le goût pour le foisonnement, le bizarre, le baroque ou le grotesque de Fellini est assurément bien présent. Le portrait de la directrice naine du journal en atteste tout comme la scène avec l'émule du docteur Frankenstein qui botoxe à la chaîne contre 700 Euros tous ces fantômes venus s'acheter un peu de jeunesse pour retourner au plus vite à leur quête du néant. Mais le grandiose et la grâce du maître milanais sont aussi convoqués par les habits d'apparat du Guépard (Burt Lancaster) que souvent revêt Jep Gambardella. Pour s'en convaincre il faut se laisser emporter par le générique de fin sur le Tibre qui rappelle étrangement l'arrivée sur la lagune ouvrant somptueusement "Mort à Venise". Guidé par ses deux figures tutélaires, Sorrentino n'en trouve pas moins sa propre voie, teintée d'un pessimisme peut-être encore plus profond que celui de Visconti autrefois déchiré par ses contradictions. Bouleversant, le film de Sorrentino l'est tout autant par les images, la musique que par le jeu tout en lassitude sereine de Toni Servillo dont le personnage perçoit un peu tard qu'il aurait pu donner un tout autre sens à sa vie s'il avait su saisir dans sa jeunesse l'amour qui s'offrait à lui . Un film somptueux comme le cinéma italien ne nous en avait pas donné depuis longtemps et qui ravira les amoureux de la ville éternelle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Un film qui me fait espérer que la beauté n'est pas dans ce siècle de disgrâce !
    Derrière la vulgarité et la médiocrité contemporaine reste la beauté des hommes et des femmes, si vrai face à leur défauts et la beauté de ces œuvres immortelles qui ornent la ville mythique de Rome.
    Avec une mise en scène grandiose, des dialogues formidables et très travaillés, d'une finesse et d'une virtuosité, des femmes magnifiques et un acteur principal somptueux, Paolo Sorrentino, nous narre la fin de vie de Jeb Gambardella, un journaliste et écrivain raté, à l'image' un Marcello de la dolce vita qui aurait vécu, le "roi des mondains",entre désillusion et mélancolie désabusé face à son milieu, sa ville et la décadence de son temps.
    Ce film est une véritable ode au passé. A travers les sentences du héros, ces fêtes vulgaires,la satire acerbe de l'art contemporain et des représentants de la mondanité de la capitale romaine, à l'image du snobisme qui fait de Paris, et ici Rome, des territoires perdus à la beauté et à la grâce, Sorrentino dévoile son pessimisme et sa vision de la bourgeoisie dans toute sa bassesse.
    Mais "la grande beauté" que montre Sorrentino est toujours maintenu par ces êtres, de l'ombre, comme ces nonnes qui font des apparitions fugaces et par ceux qui restent quand les démagogies se sont essoufflées par le temps qui ne ment jamais.
    L’apparition de mère Thérésa sonne comme une morale, sans que le film ne fasse jamais du moralisme.
    Les relations entre Jeb et les femmes, son amour disparu et que le souvenir n'a gardé qu'en essence ou encore ses rencontres, notamment avec une danseuse, et que vous découvrirez, sont beaux et profonds.
    Jconseille fortement ce magnifique film, fin, juste et salvateur.
    Un dolce vita, 40 ans après, qui le transcende en l'actualisant et digne du chef-d’œuvre de Fellini.
    Un film qui a fait hurlé les imbéciles de la médiocrité d'un certain monde journalistique et mondain français, offusqué d'être raillé et montré dans leur fatuité, et rien que ça devrait vous motiver à le découvrir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 avril 2014
    Superbe, quelle créativité, que de personnages, que d'impressions, que d 'idées, quel soin dans la rélisation...
    On est gâté d'avoir un cinéma de ce niveau, de cette ampleur.
    La parenté avec Fellini tient. Je ne vois pas en quoi ce serait moins pertinent, moins actuel, moins inspiré, moins bien réalisé : Je cherche un peu : moins universel ? A voir... moins poétique et distancié : sûrement pas ... moins éternel ? Cela dépend aussi de nous ...
    PC
    cinono1
    cinono1

    302 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2014
    J' aimais pas ce réalisateur, et malgré quelques cotés agacants (l'histoire bof), ce film dégage un parfum gourmand bien agréable, un regard qu'on sent faconné par l'age pour filmer l'Italie, et mettre du symbole dans chaque plan ou presque. Ii y a un certain sens musical aussi.
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