Mon compte
    La Grande Bellezza
    Note moyenne
    4,0
    2684 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Grande Bellezza ?

    265 critiques spectateurs

    5
    58 critiques
    4
    89 critiques
    3
    45 critiques
    2
    35 critiques
    1
    22 critiques
    0
    16 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juin 2013
    Le plus bel hommage au cinéma italien !! un portrait féroce mais juste et si italien!! des choses de la vie de l'amour et de la mort !!! inratable !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juin 2013
    Merci pour ce film qui pour moi est le premier ,depuis des années, qui répond aux vraies raisons de faire le cinema qui est à mon avis de purifier l'âme empoisonnée de l'homme moderne. Ce message presque transparent et nostalgique c'est un adieu à l'Europe d'autrefois avec ses valeurs traditionnelles et c'est un appel à réfléchir à ses actions et ceux d'autres gens. Un peu d'eau pur dans le désert!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 juin 2013
    De très loin le film le plus grinçant, le plus jouissif, dépeignant le crépuscule des élites du vieux continent. Photographie, bande son, dialogues géniaux, un acteur principal à la classe folle qui aurait mérité l'interprétation masculine à Cannes ! L'Italie c'est la VIE !
    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juin 2013
    Superbe film, mise en scène et en images gonflée, superbe bande son, beaux comédiens… Long tout de même, on se perd un peu en cours de route… mais c'est tellement agréable, un film intelligent et sans esbrouffe.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juin 2013
    le film que j’ai vu hier soir est artificiel, snob, maniéré, faussement provoquant; le scénario est d’une vacuité intersidérale et les personnages totalement creux.
    Si le seul message est que la vie n’a pas de sens, pas besoin de commettre ces deux heures et demi esthétisantes et vaines.
    Quel navet pour bobos vieillissants
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juin 2013
    "La Grande Bellezza" est un excellent film qui, s'il est déroutant au début, avec ses travellings agaçants et ses images de fêtes assez laides, finit par devenir passionnant, notamment grâce à la densité du scénario. C'est bien simple, à la fin de la projection, il est difficile de se rappeler de l'enchaînement des scènes, tant le film est bavard et fourre-tout, mais dans le bon sens du terme. En effet, un grand nombre de sujets sont abordés et l'ensemble permet de peindre un portrait d'une Rome décadente, le tout avec distance et humour. Ça rappelle bien sûr Fellini, mais il est toujours agréable d'assister au travail de ses émules. Quant à Toni Servillo, il est vraiment excellent et touchant, et porte le filme sur ses épaules. À la fin, on se rend compte que, malgré la longueur du film, on n'a pas vu le temps passer et la mélancolie nous guette, comme si nous-mêmes devions faire face à la question "Qu'est-ce que la grande beauté ?", interrogation qui trouve une réponse pour Jep Gambardella, mais pour le spectateur ? À vrai dire, la clé du film est peut-être dans le générique du film : apaisant et réconfortant, il est si gracieux qu'on a envie de le voir se prolonger à l'infini.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 juin 2013
    Les points négatifs envers ce film ne sont pas mensongers. Il y a quelques longueurs ressenties, mais si j'avais en charge de les couper je ne saurais où mettre mes ciseaux. Sorrentino cherche à saisir le vide, l'ennui urbain en tant qu'angoisse, et il joue avec nous, comment nous le faire comprendre sans nous ennuyer, sinon en ralentissant la vitesse, en prenant des pauses, pour mieux rebondir, et relancer notre intérêt, croissant, happé, pour le cheminement de Jep? Grace à cette construction habile notre identification avec le personnage incarnée par le génie du génial Servillo est renforcée. Sorrentino est un esthète, son style fleurit en arabesques à chaque bouts de mise en scène. C'est presque comme un anti Bresson, sauf que le point commun entre cet austère et ce baroque flamboyant, c'est d'avoir un vrai style, identifiable dès le début, sans s'essouffler, prenant racine, beau. Beaucoup en rêvent, essayent bougeant la caméra comme ci, comme ça. Peu des réalisateurs en ont un. On peut ensuite reprocher le manque de critique social de la jet set, comme Proust se paya la bourgeoisie... O.K, c'est juste que ça n'a rien à voir. Le vide existentiel du prolo est aussi vide que celui du dandy huppé, également inauthentique, et la vulgarité bling bling entre un vrai diamant et sa copie en toc réduit la fracture sociale par le bas, comme un nivellement du niveau scolaire... Qu'il est beau le voyage intérieur de Servillo Gambardella, qu'il épouse les méandres du Tibre, le long de ses quais, qu'il est urbain, capital, pulsation d'un peuple qui fut plus qu'il n'est, maladie de nos pays en proie à la grande Europa ; en ce sens ce film s'adresse à ceux qui bouffent du Paris quotidiennement, son inhumanité, ses questionnements sur la survie de l'âme en son sein, la fidélité rare, l'amour épanoui encore plus rare. Les valeurs renversées par la modernité plutôt qu'améliorées, le prix des loyers, une femme qui choisira le souvenir chéri de Jep plutôt que lui-même, des élans lyriques et des cassures ironiques ; le film mélange les pièces de ce puzzle représentant un brouillard, et nous en restitue la grande beauté comme un soleil voilé dans un tableau de Turner. Servillo en digne italien héritier de Gassman et Dino Risi sait jouer la dent dur de l'humour infiniment sarcastique transalpin, notamment lors de la scène de l'enterrement. On est loin de Fellini, encore plus d' Antonioni. C'est du Sorrentino, et Servillo, et surtout, car ils s'effacent devant leur sujet, une chimie cinématographique qui révèle charnellement le lien entre un homme et son environnement, le façonnage de l'un sur l'autre, preuve de rien, garantie de rien, mais qui pousse, qui pousse, pour quel fleur, quel fruit, quel pépin, quel graine? Les spécialistes reconnaissent l'un à l'autre. Reconnaissons ici un beau film, surtout qu'en ce moment on n'est pas gâté. Je n'y vois pas de hasard, mais une illumination.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    168 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2013
    Quarante belles minutes dans un film de 2h20... C'est peu. Paolo Sorrentino utilise une mise en scène superficielle et excessive pour soit-disant dénoncer les excès et la superficialité de la mondanité romaine. C'est absurde ! Après 40-45 minutes ainsi, un équilibre est trouvé pendant quelques dizaines de minutes. Notamment lors d'une scène où Toni Servillo débusque les faiblesses d'une amie un peu trop sûre d'elle-même lors d'une nouvelle soirée mondaine. Les dernières minutes démontrent les mauvais choix du cinéaste qui fait disparaître ses meilleurs personnages pour nous infliger une pseudo-sainte de 104 ans qui connaît les flamands roses par leur prénom (on rêve, non ?!).
    Christoblog
    Christoblog

    828 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2013
    Il est assez étonnant de lire beaucoup de critiques sur ce film qui le relient à La dolce vita, car les deux films n'ont finalement pas grand-chose à voir, si ce n'est Rome et le goût des fêtes décadentes. Pour le reste, que ce soit pour la mise en scène, les thématiques ou les péripéties, les films sont assez différents. Le film de Fellini est beaucoup plus noir et désabusé que celui de Sorrentino.

    Alors pour commencer, je dois... la suite ici :
    Alix G
    Alix G

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2013
    Film italien magnifique sur la mort, la quête d'éternité, l'absurdité de la vie. Beau, drôle, voire grotesque par moment, beaucoup de richesses dans ce long métrage qui se passe à Rome. Il y a parfois des scènes surprenantes, mais rien n'est gratuit pour faire de "intellectuel". Conseil : restez lors du générique, Rome est filmée au petit matin depuis un bateau naviguant sur le Tibre...Une très bonne surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 mai 2013
    Grandeur et décadence !!! Paolo Sorrentino filme la mondanité éternelle dans une ville non moins éternelle... Derrière le fard, les fêtes et l'argent: le NÉANT... Derrière le TOUT, le RIEN et des personnages aussi pathétiques qu'attachants qui errent et pataugent dans leur mare à mensonges, les uns sur les autres, les autres sur les uns, en quête de ce qu'ils ignorent...C'est ça "LA GRANDE BELLEZZA", ou plutôt "LA GRANDE TRISTEZZA"que toute époque connaît et connaîtra et que toute société par l'intermédiaire de ses artistes dépeindra.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 septembre 2013
    Complètement inutile et d'une prétention insupportable. Le protagoniste, que le réalisateur voudrait intelligent et cynique, ne dit que des banalités sans nom et fait des réflexions aussi profondes qu'une coquille d'oeuf. Les clichés abondent et l'usage excessif des citations littéraires (Proust, Flaubert, Dostoievski, Céline et j'en passe) agacent. Elles semblent être placées pour tenter de sauver maladroitement des dialogues mal écrits. Le scénario est plat, d'ailleurs on pourrait même dire qu'il n'y a pas de scénario. Sorrentino semble simplement avoir voulu faire se succéder les images, certes très jolies, qu'il avait en tête. Et encore ! La beauté de certains plans était bien souvent gâchée par des effets de style grotesque (ex: les travellings à outrance, la girafe en image de synthèse...) ou bien des placements de produit franchement grossiers comme ce panneau lumineux MARTINI qui est revenu 3 fois dans le film et a même pris la moitié de l'écran dans une séquence, WTF?! En fait, voilà, en regardant La grande Bellezza, j'ai eu l'impression de mater une pub quelconque. C'était vide. On ne pourrait même pas dire qu'il s'agissait d'une réflexion sur le néant, ce serait lui faire trop d'honneur. C'était juste superficiel. En fait Sorrentino n'avait rien à raconter et c'est pourquoi on s'emm... en regardant son film.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mai 2013
    Du beau et du grand, on n'en voit guère à l'écran durant plus de 140 minutes sauf à considérer jolie une esthétique clinquante et frimeuse et importante l'interrogation existentielle à 65 ans d'un mondain revenu de tout dont le seul titre de gloire réside en l'écriture d'un unique livre qui lui valut un énorme succès. Lassé des fêtes qui peuplent son existence et des conversations vides de ses amis, l'écrivain pense à son passé, cette époque napolitaine où il n'était pas encore devenu cet homme blasé, gentiment cynique et franchement désabusé.

    Beau sujet qu'une fois le réalisateur italien traite sans point de vue, dans une mise en scène déceptive qui prouve constamment qu'il ne sait pas réellement quoi en faire, se contentant d'enchainer des séquences plus ou moins étirées sans jamais donner l'impression que son héros progresse d'un iota dans sa prise de conscience dont on aimerait voir à l'image les conséquences. Dans une Rome des palais, phagocytée par une caste d'artistes et intellectuels passablement démodés, formant une arrière-garde accrochée désespérément à ses prébendes, le réalisateur de Il Divo lorgne avec une prétention et un manque de discrétion criants du côté des ses aînés, Federico Fellini et Ettore Scola. Là où ces derniers instillaient de la magie, de la poésie et de l'élégance dans leurs œuvres, Paolo Sorrentino se limite à saupoudrer son très long et laborieux film de vulgarité, de fascination gênante et de mépris sous-jacent dans une débauche d'effets à peu près inutiles.

    Filmer la vacuité existentielle amène-t-il obligatoirement à être ennuyeux et vide, ostentatoire et vulgaire, c'est là toute la question à laquelle il faut hélas ici répondre par l'affirmative.
    jamila R.
    jamila R.

    2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2013
    Magnifique et très esthétique !! Un très beau film sur Rome. Seul bémol, le scénario laisse un peu à désirer car pas de debut ni de fin, de mon point
    de vue, ce qui fait que serais incapable de l'expliquer à quelqu'un d'autre ...
    Héléna0510
    Héléna0510

    10 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2013
    L'affiche donne un premier indice : Rome, ses musées, sa beauté, sa grandeur, sa décadence. En son sein, Jep Gambardella (Toni Servillo est parfait) se sait tout petit. C'est peut-être cette humilité qui rend ce très long film digeste. On prend plaisir à suivre l'écrivain-journaliste dans sa vie qui est pourtant faite de "néant" entre soirées délirantes, souvenirs et introspection.
    Une invitation à l'oisiveté? Certes La grande bellezza ne vous poussera pas à déplacer des montagnes mais vous fera voyager (la photo est sublime) et vous incitera à profiter de la vie (godere la vita!) sans vous prendre trop au sérieux car finalement "entre la naissance et la mort tout n'est que bla bla bla".

    Dans ce film dingo vous pourrez compter : 1 naine sous coke, 1 girafe qui disparaît, 1 petite fille qui fait de la peinture en hurlant, 1 sainte édentée de 104 ans gravir un escalier sur les genoux et 1,artiste déjantée se projeter contre un mur!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top